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17 mai 2018 4 17 /05 /mai /2018 13:10
26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 08:07

http://www.e-monsite.com/s/2010/09/22/cgt-educaction-var/6525950cgt-educaction-jpg.jpg


Rythmes: Appel à la grève nationale dans l'unité le 5 décembre.
Le 14 novembre, la Fédération des Services Publics CGT, la CGT Educ’action, la FNEC-FP-FO, la Fédération SPS-FO, la Fédération SUD Éducation, la Fédération SUD Collectivités Territoriales et la FAEN ont appelé à la grève nationale pour obtenir la suspension immédiate de la mise en oeuvre de la réforme, l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires et pour une autre réforme. Les enseignants et les agents et les fonctionnaires territoriaux étaient en grève et ont manifesté massivement... Lire la suite

Les "sondages" express de Vincent Peillon et de ses ami-es...

Après les sondages auprès des enfants de 3 à 5 ans, le sondage fait par les Dasen disant que dans 93% des cas tout se passait bien (on n'est jamais mieux servis que par soi même), voici celui effectué par l'Association des Maires de France auprès de 1000 communes passées aux nouveaux rythmes dès cette année (83%de maires satisfaits). Nous recherchons les 17% de maires suicidaires qui ont déclaré à 5 mois des municipales: "on s'est trompé"...
Cerise sur le gâteau lors du congrès des Maires de France, le gouvernement a élargi sa "réforme" des taux d'encadrement du peri-scolaire (TAP) à l'extra scolaire (CLSH, centres aérés). Rappelons que cela augmente le taux d'encadrement de 28 à 40%...
Enfin la réforme entraîne l'annualisation du temps de travail des Titulaires Remplaçants et des collègues nommés sur des regroupements de temps partiels...
22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 16:56

 

 

Décret PEILLON "Rythmes scolaires":

appel à la GRÈVE NATIONALE dans l’UNITÉ

jeudi 5 décembre.

Le 14 novembre, la grève a été massive.

Les enseignants et les agents des collectivités territoriales étaient en grève et ont manifesté massivement. Plus de 50% des personnels étaient en grève, 90% dans certains départements. Des manifestations très nombreuses se sont déroulées dans toutes les villes : 15 000 à Paris, 2 500 à Lyon, 3 500 à Marseille, 3 000 à Bordeaux, 2 000 à Toulon…

Dans notre département, de forts taux de participation avec plus de 200 écoles fermées aussi bien dans les grandes villes que dans les petits villages…

La grève et les manifestations étaient appelées par les fédérations FO de l’enseignement et des services publics et de santé, les fédérations CGT de l’enseignement et des services publics, les fédérations SUD Solidaire de l’enseignement et des services publics et la FAEN.

Dans plusieurs dizaines de départements, les sections du SNUIPP-FSU se sont associées à la grève et aux manifestations, d’autres avaient fait le choix de maintenir un appel à la grève le 13 novembre.

Le ministre reste sourd à l’exigence d’ouverture de négociations sur les revendications. Il annonce maintenir sa réforme en l’état, il n’envisage aucune discussion ni négociation. Il a ouvert son chantier d’adaptation des statuts de toutes les catégories de personnels à son programme de territorialisation de l’école publique.(communiqué "Chantier des métiers" en pj)

Déjà, Vincent Peillon prétend d’une part :

- annualiser les obligations de services des enseignants du primaire assurant des fonctions de remplacement ou exerçant sur des postes fractionnés

- et d’autre part élargir l’abaissement des taux d’encadrement à l’ensemble des activités extra scolaires.

Les personnels et les élèves devraient donc faire les frais de la réforme.

En faisant glisser les missions d’enseignement de l’Éducation nationale vers les communes, elle crée de graves inégalités de traitement sur le territoire, et crée une confusion entre scolaire et périscolaire (locaux, activités…).

De nombreuses communes annoncent leur refus de la mettre en place en 2014.

C’est un échec pour Vincent Peillon et ceux qui le soutiennent encore,

le ministre doit en tirer les conséquences et retirer son décret.

A l’intersyndicale du 20 novembre, au siège du SNUipp-FSU, les organisations Fédération des Services Publics CGT, CGT Educ’action, FNEC-FP-FO, Fédération SPS-FO, SUD-Éducation, Fédération SUD Collectivités Territoriales ont pris acte positivement de la proposition du SNUipp d’appeler les enseignants du 1er degré à la grève sur une plate-forme qui revendique notamment la suspension de la réforme des rythmes. L’appel du SNUipp à la grève le 5 décembre demande au ministre: « remise à plat partout où les écoles le demandent. Pas de généralisation en 2014 : suspension et ouverture immédiate de discussion pour écrire un nouveau décret des temps scolaires. » Le SNUipp a souhaité limiter l’appel à la grève le 5 décembre aux seuls enseignants du 1er degré sur un appel englobant la priorité au primaire, les rythmes et la transformation de l’école.

Le ministre ne peut se prévaloir d’aucun consensus,

il doit répondre aux personnels, répondre à la grève

en suspendant la réforme et abroger son décret.

Pour l’unité d’action de l’ensemble des personnels concernés, les organisations syndicales, Fédération des Services Publics CGT, CGT Educ’action, FNEC-FP-FO, Fédération SPS-FO, SUD-Éducation, Fédération SUD Collectivités Territoriales, réunies en interfédérale le 21 novembre 2013, appellent l'ensemble des personnels du 1er degré ainsi que les personnels des collectivités territoriales, animateurs, éducateurs territoriaux, enseignants artistiques territoriaux et ATSEM, adjoints techniques … à faire grève le jeudi 5 décembre 2013, pour obtenir

la suspension immédiate de la mise en œuvre de la réforme

et l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires.

Nous appelons les personnels à se réunir pour assurer le succès de la grève.

 

Les organisations syndicales se réuniront à la suite du 5 décembre dans l’unité la plus large possible pour faire le point sur la poursuite du mouvement pour faire aboutir ces revendications.

 

 

21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 19:38

In Sud Education

 

Appel des fédérations CGT, FO et SUD de l’éducation et des agents territoriaux
           

Après la grève massive du 14 novembre, pour l’unité d’action de l’ensemble des personnels concernés, les fédérations CGT, FO et SUD de l’éducation et des agents territoriaux appellent l’ensemble des personnels à faire grève le jeudi 5 décembre 2013 pour obtenir la suspension immédiate de la mise en œuvre de la réforme, l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires, et pour une autre réforme.

Rythmes scolaires : appel à la grève nationale dans l’unité le jeudi 5 décembre

Le 14 novembre, la Fédération des Services Publics CGT, la CGT Educ’action, la FNEC-FP-FO, la Fédération SPS-FO, la Fédération SUD Éducation, la Fédération SUD Collectivités Territoriales et la FAEN ont appelé à la grève nationale pour obtenir la suspension immédiate de la mise en œuvre de la réforme, l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires et pour une autre réforme. Les enseignants et les agents et fonctionnaires territoriaux étaient en grève et ont manifesté massivement.

Pour toute réponse, Vincent Peillon prétend, d’une part, annualiser les obligations de service des enseignants du primaire assurant des fonctions de remplacement ou exerçant sur des postes fractionnés et, d’autre part, élargir l’abaissement des taux d’encadrement à l’ensemble des activités extra scolaires.

Les personnels et les élèves devraient donc faire les frais de la réforme.

La réforme des rythmes, mise en place à la rentrée 2013 pour un peu plus de 20 % des écoliers, fait apparaître de grandes difficultés. Déjà de nombreuses communes annoncent leur refus de la mettre en place en 2014.

En faisant glisser les missions d’enseignement de l’Éducation nationale vers les communes, elle crée de graves inégalités de traitement sur le territoire, et crée une confusion entre scolaire et périscolaire (locaux, activités…).

Elle va à l’encontre de l’intérêt des élèves et de celui de l’ensemble des acteurs concernés.

Cette réforme bâclée a été mise en œuvre contre l’avis d’une majorité des personnels et de leurs organisations syndicales, elle a été imposée sans les moyens d’encadrement nécessaires.

C’est un échec pour Vincent Peillon et ceux qui le soutiennent encore, le ministre doit en tirer les conséquences et retirer son décret.

À l’intersyndicale du 20 novembre au siège du SNUipp-FSU, les organisations Fédération des Services Publics CGT, CGT Educ’action, FNEC-FP-FO, Fédération SPS-FO, SUD-Éducation, Fédération SUD Collectivités Territoriales ont pris acte positivement de la proposition du SNUipp d’appeler les enseignants du 1er degré à la grève sur une plate-forme qui revendique notamment la suspension de la réforme des rythmes.

Le ministre ne peut se prévaloir d’aucun consensus, il doit répondre au personnel, il doit répondre à la grève.

Pour l’unité d’action de l’ensemble des personnels concernés, les organisations syndicales, Fédération des Services Publics CGT, CGT Educ’action, FNEC-FP-FO, Fédération SPS-FO, SUD-Éducation, Fédération SUD Collectivités Territoriales, réunies en interfédérale le 21 novembre 2013, appellent l’ensemble des personnels du 1er degré ainsi que les personnels des collectivités territoriales, animateurs, éducateurs territoriaux, enseignants artistiques territoriaux et ATSEM, adjoints techniques… à faire grève le jeudi 5 décembre 2013, pour obtenir la suspension immédiate de la mise en œuvre de la réforme et l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires.

Nos organisations appellent leurs instances locales et départementales à se réunir en intersyndicales et en assemblées générales avec les personnels, dans le cadre unitaire le plus large possible, pour assurer le succès de la grève du 5 décembre et des suites à donner à cette lutte pour imposer une autre réforme.

Les organisations syndicales se réuniront à la suite du 5 décembre dans l’unité la plus large possible pour faire le point sur la poursuite du mouvement pour faire aboutir ces revendications.

21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 19:35

Rythmes, conditions de travail, budget, éducation prioritaire sont au cœur des revendications du SNUipp-FSU qui appelle les enseignants à se mettre en grève le 5 décembre.

 

Réforme des rythmes, conditions de travail et budget : le SNUipp-FSU lance un appel à la grève des enseignants du premier degré pour le 5 décembre. Dans un communiqué publié mercredi 20 novembre, il estime que les écoles primaires « sont en proie à un climat d’exaspération ». « Le mécontentement voire la colère s’expriment sur la question des rythmes scolaires devant le refus du ministre d’ouvrir des négociations pour remettre à plat cette réforme. Celle-ci est le révélateur d’une dégradation des conditions d’exercice du métier dans une école abîmée par des années de suppressions massives de postes » explique-t-il.

 

Au regard du budget annoncé pour l’éducation nationale en 2014, le syndicat s’interroge : « Où est la priorité au primaire quand le ministre envisage une mesure d’allègement du temps de service pour les enseignants de collège d’éducation prioritaire mais pas pour les enseignants des écoles ? ».

 

Le SNUipp pose ses exigences : « l’enjeu pour notre école, c’est bien la réussite de tous les élèves. Et les vraies priorités sont les conditions l’apprentissage des élèves et les conditions de travail des enseignants. Le ministre doit y répondre sans attendre ».

 

La plateforme de revendications proposée par le SNUipp pour cette journée nationale de grève le 5 décembre porte sur une remise à plat de la réforme des rythmes, excluant toute généralisation en 2014 et l’ouverture de discussions pour écrire un nouveau décret. Il demande également un « budget plus ambitieux » permettant d’assurer une baisse des effectifs par classe, un renforcement des RASED, davantage de postes dédiés au « plus de maîtres que de classes », un renouveau de la formation continue, un alignement de l’ISAE sur l’indemnité perçue par les professeurs des collèges ainsi que des « mesures concrètes pour l’éducation prioritaire ».

 

Le SNUipp demande aussi 3 heures hebdomadaires pour le travail en équipe, le « respect de la professionnalité des enseignants » c’est-à-dire la « fin du caporalisme et des injonctions ». Après des années de suppressions massives de postes, le gouvernement doit répondre à ces exigences à travers un budget en phase avec le discours officiel. La mobilisation du 5 décembre sera là pour lui rappeler ses engagements.

 

Le SNUipp-FSU avait initié le 20 novembre au soir une intersyndicale 1er degré. Le SE-UNSA et le SGEN-CFDT ont décliné l’invitation .


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La plateforme de revendications proposée par le SNUipp-FSU pour cette journée nationale de grève le 5 décembre :

1. Une autre réforme des rythmes.
- Remise à plat partout où les écoles le demandent. Pas de généralisation en 2014 : suspension et ouverture immédiate de discussions pour écrire un nouveau décret des temps scolaires

2. Un budget ambitieux pour la transformation de l’école :
- une baisse des effectifs par classe
- un renforcement des RASED par des créations de postes et des départs en formation
- une montée en charge du plus de maîtres que de classes
- un renouveau de la formation continue des enseignants
- un alignement de l’ISAE sur l’indemnité du second degré
- des mesures concrètes pour l’éducation prioritaire avec une réduction du temps d’enseignement pour les PE comme pour les professeurs du collège

3. L’amélioration des conditions de travail :
- du temps pour travailler en équipe : 3 h hebdomadaires libérées, une amélioration des décharges de direction pour le fonctionnement de l’école
- respect de la professionnalité des enseignants : fin du caporalisme et des injonctions

16 novembre 2013 6 16 /11 /novembre /2013 11:49

http://www.fo-snudi.fr/IMG/arton115.jpg

In Snudi-FO

 

Hier, 14 novembre, la grève nationale des personnels enseignants du premier degré et des personnels territoriaux pour la suspension de la réforme des rythmes scolaires et l’abrogation du décret Peillon, a confirmé l’immense mobilisation et le profond rejet des personnels de toutes catégories soutenus par les parents d’élèves contre ce premier acte de la territorialisation de l’école publique qu’entend poursuivre le ministre Peillon.

 

La grève et les manifestations étaient appelées par les fédérations FO de l’enseignement et des services publics et de santé, les fédérations CGT de l’enseignement et des services publics, les fédérations SUD Solidaire de l’enseignement et des services publics et la FAEN.

Dans plusieurs dizaines de départements, les sections du SNUIPP-FSU se sont associées à la grève et aux manifestations, d’autres avaient fait le choix de maintenir un appel à la grève le 13 novembre.

Plus de 50% des personnels étaient en grève, 90% dans certains départements. Des manifestations très nombreuses se sont déroulées dans toutes les villes : 15 000 à Paris, 2 500 à Lyon, 3 500 à Marseille, 3 000 à Bordeaux, 2 000 à Toulon…

 

Cette grève et ces manifestations sont le résultat de centaines et centaines de réunions et d’assemblées avec les organisations syndicales dans les écoles, les communes, les circonscriptions, les arrondissements.

Ce matin, il apparaît que le ministre reste sourd à l’exigence d’ouverture de négociations sur les revendications. Il annonce maintenir sa réforme en l’état, il n’envisage aucune discussion ni négociation. Niant toute réalité, il prétend que dans 93,5% des communes, sa réforme s’applique avec succès ! Mieux ou pire, il annonce pour les prochains jours l’ouverture de son chantier d’adaptation des statuts de toutes les catégories de personnels à son programme de territorialisation de l’école publique.

 

Dès hier, dans de multiples assemblées et réunions, les personnels ont discuté de cette situation : le ministre est sourd ; il ne nous laisse d’autres choix que de discuter de la suite de notre mouvement, de la suite de notre grève. La poursuite de la grève y compris sous la forme de sa reconduction a été discutée dans plusieurs assemblées générales, notamment à Paris. Ainsi, à Bordeaux, 106 professeurs des écoles réunis à l’initiative du SNUDI-FO le 13 novembre, ont adopté une motion : « (…) nous pensons que ce n’est pas par des journées d’action à répétition que nous obtiendrons satisfaction, nous sommes prêts à poursuivre la grève jusqu’à obtention de la suspension de la réforme, seule à même de contraindre le ministre à retirer son décret… ».

 

Cette question est à l’ordre du jour.

La fédération Force Ouvrière propose à ses syndicats, à ses militants, de la mettre en discussion à tous les niveaux ; la FNEC FP-FO considère que les conditions sont réunies pour en discuter avec les personnels.

C’est dans cet état d’esprit et avec cette préoccupation que la fédération et ses syndicats participeront dans les jours prochains à tous les niveaux aux réunions intersyndicales qui vont se tenir pour réaliser l’action commune pour faire reculer le ministre.

Monsieur le Ministre, il est encore temps. C’est en fonction de vos réponses que les personnels vont décider. La FNEC FP-FO prendra toutes ses responsabilités.

 

Montreuil, le 15 novembre 2013

16 novembre 2013 6 16 /11 /novembre /2013 11:00

In Sud Education

 

Communiqué de la fédération SUD éducation du 15 novembre 2013
vendredi 15 novembre 2013

Le ministère a beau essayer de le minimiser : les 13 et 14 novembre, la grève contre la réforme Peillon des rythmes scolaires a été très importante. Ce haut niveau de mobilisation confirme que cette réforme est massivement rejetée par les personnels. V. Peillon s’obstine à refuser d’entendre que sa réforme est inacceptable. Il se permet même de multiplier les provocations. La mobilisation doit se poursuivre et s’amplifier.

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Le ministère a beau essayer de le minimiser : les 13 et 14 novembre, la grève contre la réforme Peillon des rythmes scolaires a été très importante.

Ce haut niveau de mobilisation confirme que cette réforme est massivement rejetée par les personnels. SUD éducation, FO et la CGT ont eu raison d’appeler à la grève nationale pour la suspension immédiate de la réforme, l’abrogation du décret, et pour exiger une autre réforme. Pour SUD éducation, le débat sur les rythmes scolaires ne peut être dissocié d’une réflexion de fond sur une école émancipatrice ; une réforme des rythmes scolaires est inséparable d’une amélioration des conditions d’accueil et d’enseignement pour les élèves, et des conditions de travail de l’ensemble des personnels.

V. Peillon s’obstine à refuser d’entendre que sa réforme est inacceptable. Il se permet même de multiplier les provocations : il envoie des messages de mépris à celles et ceux qui proposent des alternatives en leur demandant de « réfléchir avant de parler » ; il soumet aux organisations syndicales un projet visant à flexibiliser le temps de travail des professeur-e-s des écoles remplaçant-e-s ou en poste fractionné ; il élabore un calendrier scolaire pour les prochaines années qui ne corrige aucun problème et qui vise à obliger les enseignant-e-s à faire leur rentrée pendant le mois d’août…

Le rapport de force est en train de se construire. Gagner par nos luttes, c’est possible !

La mobilisation doit se poursuivre et s’amplifier. Déjà, localement, des assemblées générales ont décidé de reconduire la grève, des intersyndicales appellent à des rassemblements, etc. La fédération SUD éducation soutient l’ensemble de ces mobilisations et appelle à les multiplier.

Il faut maintenant des suites nationales. Le 20 novembre, une intersyndicale se réunira : pour SUD éducation elle doit déboucher sur un appel unitaire à la grève sur l’ensemble du territoire.

Pour SUD éducation, la question de la construction d’une grève reconductible est désormais à l’ordre du jour.

Nous appelons les personnels à multiplier les assemblées générales pour engager les suites de la mobilisation.

11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 18:48

band1.jpg

 

Départ à 14h30 Luxembourg en direction du Ministère de l'EN

11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 18:19

C03-03

In Libération

 

Plusieurs appels à la grève ou actions, locaux ou nationaux, sont prévus la semaine prochaine dans l’éducation.

MARDI

- Grève d’agents de la ville de Paris à l’appel des syndicats CGT et Unsa, pour obtenir «les moyens adaptés» à l’exercice de leur métier. Ce mouvement, «massif» selon le syndicat d’instituteurs SNUipp-FSU 75, devrait entraîner la suspension totale des activités périscolaires dans 520 écoles parisiennes d’après la mairie. Dans 22 écoles, ces temps périscolaires seront assurés mais de manière «dégradée» (type garderie). Dans 41 écoles, certains temps périscolaires seront assurés, d’autres pas. La mairie a demandé aux parents de récupérer «si possible» leurs enfants de 11H30 à 13H30 ainsi qu’à 15H00. Jeudi, le maire Bertrand Delanoë a reçu les syndicats et proposé selon son cabinet des renforts de personnels dans les plus grosses écoles et des indemnités relevées «de manière conséquente» pour plusieurs catégories d’intervenants.

MERCREDI

- Appel à des grèves ou rassemblements sur les rythmes de certaines sections départementales du SNUipp-FSU. Le premier syndicat du primaire réclame un assouplissement du décret sur les rythmes pour permettre aussi d’autres organisations (comme les trois heures d’activités périscolaires sur un seul après-midi), et une table ronde avec tous les acteurs pour résoudre les difficultés. Ce puissant syndicat prône maintenant une grève nationale unitaire début décembre.

- Sud éducation (minoritaire) appelle à faire grève contre la journée de rattrapage lundi de la rentrée. Pour que les élèves aient 36 semaines de cours dans l’année, les établissements doivent rattraper cette journée le 13 novembre ou le 11 juin dans les établissements qui n’ont pas cours le mercredi matin, sinon les après-midi des 13 novembre et 11 juin.

- Des collectifs de parents qui contestent la réforme des rythmes appellent Facebook à ne pas mettre les enfants à l’école mercredi et à bloquer les établissements, sans que l’on connaisse leur capacité de mobilisation.

JEUDI

- Appel à la grève de plusieurs sections départementales du SNUipp-FSU, dont Paris avec FO, Sud et CNT. Rassemblement à 12H30, avant de rejoindre une manifestation régionale à 13H30.

- CGT, FO, Sud et Faen, minoritaires dans l’éducation, appellent à une grève nationale, réclamant l’abrogation du décret sur les rythmes. La CGT, première dans la fonction publique territoriale et Sud, appellent aussi les animateurs et Atsem (aides en maternelle) à la grève nationale. La cantine et autres activités périscolaires pourraient donc être perturbées.

3 novembre 2013 7 03 /11 /novembre /2013 09:56

In Mammouth déchaîné

 

Yell.jpgOn ne sait plus ou donner de la tête :

- L’intersyndicale nationale (CGT-FO-SUD) lance un appel (suite à la mobilisation parisienne), a une journée de grève nationale le 14 / 11. A paris et RP, ils sont rejoints par le SNUipp. Des déclinaisons locales se font le 13/11.
La même intersyndicale appuie toutes les manifestations et actions des 12 et 13.

- les personnels communaux qui un peu partout commencent à râler et pourraient appeler le 12.

- SUD éducation, bien seul, appel à la grève le 13/11 contre la journée dite de rattrapage qui nous dit-on énerve de plus en plus les salles des maîtres et profs.

- FO lance une pétition contre la même journée (arrêtez-moi ou je signe...)

- le SNUipp, qui sent bien qu’il ne faut pas être en reste, lance sa grande quinzaine (du blanc), non, d’actions, contre les rythmes, et s’associe, ici et là, aux mouvements de grève du 13 novembre, contre les rythmes et la journée de « rattrapage » (du jour de pré-rentrée, pour les élèves, mais déjà travaillée pour les profs).

A vous de choisir !
Heureusement il y a le SE-UNSA qui trouve que la réforme des rythmes se passe plutôt bien.

 

La suite...

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