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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 11:51

Alors que le gouvernement a promis de créer de vrais établissements dans le primaire (Epep), que l'Institut Montaigne vient de délivrer un rapport qui met en avant le rôle du directeur chef d'établissement, que pensent les instits du statut de l'école et de son évolution ? C'est l'objet d'une senquête du Snuipp sur la direction d'école.

 

Le ministère envisage de doter certaines écoles d’un statut d’EPEP analogue à celui des collèges ( EPLE) . Souhaitez-vous une telle évolution ?

Pour 72,53 % des enseignants, les EPEP ne sont pas souhaités. Ce chiffre grimpe à 81,74 % pour les seuls adjoints. Pour les directrices et directeurs, 69% ne désirent pas leur création.
Par contre, à partir de 10 classes, ils ne sont plus que 44% à ne pas le souhaiter contre 54%.

Favorables ou non aux EPEP, les enseignants font état très majoritairement des mêmes réserves concernant le fonctionnement de la structure école primaire : opposition à une super-structures perdant toute dimension humaine, attachement à la proximité avec la communauté éducative, à l’égalité des dotations et des équipements de l'école, à l’autonomie pédagogique des équipes et de leurs projets par rapport aux collectivités locales, cohérence du partenariat éducatif école-collectivité. De plus, très majoritairement, les enseignants veulent un directeur qui soit toujours enseignant sans pouvoir hiérarchique.

 

L'enquête du Snuipp

 

  09-06-2010 12-01-18

5 avril 2010 1 05 /04 /avril /2010 11:39

http://www.collectif-ecole-publique-ploermel.org/images/epep1.jpg

Le ministère de l’éducation Nationale veut lancer des « Etablissements Publics d’Enseignements du Premier degré » qui regrouperaient, sur un territoire, toutes les écoles (trente classes ou plus). Ce regroupement administratif des écoles conduirait à concentrer les effectifs des classes pour en supprimer et pour faire des économies d’échelle dans la gestion. Le dogme de la réduction des investissements publics prend le pas sur la nécessaire mise en place des moyens pour réussir la démocratisation scolaire et l’égalité d’enseignement dans toutes les écoles.

L’Epep serait piloté par un conseil d’administration, terme ambigu qui ne doit pas tromper : il s’agit d’un CA à l’anglo-saxonne. 50% des membres du CA seraient des représentants des collectivités locales. Le président du CA serait obligatoirement un élu local lui aussi. Les représentants des personnels ne dépasseraient pas 30% du CA. Les autres 20% étant réservés à un contingent de parents ou de personnalités locales, parmi lesquelles les représentants d’entreprises privées du territoire. Ce choix accentue l’emprise sur l’école des intérêts particuliers. La logique de décentralisation est également accentuée dans ses mauvais côtés : on sait déjà que les disparités territoriales sont très grandes dans l’état actuel des choses. La prise de décisions différentes sur chaque territoire ne peut conduire qu’à une accentuation de ces inégalités. D’autant que, sous couvert de décentralisation, la gestion des établissements serait encore plus délégataire : les premiers concernés, personnels et parents, auraient encore moins de pouvoir d’intervention.

Les pouvoirs publics démissionnent de leur responsabilité à assurer l’égalité en matière d’éducation. Mais cette forme de décentralisation prive aussi les collectivités locales de leur pouvoir d’intervention et d’impulsion : les décisions étant prises par ce Conseil d’Administration, elles s’imposeraient de fait au collectivités locales qui n’auraient plus qu’à payer sans discuter, sans moyens supplémentaires, tout en étant dessaisies de certaines compétences (dans la logique supra-communale les EPEP pouvant regrouper plusieurs communes, chaque commune devrait participer aux dépenses pour les classes des autres communes, sans avoir son mot à dire ; est-ce que le système des Epep va conduire chaque commune à payer pour les écoles privées des villes regroupées sur le même territoire que l’Epep quand on sait que déjà cette pression existe pour les communes dans lesquelles existent des établissements privées, La loi Carle a récemment entériné cela,  d’où la fronde de nombre de maires actuellement ). Il n’y a dans ce système ni l’avantage de l’égalité d’administration du territoire national, ni la compétence des politiques locales, et encore moins le pouvoir d’intervention des salariés et des usagers de l’éducation nationale. On pourrait au contraire créer de nouveaux pouvoirs d’intervention des enseignants, des autres personnels et des parents, comme d’aider à ce que les élèves s‘approprient l’école, non pas pour créer une école différente à chaque endroit, mais pour que ce pouvoir d’intervention débouche sur des décisions collectives au plan national, assurant l’égalité.

Le ministre voudrait faire disparaître l’actuelle fonction de directeur d’école pour laisser la place à un manager de l’ensemble de l’Epep, qui ne soit plus nommé par l’administration nationale, mais choisi par ce conseil d’administration local. Ce chef d’établissement aurait un pouvoir accru dans le recrutement des personnels, au nom du « projet » de l’établissement. La logique managériale de l’entreprise privée se substituerait à la logique de service public d’éducation nationale. La suppression du conseil des maîtres, comme l’affaiblissement du rôle des inspecteurs et des conseillers pédagogiques, laissant chacun seul face à un supérieur hiérarchique local, obéit au dogme capitaliste de la rentabilité et de la performance individuelle : mise en concurrence entre enseignants et entre classes au sein d’un même Epep, concurrence entre Epep voisins. S’y ajoute la logique de caporalisation pédagogique.

Il s’agit d’une vision radicalement différente et complètement inédite de l’école, la trans-formant en « entreprise » avec à sa tête un « chef d’entreprise » (super-directeur-trice). C’est une attaque à l’école républicaine ! En effet, le ministère propose (projet de décret) de créer un statut d’emploi fonctionnel « uniquement pour les directeurs complètement déchargés ».

Le recrutement ne se fera plus par le « mouvement » (qui régule les désirs des enseignants en garantissant les besoins de service public) mais par appel à candidature, parmi ceux et celles qui ont déjà exercé les fonctions de direction, et après un entretien. De nouvelles missions seront définies et une semaine de formation supplémentaire sera donnée pour les Epep. Le ministre annonce une revalorisation « significative », seulement pour les directeurs déchargés, avec un bonus pour les directeurs d’Epep !

La loi de décentralisation introduit, dans son article 86, les Etablissements publics d’enseignement primaire (EPEP). Ce sont des établissements d’une vingtaine ou d’une trentaine de classes, dirigés par un chef d’établissement déchargé de service. A l’heure où l’école primaire sous sa forme actuelle est remise en cause à l’échelle européenne, les EPEP constituent un outil de destruction massive de l’école, et de soumission des écoles et des enseignants aux collectivités locales. Ces chefs d’établissements, des petits chefs pour les enseignants, sans charge de classe, auraient pour seule fonction de transmettre les consignes de la hiérarchie ou du maire, et de se faire obéir de leurs subordonnés.

Baisse des moyens

Dans un Epep, les moyens sont attribués à l’échelle de l’Epep. Dans la période de restrictions budgétaires que nous connaissons, il va sans dire que les dotations de moyens seront revues à la baisse, et qu’il faudra donc se répartir la misère au sein de l’Epep. La deuxième cible des restrictions budgétaires sera l’école maternelle. Sans publier de décret national, au cas par cas, grâce aux Epep, on va donc adapter l’école française aux normes européennes pour la prise en charge des jeunes enfants : fin des petites et moyennes sections, remplacées par des « jardins d’enfants », ou des « jardins maternels » payants, subventionnés par les Caisses d’allocations familiales. De nombreuses modifications de la législation concernant la prise en charge des jeunes enfants ont été introduites ces dernières années, et on peut lire leur conséquence dans le BO du 30 septembre 2004 : l’accueil des enfants en maternelle doit se faire « dans la limite des places disponibles » et le cas de l’absence d’école maternelle est explicitement envisagé.

Menace pour les petites écoles


Enfin dans les zones rurales, les EPEP seront sous la tutelle des communautés de communes : un EPEP pour une communauté de communes. Cela risque de provoquer le regroupement de toutes les classes dans un seul lieu, dans la commune la plus importante de la communauté de communes, et donc la fermeture des petites écoles, avec toutes les nuisances que cela implique pour les enfants, les parents et les petites communes.

Vers le transfert des enseignants à la Fonction Publique Territoriale

Travaillant dans une structure dépendant entièrement des communautés de communes ou des municipalités, il paraît naturel au ministère que les enseignants du primaire soient, à terme, payés par les communautés de communes. C’est ce que l’éponyme du rapport Thélot a déclaré en 2004. Espérant vous avoir apporté un éclairage sur ces Epep, qui ne sont pas une réforme mais une révolution néo conservatrice au sens économique du terme, à l‘heure où on reparle de Keynes pour réguler le capitalisme sauvage, on voit que nos gouvernants actuels s’en fichent royalement.

24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 08:35
In Café Pédagogique

school_master_ringing_bell_md_wht.gifLuc Chatel vient de lancer la procédure qui pourrait permettre la généralisation des EPEP. Un décret daté du 17 mars nomme le député Frédéric Reiss, chargé d'une mission temporaire auprès de Luc Chatel. Elle concerne le statut des directeurs d'école primaire et les directions. Elle aboutira à un rapport fin juin.

Or Frédéric Reiss avait remis en novembre 2008 un rapport préconisant la généralisation des EPEP et un statut hiérarchique pour les directeurs d'école. Arguant que " l’autorité et le rayonnement pédagogique d’un directeur d’école, d’un principal de collège ou d’un proviseur de lycée jouent pour beaucoup dans l’amélioration des résultats obtenus par un établissement", i y plaidait pour la création de directeurs d'école ayant un rôle comparable à celui des proviseurs.

La suite...
16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 18:42
In 20minutes


http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn_mvs/2009-12/2009-12-16/article_1612-LYO03-ECOLEPRIMAIRE.jpgEt si à l'avenir, dans les écoles, les petits Lyonnais pouvaient étudier, bénéficier de soutien scolaire et se divertir ?

C'est en tout cas l'objectif de la municipalité qui, selon nos informations, souhaite créer à titre expérimental à la rentrée 2010 quatre établissements publics locaux de coopération éducative (EPLCE). Chacun regrouperait quatorze classes, soit deux écoles, et serait piloté par l'Education nationale et la commune, dont les compétences en matière scolaire seraient clairement accrues. « Il y a urgence à mettre en cohérence au sein de l'école le travail des enseignants, des agents communaux et des intervenants extérieurs, estime l'adjoint aux Affaires scolaires, Yves Fournel (Gaec). Nous avons proposé des pistes de travail qui sont à l'étude au ministère. »


Le projet semble pourtant déjà bien abouti. La mairie prévoit en effet d'alléger la journée scolaire, d'allonger la pause déjeuner et de rouvrir les écoles volontaires le mercredi matin. Le temps libre avant, après la classe et pendant la pause de midi serait consacré aux activités périscolaires.

 Une réorganisation qui ne fait pas l'unanimité du côté des syndicats. « Dans ces EPLCE, la municipalité aura beaucoup plus de pouvoir et sera davantage impliquée dans le fonctionnement de l'école et la pédagogie. Accepter cela, c'est accepter la privatisation de l'école », dénonce Jean-Paul Maury, délégué Snudi-FO. W

à Lyon, Élisa Frisullo

 

2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 11:20
In Café Pédagogique

Si les maires considèrent toujours l'école comme importante, le pourcentage de ceux qui défendent les EPEP est tombé à 14% selon une étude de l'ANDEV.
L'Association des directeurs de l'éducation des villes françaises a tenu congrès fin octobre. A cette occasion, l'Andev a publié le résultat d'un sondage réalisé auprès de centaines de maires. Selon cette étude, seulement 14% des maires seraient favorables aux EPEP, ces structures imaginées pour mettre à la tête des écoles un directeur chef d'établissement.
Ils étaient 39% en 2001.

La suite...
22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 20:37
In Snudi-fo69

La ville de Lyon prépare les EPEP !

Le SNUDI-FO alerte toute la profession ! Depuis quelques semaines, la ville de Lyon réunit dans les écoles des représentants des ATSEM et des ATSEP pour évoquer la réorganisation de la semaine scolaire.

 

Le SNUDI-FO s'est procuré le document de travail préparatoire à ces réunions, que vous trouverez ci après.

 

On y lit notamment:

 

  • « Evolution du calendrier scolaire sur la base d'une semaine de 4,5 jours avec le mercredi matin travaillé »

  • « Regroupement des écoles en prévision de la création des EPEP (Etablissements Publics d'Enseignement Primaire) de 400 à 500 élèves avec mutualisation des moyens humains et matériels »

  • « 2009/2010 : concertation ; 2010/2011 : expérimentation dans quelques écoles ; septembre 2011 : généralisation »

 

Ainsi, la ville de Lyon voudrait imposer unilatéralement à tous les collègues de travailler le mercredi matin en instaurant les EPEP. Rappelons que les EPEP sont des regroupements d'école dirigés comme des entreprises privées par un conseil d'administration où les élus locaux sont majoritaires !

 

Comment comprendre que la ville de Lyon prépare la mise en place des EPEP et les suppressions de postes qui vont avec (« mutualisation des moyens humains »), alors qu'aucun texte de loi n'a été voté ni même discuté sur cette question ?

 

Le SNUDI-FO demande immédiatement audience auprès de M.Fournel, adjoint aux affaires scolaires de la ville de Lyon.

 

Nous invitons tous les collègues à participer à la réunion d'information syndicale organisée par le SNUDI-FO à Lyon le 18 novembre pour faire le point sur cette question.

 

 

Téléchargez le document de la ville de Lyon !

9 octobre 2009 5 09 /10 /octobre /2009 12:26

In Se-Unsa


Une proposition de loi enterrée ?
La proposition de loi sur la création des EPE devait être examinée dans une niche UMP en décembre 2008, repoussée en janvier puis en février 2009, puis à … une date ultérieure sans plus de précisions.

 


La RGPP
s'en mêle 

Le 13 mai 2009, Eric Woerth présente en conseil des ministres un second rapport d’étape sur la RGPP (le premier bilan avait été rendu public le 3 décembre 2008). Il pointe la mise au point mort de la création des EPEP et alerte le Ministère de l’Education Nationale.

Rebondissement
de dernière minute  

Une nouvelle proposition de loi visant à créer des EPEP serait déposée à l’automne par les mêmes députés UMP qu’en 2008. Notons que Benoist Apparu est entré, depuis, au gouvernement.

Cette seconde proposition de loi devrait distinguer de façon plus claire « le cas des communes rurales et celui des villes moyennes. »


Affaire à suivre !

 

 




 

 

9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 09:41

Alors que le projet de loi devait être discuté en janvier, puis en mars, la discussion a été de nouveau reporté, sans date...

Rappelons que
les EPEP sont rendus possibles à titre expérimental par la loi de décentralisation d'août 2004 (loi De Villepin - Coppé), qui autorise l'expérimentation par le biais des communautés de communes ou d'agglomérations, dans ses articles 87 et 88. Cette loi de décentralisation est passée au 49-3, sans vote par l'assemblée, en plein été 2004.

Rapport rendu par la commission de l'Assemblée Nationale chargée de son étude.


L'analyse du Snuipp 47

L'analyse de Sud-Education

3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 18:29





"L'occupation a bien eu lieu mardi  (les parents se sont relayés de 7h30 à 18h30 par équipes de 10, et une délégation d’une vingtaine de parents et d’enseignants s'est rendue devant l'inspection du 94 mercredi matin.

L'inspection a refusé de la recevoir mais a finalement fait savoir, après tractations, à l'intersyndicale qu'elle recevait ce jour là et qui a plaidé la cause de Nogent, qu'un poste de directeur serait mis au mouvement de juin. Les parents attendent la notification officielle.

En parallèle, une audience a été proposée à l'Inspection le 9 avril. Le maire de Nogent sur Marne, Jacques JP Martin, a en revanche annulé la réunion qu'il avait proposée aux représentants des parents (la première réunion de concertation avec les parents élus depuis le début de l'année scolaire) suite à l'occupation de l'école mardi et à l'affichage de la promesse de l'inspection mercredi. La mobilisation reste donc entière même si les actions sont suspendues jusqu'au jeudi 9.
Au-delà de la récupération du poste de directeur, il reste en effet à obtenir l’annulation de la fermeture-ouverture fictive entre les 2 écoles (l’idée en effet proposée par l’Inspection et la Municipalité est de passer de 14 classes de chaque côté à 15 et 13 (ce qui ferait sauter la décharge à 100 % dans l’école qui se retrouverait avec 13 classes).
Cette mesure est d’autant plus contestée qu’elle n’est que virtuelle puisque l’école qui bénéficierait d’une ouverture n’a pas la place de l’accueillir et que la classe resterait donc physiquement située dans l’école qui serait victime d’une fermeture !
"

Communiqué des associations de parents d’élèves PEEP, FCPE et L’ECOLO PARENTS des écoles Paul Bert et Guy Môquet

Plus d’infos sur le blog commun aux associations de parents : www.nogent-ecoles.com    


et sur Sauvons l'Ecole :

Occupation d'école à Nogent-sur-Marne : EPEP, le début ?

Projet de fusion d'écoles : des parents occupent un établissement à Nogent-sur-Marne

31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 21:13

Source AFP



Des parents d'élèves ont occupé mardi symboliquement une école de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) pour protester contre un projet de fusion d'écoles qui donnerait naissance, selon eux, à la plus grosse école de France, avec 28 classes.

Une dizaine de parents se sont relayés toute la journée pour occuper les bureaux administratifs de l'école Paul-Bert, sans perturber les cours, a dit à l'AFP Cécile Dubois, membre de la fédération des parents d'élèves FCPE, à l'origine de la manifestation avec la Peep et L'Ecolo Parents, une association locale.

Cette occupation a été confirmée par l'Inspection d'académie.


Les trois associations protestent contre un projet de fusion avec l'école Guy-Môquet voisine, soit 28 classes au total.

"Une école de 28 classes, c'est énorme. Ca n'existe pas ailleurs en France, on a vérifié", a affirmé Cécile Dubois, en ajoutant que le souci des parents portait sur la "dimension humaine" de l'école.

Il s'agirait de la plus grosse école du département, selon l'Inspection d'académie.


Ce projet, s'il aboutissait, ne serait pas mis en oeuvre avant la rentrée 2010, a assuré le maire (UMP) de Nogent-sur-Marne, Jacques Martin, dans un courrier aux parents. Pour l'instant, "d'un commun accord (avec le maire), nous attendons et nous prenons un an pour travailler sur le projet", a expliqué de son côté l'Inspecteur d'académie du Val-de-Marne, Didier Jouault.


D'ici là, les deux écoles seront dirigées par le même directeur, aidé d'un enseignant.

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