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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 19:00

 De trés nombreux parents et enseignants attendaient la présentation du projet par le maire de Trappes. Dans une ambiance trés tendue face une salle majoritairement hostile, le débat n'aura finalement pas lieu

 

 

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n TvFil78

 

9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 18:56

In TVFil78

 

 

7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 11:43

 

Sept mille personnes selon les organisateurs, 2.200 selon la police, ont manifesté samedi après-midi à Paris de la Bastille vers Montparnasse à l’appel de la FSU, principale fédération de l’éducation, pour réclamer «une vraie refondation de l’école», a constaté une journaliste de l’AFP.

 

 

«Peillon, Peillon, faut vite que tu balayes toutes les réformes de Chatel... Livret de compétences, mise en concurrence», clamait-on au porte-voix. Et d’entonner avec une orchestre de rue : «Emplois, salaires, c’est la galère, les enseignants sont en colère, Peillon, tu parles d’refondation, depuis pas d’amélioration».

Guislaine, professeur d’histoire-géo venue d’Agen, se dit «extrêmement déçue de la politique éducative mise en place par Peillon. Il faut aller beaucoup plus loin et beaucoup plus vite, revenir sur toutes les réformes depuis dix ans, le socle, le collège, la reforme du lycée qui est une catastrophe», estime-t-elle.

 

Les revendications étaient multiples: les manifestants réclamaient le maintien du réseau des CIO (centre d’information et d’orientation), l’ouverture de discussions sur le collège et le lycée, des négociations salariales ou encore des pré-recrutements d’enseignants, comme Marianne, professeur du secondaire à la retraite, qui s’inquiète face aux postes non pourvus: «Mon fiston a tout le lycée à faire, j’aimerais bien qu’il ait des profs»

 

La suite...

 

 

7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 11:37

In IUFM Paris en lutte

 

C03-18RECRUTEMENT DES ENSEIGNANTS : "UN ENJEU COLOSSAL" POUR LES ACADÉMIES (ANDRÉ EYSSAUTIER, RECTORAT DE VERSAILLES 

 

« Nous avons à recruter pour la rentrée un grand nombre de professeurs. Et je n'ai pas l'impression que le désir de devenir enseignant se manifeste de manière quantitative satisfaisante », juge André Eyssautier, le secrétaire général de l'académie de Versailles, à l'occasion du premier colloque organisé par l'association des DRH des académies (AEF n°174774) sur le thème du recrutement, vendredi 5 avril 2013, à Paris. Évoquant « la suppression d'un assez grand nombre d'emplois » ces dernières années, il note que « le vivier s'est réduit dans les universités ». « Ce contexte n'est pas très propice à l'élan de recrutement mis en place par le gouvernement. C'est un enjeu colossal » pour les académies, souligne-t-il. « Je ne veux pas être défaitiste. Nous avons à valoriser l'image des enseignants. Nous ne pouvons pas augmenter considérablement le salaire dans le contexte actuel. Il nous faut donc jouer sur l'image du métier pour le revaloriser. »

 

Dans le premier degré, à Versailles, au premier concours 2013, 4 400 candidats se sont inscrits, 1 900 étaient présents et 1 500 ont été admissibles pour plus de 2 000 postes ouverts. Au deuxième concours 2013, « nous avons eu 1 000 candidats de plus mais il s'agit de 1 000 admissibles au premier concours. Nous n'avons donc pas un inscrit de plus par rapport au concours précédent », illustre André Eyssautier. 

 

« UN RISQUE » SUR LE « NIVEAU » DES RECRUTÉS ? 

Hubert Schmidt, secrétaire général de l'académie d'Orléans-Tours, évoque de son côté un « risque sur le niveau du recrutement ». « Nous avons recruté avec une moyenne de 8,5. Je pense que l'on sera en dessous cette année », témoigne-t-il. « Nous allons épuiser tout le vivier de contractuels dont nous avons besoin tout au long de l'année. Puis nous allons recruter des contractuels qui ont échoué aux concours alors que le niveau était bas. Mon inquiétude porte sur les difficultés quantitatives mais aussi qualitatives.» 

 

Sandrine Depoyant, secrétaire générale adjointe, DRH au rectorat de Reims, « ne partage pas » ce point de vue « sur la moindre qualité des personnels ». « Le concours n'est pas l'unique mode de recrutement. On peut échouer mais avoir toutes les qualités pour devenir enseignant. »

 

« PREMIER LEVIER » : L'ACCUEIL DES NOUVEAUX ENSEIGNANTS

 

La suite...

7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 11:18

In Contrepoint>

 

 

 

Le chèque-éducation bientôt au programme de l'UMP ?

Le mouvement de la Droite forte est le premier mouvement de l’UMP, sa motion ayant obtenu le plus de voix lors des dernières élections, il est vrai occultée par le duel Copé / Fillon.

Le mouvement a tenu mardi 2 avril 2013 sa première réunion thématique, consacrée à l’éducation. Parmi les deux pistes envisagées pour sauver l’école et mettre un terme à sa destruction figure l’autonomie des établissements et le libre choix des parents, c’est-à-dire l’instauration du chèque éducation.

C’est la première fois qu’un courant dominant d’un parti politique de gouvernement inscrit le chèque éducation à son programme. C’est un immense progrès, pour les défenseurs de la liberté et pour les partisans d’une école forte. Rien ne permet de savoir si cette idée sera reprise dans le programme futur de l’UMP, mais c’est déjà un point de départ important.

 

 

 

 

7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 10:57

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 19:13

In Les Echos

 

 

Les sommes du fonds d'amorçage destiné à inciter les communes à revenir aux quatre jours et demi de classe dès septembre 2013 qui ne seront non utilisées seront économisées.

Les maires qui pensaient pouvoir réformer les rythmes scolaires en 2014 plutôt qu'en 2013 tout en bénéficiant quand même d'une aide de l'Etat en seront pour leurs frais. « On maintient le dispositif initial », confie-t-on à Matignon. Autrement dit, les 250 millions d'euros du fonds d'amorçage, destinés à inciter les communes à revenir aux quatre jours et demi de classe dans le primaire dès septembre 2013, ne serviront pas à autre chose que ce à quoi ils étaient destinés. A savoir : une aide, en 2013, de 50 euros par enfant pour l'ensemble des communes qui réformeront les rythmes dès la rentrée prochaine.
 

Une aide supplémentaire pour les communes rurales

Les communes en difficulté, comme l'avait annoncé le Premier ministre en décembre, bénéficieront d'une aide plus importante. Les villes et les communes rurales les plus pauvres (éligibles à la dotation de solidarité urbaine « cible » et à la dotation de solidarité rurale « cible ») qui réformeront leurs rythmes scolaires dès 2013 auront en effet droit à 90 euros par enfant dès cette année et pourront continuer à bénéficier de 45 euros par enfant pour la rentrée 2014.

Les 24.000 communes disposant d'au moins une école avaient jusqu'au 31 mars pour décider si elles adoptaient les nouveaux rythmes scolaires à la rentrée 2013 ou si elles attendaient un an de plus. Une minorité d'entre elles a choisi de sauter le pas. Un élève sur quatre seulement sera concerné , soit tout au plus 1,5 million d'enfants, selon les statistiques provisoires du ministère de l'Education nationale. Des estimations proches de celles du SNUipp-FSU, le principal syndicat du primaire (22,3 % des écoliers, 22,5 % des écoles et 18,6 % des communes).

C'est « définitif »

4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 20:56

 

 

Réunis à Marseille pour leur congrès qui a lieu tous les trois ans, les militants du SE-UNSA se divisent sur les rythmes scolaires. Le deuxième syndicat d'enseignants a pourtant clairement soutenu le retour aux quatre jours et demi de classe dans le primaire dès la rentrée prochaine.

 

Même si une minorité de communes ont choisi de réformer les rythmes scolaires en 2014 , le sujet continue d'animer les débats entre militants syndicaux. Mercredi, à Marseille, où le deuxième syndicat d'enseignants tient actuellement son congrès, l'ambiance était celle d'une cour de récréation sur la question sensible du retour aux quatre jours et demi de classe dans le primaire.

 

« On n'est pas dans « oui-oui land» »

Le sujet divise, dans un syndicat qui a officiellement pris position en faveur de la mise en place des nouveaux rythmes dès la rentrée 2013. Autour d'un déjeuner, la discussion s'anime. « Les nouveaux rythmes sont bons, y compris pour les enseignants, assure le secrétaire national en charge de la formation au SE-UNSA, Joël Pehau. Quand vous faites classe sur quatre jours et demi, vous n'avez pas le chronomètre qui s'enclenche comme sur une semaine de quatre jours. Le temps s'étire différemment. »

« Mais ne soyez pas autistes ! On n'est pas dans ‘‘oui-oui land'' ! lance Jean-François Teissier, secrétaire départemental du SE-UNSA du Val-de-Marne. Il faut les entendre, les enseignants, sur le terrain, et notamment les jeunes femmes enseignantes qui nous expliquent qu'elles n'ont réussi à obtenir une nounou pour leurs enfants qu'à condition de ne pas la faire travailler le mercredi. Chez nous, les nounous font la loi. Or, avec les nouveaux rythmes, ces enseignantes vont devoir travailler le mercredi. Où est l'avantage de la réforme, pour elles ? »

« Ce discours, on l'entend, l'arrête Joël Pehau. Mais ce n'est pas parce que c'est difficile qu'il faut suivre l'eau tiède. Fin août, tout le monde était d'accord pour les quatre jours et demi. » « Pas la base ! » s'emporte Claude Azous, secrétaire du SE-UNSA du Val-de-Marne en charge du premier degré.

Notre positionnement sur les rythmes est « pleinement assumé », indiquait le secrétaire général du SE-UNSA, Christian Chevalier, dans son discours d'ouverture du congrès, le 3 avril. Depuis plus de trente ans, nous traitons de la nécessité de mieux harmoniser les rythmes sur l'année, la semaine et la journée ». En 2007, rappelle-t-il, « lors du passage brutal à la semaine de quatre jours sous l'impulsion de Xavier Darcos (l'ancien ministre de l'Education nationale, NDLR), nous avions embouché notre cor syndical pour rejoindre le concert bruyant des hauts cris poussés par l'ensemble de la communauté éducative ». Si la méthode Peillon n'a « pas laissé le temps à l'appropriation concrète du sujet par les enseignants quant à la mise en oeuvre fonctionnelle du nouveau dispositif (...), nous ne pouvions pas rester plantés au milieu du gué, hésitant quant au chemin à suivre », ajoute Christian Chevalier.

« C'est normal que les gens râlent...

 La suite... 

4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 18:14

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Saiint-Germain-en-Laye, poids lourd des communes des Yvelines qui devait changer rythme en 2013,  jette aussi l'éponge : ça sera finalement 2014 ! A ce train, il ne restera plus que Trappes dans les Yvelines...

 

Lire ici

4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 18:09

 

04-04-2013 18-07-45

 

 

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