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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 18:33
 
Dans le cadre de la politique de la ville le gouvernement va revoir la carte des quartiers prioritaires. Ces derniers passeraient de 2 500 à 1 000. La carte de l’éducation prioritaire pourrait être redessinée elle aussi, alors que s’ouvrent des discussions avec la rue de Grenelle.

 

Le Comité interministériel des villes réuni le mardi 19 février a présenté 27 mesures censées signer « le retour de l’État dans les quartiers » selon le premier ministre. Dire qu’il y a urgence dans les quartiers concernés par la politique de la ville tombe sous le sens. En moyenne le taux de chômage y est de 22,7%, un tiers des habitants vivent sous le seuil de pauvreté, un quart des jeunes y sont en échec scolaire et les inégalités persistent et s’aggravent entre les banlieues et le reste du territoire. Mais pour autant, le ministre délégué à la ville François Lamy a prévenu : la relance de la politique de la ville se fera à moyens constants. Difficile de promettre la lune dans ces conditions. C’est même plutôt un serrage de ceinture qui s’annonce puisque le budget de 500 M€ du ministère de la ville alloué chaque année à 2 500 quartiers défavorisés, ne devrait plus en toucher que 1 000 dès la mise en œuvre du plan. Ce dernier commencera donc par une redéfinition de la carte de la politique de la ville qui devra désigner « les quartiers prioritaires » (1 000 au total donc), dans lesquels seront mises en œuvre les mesures des politiques de la ville.

L’éducation prioritaire dans moins de quartiers ?

Pour ce qui concerne l’éducation, les mesures annoncées constituent pour l’essentiel une reprise de celles contenues dans le projet de loi pour l’école ou dans différentes circulaires déjà annoncées. Sur les 27 mesures de la politique de la ville c’est la 8e qui touche directement à l’école. Elle prévoit la mise en convergence de « l’éducation prioritaire avec la future géographie de la politique de la ville, en tenant compte des établissements scolaires comportant une proportion majoritaire d’élèves issus des quartiers prioritaires ». C’est à l’aune de ce redécoupage « qu’il faudra cibler la répartition des moyens que l’éducation déploie au titre de la Refondation de l’école » (scolarisation des moins de trois ans, plus de maîtres que de classes, affectation d’EVS). Par ailleurs, les villes abritant un quartier prioritaire devront conclure systématiquement un programme de réussite éducative. Enfin, l’État entend « organiser la participation des services académiques à la préparation des contrats de ville et leur signature par les recteurs ».

Ouverture de discussions rue de Grenelle

De son côté, le ministère vient d’ouvrir un chantier de réflexion avec les organisations syndicales sur l’avenir de l’éducation prioritaire. Vendredi dernier, le SNUipp a posé des premières exigences :

- besoin de clarification à propos de dispositifs devenus des “mille-feuilles” illisibles
- nécessité de mieux articuler et coordonner ce qui relève de la politique de la ville et de l’Éducation nationale,
- révision de la cartographie de l’éducation prioritaire avec en son sein des aides d’intensité diverse, révisables de manière pluriannuelle en fonction des besoins et de l’évolution des réussites des élèves,
- maintien d’une labellisation « éducation prioritaire » sur des territoires avec des ciblages à partir des écoles primaires et non des secteurs collèges.

Rien ne sera décidé pour la rentrée 2013. D’autres sujets ( taille des classes, formation et accompagnement des équipes, création de nouveaux métiers aux côtés des enseignants, coordination des actions...) seront aussi à évoquer dans les prochaines séances. Pour le SNUipp, le chantier de l’éducation prioritaire est d’une grande importance. C’est en priorité dans ces écoles que se joue l’amélioration de la réussite des élèves.

Voir :
- les vingt-sept mesures du CIV

25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 18:29

In Marianne

C03-24Confronté voici quelques jours à sa première grève nationale, critiqué par une bonne partie des syndicats enseignants, Vincent Peillon, en charge de l'Education nationale, est en passe de devenir l'un des ministres les plus contestés du gouvernement.   
 Confronté voici quelques jours à sa première grève nationale, critiqué par une bonne partie des syndicats enseignants, Vincent Peillon, en charge de l'Education nationale, est en passe de devenir l'un des ministres les plus contestés du gouvernement. Et c'est un paradoxe - sinon une injustice -, car l'intéressé est aussi l'un de ceux qui s'étaient le plus méticuleusement préparés à leur charge et avaient le plus réfléchi aux réformes nécessaires. Stupéfiant retournement de situation, dont il importe, donc, de comprendre les raisons.

Des ministres faibles ou inconsistants, il n'en manque pas dans l'équipe de Jean-Marc Ayrault. Mais Vincent Peillon ne fait assurément pas partie du lot. Philosophe cultivé, il est au contraire l'un des rares qui soient dotés d'une forte personnalité. Lui avait préparé les réformes qu'il souhaitait conduire. A la différence d'un Pierre Moscovici qui a hérité du ministère des Finances par ambition, presque par hasard, et qui, dandy dilettante à la manière de son ex-mentor Dominique Strauss-Kahn, n'a jamais pris la peine d'apporter sa pierre à une refondation ou à l'enrichissement de la doctrine économique des socialistes, Vincent Peillon avait, lui, pour l'éducation une véritable passion. Il aurait donc pu - c'est le premier des paradoxes - être un grand ministre.

Le second paradoxe, c'est que l'Education nationale a aussi été l'un des atouts de François Hollande pendant la campagne présidentielle. Sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, la politique de réduction à marche forcée des effectifs publics a fait des ravages : au total, ce sont près de 80 000 postes d'enseignants qui ont été supprimés en cinq ans. Avec sa promesse d'inverser le cours des choses et de créer 60 000 postes, le candidat socialiste avait redonné de l'espoir aux enseignants.

Cet espoir, Vincent Peillon l'a consolidé, tout au long de la campagne présidentielle, en détaillant le projet socialiste, et la refondation de l'école qu'il prévoyait, dont la réforme des rythmes scolaires n'était que l'un des volets. A l'époque, le projet a été applaudi, car la plupart des observateurs, syndicats d'enseignants compris, étaient d'accord pour constater que la réduction à quatre jours de cours par semaine en primaire, décrétée en 2008 par Nicolas Sarkozy, n'était pas conforme à l'intérêt des écoliers. Puis, l'espoir est retombé. Avant de céder le terrain à la morosité, voire à la colère.

De mystère, il n'y en a guère : c'est la politique d'austérité qui progressivement a fait sentir ses effets.

Le premier signe est venu dès la campagne présidentielle, quand François Hollande a fini par convenir - d'abord du bout des lèvres - que les 60 000 fameuses créations d'emplois dans l'éducation auraient une contrepartie qui initialement n'avait pas été annoncée : des suppressions de postes en nombre équivalent dans d'autres ministères.

Le budget pour 2013 est ensuite venu conforter cette désillusion, avec des crédits sous forte contrainte, hormis ceux débloqués pour les créations de postes. Puis il y a eu la confirmation que la politique salariale d'austérité conduite par Nicolas Sarkozy pour la fonction publique serait maintenue. Alors qu'aucune mesure de revalorisation générale du point d'indice qui sert de base au calcul des salaires des fonctionnaires n'est intervenue depuis 2010 - et encore, cette année-là, le gouvernement de François Fillon s'était-il montré chiche, avec une hausse de seulement 0,5 % -, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault a fait le choix de maintenir ce gel. Circulez, il n'y a rien à négocier !...
25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 18:17

In Café Pédagogique

 

V.Peillon annonce la réforme du bac et la réduction des vacances d'été à 6 semaines

 

Déjà très contesté par les enseignants du primaire, le ministre de l'éducation nationale annonce sur BFM TV, le 24 février, son intention de réformer les congés d'été, un symbole pour tous les enseignants, et le bac, un monument national. Vincent Peillon a repris des orientations qui ne sont pas nouvelles. Mais parler de ces projets dans une émission télévisée c'est faire une annonce. Au moment où la réforme des rythmes scolaires se passe si mal, n'est-ce pas un pont trop loin ?

 

.../...

Une anomalie en Europe ?

 

V. Peillon déclare qu'il y a 40 semaines de cours en Allemagne, laissant entendre que c'est la norme européenne. Mais est-ce exact ? Le régime des vacances en Allemagne diffère d'une région à l'autre. Effectivement en Bade-Wurtemberg on compte 12 semaines de vacances dont la moitié en été. Mais on en compte 13 en Bavière, à Berlin, à Hambourg et en Rhénanie Pfalz par exemple. La Finlande compte 16 semaines de congés annuels, l'Italie 17, l'Espagne 15 et le Royaume-Uni 13. En Europe, seuls le Danemark, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont des vacances d'été inférieures à 8 semaines, avec 6 semaines dans ces trois cas. Seize pays européens ont des vacances d'été de 9 semaines et plus. Le record est à chercher en Lettonie et Estonie avec 13 et 12 semaines. Mais Chypre, la Finlande, la Hongrie, l'Islande, la Roumanie, la Slovaquie et la Suède ont deux mois et demi de congés d'été. Avec 6 semaines de congés d'été, la France s'alignerait sur l'exception et non la norme.

 

 

On l'aura compris au passage : aucun pays européen n'applique les rythmes souhaités par les chronobiologistes, le fameux 7 semaines de cours suivis par 2 semaines de vacances. Et on aurait du mal à trouver un lien entre les résultats aux évaluations internationales et l'organisation des congés.

 

La durée du temps d'enseignement varie aussi beaucoup en Europe. Mais la France avec ses 864 heures au primaire et 1108 en seconde fait partie des pays où il y a le plus d'heures. Seuls le Luxembourg et le Portugal en ont davantage.

 

La suite...

2597507_IDE-Vacances-Europe.jpg

 

Organisation du temps scolaire en Europe 

24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 19:34

  http://www.gitesdarmor.com/IMG/nathalie/bonnevacance.jpg

 
Lui qui, l'automne dernier, estimait que la question n'était pas prioritaire, semble avoir changé d'avis. Le ministre de l'Education estime désormais que "six semaines, c'est suffisant". En forme de justification, Vincent Peillon explique avoir procédé par ordre : d'abord les rythmes scolaires à l'école, puis au collège et au lycée.
 
C'est un vieux serpent de mer, qui vient de refaire surface un peu brutalement. Et c'est le ministre de l'Education en personne qui remet le sujet sur la table : "Nous devons être capables d'avoir un zonage l'été, deux zones, et nous devons être capables d'avoir six semaines, c'est suffisant", a dit Vincent Peillon sur BFMTV ce dimanche soir.
 
 
 
 
24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 19:16

http://www.alz.org/braintour/images/alzheimer_brain.jpg

L'UMP réunit le 8 novembre sa Convention éducation et publie ses propositions de campagne pour les présidentielles de 2012 en matière d'éducation. Elles se déclinent autour de 4 points : la réforme des rythmes scolaires, celle du collège, le management scolaire et la réforme du statut des enseignants.

 

 

Après avoir modifié les rythmes scolaires sous X Darcos, l'UMP propose de nouveaux rythmes en conformité avec les recommandations de l'Académie de médecine. Extension de deux semaines de l'année scolaire, sans qu'il soit fait mention d'une compensation, au primaire et au secondaire, semaine de 4 jours et demi au primaire, pause méridienne d'une heure et demi.

 

Source Café Pédagogique

 

24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 17:37

http://www.ignnisaa-tem-prisar.com/images/fluctuat_nec_mergitur.png

Sentant le bateau sérieusement tanguer et pour éviter le naufrage, la municipalité de Paris s'est doté, vendredi, d'un nouvel outil, signe de sa volonté de concertation,  le questionnaire en ligne, et  invite les Parisiens à «participer au projet».

  

Je me suis rendu sur le site par curiosité...

- Je n'habite pas Paris et je n'ai aucun enfant scolarisé dans la capitale : pas de problème, j'ai pu répondre au questionnaire en ligne, il n'y aucune vérification d'identité. Ah, si ! on me demande l'arrondissement et le nombre d'enfants en maternelle et en primaire (j'indique 3 de chaque : au diable, l'avarice !) Je passe sur les questions trés orientées.

- Le lendemain, je retente l'expérience, en me disant qu'il doit y avoir au moins, un filtrage des ip. Que nenni ! Je peux à nouveau donner mon avis. J'en profite pour changer d'arrondissement, le 16ème, c'est quand même plus classe et je décide de ne plus mégoter : allez, + de 5 enfants en mater et + de 5 en primaire !

 

Toujours pas de problème : mon questionnaire est validé. J'aurais pu renouveler l'expérience pour tous les arrondissements de Paris.

 

Sans commentaire. 

24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 10:32

In Libération

 

C03-18Récit Le ministre de l'Education est en tournée dans toute la France pour convaincre de l'utilité de la semaine de quatre jours et demi.

   

Le ministre VRP de la réforme des rythmes scolaires poursuit sa tournée. Rude besogne que de convaincre les maires de l’intérêt qu’ils ont à passer à la semaine de 4 jours et demi dans le primaire dés la rentrée 2013...

Vincent Peillon en a fait l’humiliante expérience vendredi soir à Montpellier où la maire socialiste, Hélène Mandroux, n’a pas même daigné venir à sa rencontre. Le président de l’Agglomération de Montpellier, Jean-Pierre Moure, avait pourtant invité tous les maires de cette collectivité à venir dialoguer avec le ministre de l’Education nationale.

 

Depuis cet été, il tente de convaincre les 31 communes du territoire d’appliquer la réforme dés le mois de septembre. Mais la veille de la venue de Vincent Peillon, la ville centre de Montpellier - censée entraîner le mouvement - a annoncé qu’elle ne serait pas prête avant 2014. Après Lyon en début de semaine, cette nouvelle défection d’une grande ville de gauche fragilise un peu plus la réforme et le ministre qui la porte. Moins flamboyant qu'à l’accoutumée, Vincent Peillon s’est efforcé de donner le change et de jouer les pédagogues face à ce parterre d'élus plutôt réticents. Bien rodé à travers son marathon qui, vendredi encore, l’a conduit à sillonner deux régions dans la même journée, son principal argument consiste à inscrire cette réforme comme une étape essentielle l’une plus vaste refondation de l'école. «Or si nous ne sommes pas capables de faire les quatre jours et demi, il ne faut pas raconter que derrière on fera la suite», a-t-il prévenu.

 

Oscillant en permanence entre le bâton et la carotte, il a aussi souligné que «2013 devait être la règle et 2014 l’exception». Mais pas question pour autant de «stigmatiser», ni de «punir». A l’entendre, c’est la liberté de choix laissée aux villes qui finalement leur ferait «peur». Conscient «des difficultés qu’elles peuvent rencontrer», il a assuré que «prendre un an de plus, en pleine période électorale (les municipales de 2014, ndlr), n’améliorera pas forcément les choses».

 

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 17:58

In NouvelObs

 

  C03-24Face au mécontentement des enseignants à l’idée de revenir travailler le mercredi matin, le maire de Paris envisage une mesure.

 

  Pour l’instant, rien n’est officiel. Mais une solution serait envisagée par la Mairie de Paris pour apaiser les enseignants de la Ville, majoritairement hostiles au changement des rythmes scolaires à la rentrée 2013 (il est prévu qu’ils donnent 45 minutes de cours en moins les jours de la semaine et que ce temps soit regroupé le mercredi matin). Il s’agirait de garantir la présence d’un Asem (Assistant spécialisé des écoles maternelles, appelé Atsem ailleurs en France) dans chaque classe d’école maternelle.

 

La suite...

22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 17:51

In Libération

 

Capture d'écran du questionnaire posté sur le site paris.fr.
Capture d'écran du questionnaire posté sur le site paris.fr.

 

À chaud Alors que la contestation monte et que plusieurs grandes villes retardent l'application de la réforme, Bertrand Delanoë a décidé de sonder les Parisiens par Internet.

La réforme des rythmes scolaires prendrait-elle l’eau? Le ministre Vincent Peillon a beau parcourir la France pour convaincre les maires de se lancer dans la semaine de quatre jours et demi dès septembre prochain, les signes de mauvais augure s’accumulent.

 

La semaine dernière, le maire de Lyon, Gérard Collomb (PS) a annoncé qu’il reportait d’un an l’application de la réforme. Les grandes villes ont jusqu’au 31 mars pour dire si elles se lancent dès 2013 ou si elles préfèrent attendre 2014. A Montpellier, la maire socialiste Hélène Mandroux hésite. «Je m’oriente vers 2014», a-t-elle reconnu, il y a deux jours. «J’ai toujours été contre la semaine des quatre jours, mais ce qui m’importe, c’est la qualité. On ne peut pas passer comme ça à quatre jours et demi.» A Lille, la partie est loin d’être gagnée non plus. Vincent Peillon a dit mercredi attendre de «voir ce que ferait Martine Aubry» (la maire) - le conseil municipal doit voter sur la question le 18 mars prochain.

 

Et si la Ville de Paris, où la contestation des enseignants est très vive, reculait elle aussi? Au départ, le maire socialiste, Bertrand Delanoë, avait annoncé qu'il appliquerait la réforme dès septembre. Mais au fil des grèves et manifs à répétition des enseignants, son discours a changé. «D’abord, ce sur quoi je persiste, c’est la concertation, la décision ne sera prise que fin mars», disait-il au micro de France Info le 11 février.

La municipalité a déployé un grand plan de concertation, à coup de groupes de travail et de réunions publiques, envoyant au front sa première adjointe Anne Hidalgo défendre «une réforme pour les enfants». Nouvel outil, tout frais, ajouté à cet arsenal: le questionnaire en ligne, publié ce vendredi matin sur le site Internet de la Ville de Paris, invitant les Parisiens à «participer au projet».

 

La suite...

21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 20:32

http://fr.stockfresh.com/thumbs/colour/1765709_euros-coup-studio-argent-croix-jesus.jpg

In Le Monde

 

Le Conseil constitutionnel a tranché, l'Etat peut – malgré son statut laïc défini dans la Constitution – continuer à rémunérer prêtres, pasteurs et rabbins en Alsace-Moselle, un statut spécifique de ces départements.

 

Saisis par une association de défense de la laïcité qui dénonçait le principe de cette rémunération, les "sages" ont considéré qu'aussi bien en 1946 qu'en 1958, les constituants n'avaient "pas entendu remettre en cause" la rémunération des ministres du culte dans les départements alsaciens du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, ainsi qu'en Moselle.

 

La suite...

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