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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 18:28

L'école Gounod qui est école de formation (nous accueillons des enseignant en formation initiale et continue) va être transformée en école ordinaire ce qui va supprimer l'offre de formation en zone d'éducation prioritaire il va en être de même pour le secteur rural où les deux postes qui subsistaient sont supprimés à l'école de SOLEYMIEUX.
 

Après un temps de négociations qui n'a pas abouti, notre demande étant de conserver les postes de maîtres formateurs, nous avons décidé de contester cette décision.

 


Nous vous proposons de signer la pétition que vous trouverez EN SUIVANT LE LIEN CI-DESSOUS.

  

cgtaction snudi snuipp sudeduc

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

___________________________________________________________________________________________

 

Dans un contexte national où la formation des enseignants est malmenée, dans le département de la Loire, il a été décidé de supprimer les deux seules postes de formateurs en milieu rural à l'école de Soleymieux ainsi que les écoles de formation qui se trouvaient en zone d'éducation prioritaire les écoles Gounod de Saint-Étienne.
Tous les postes de formateurs sont rapatriés sur les quatre écoles de formation restantes. Ainsi, les stagiaires ne pourront connaître ni l’école rurale ni l’éducation prioritaire pendant leur année de formation. Ce choix ne pourra qu'appauvrir une formation déjà mise à mal.
Nous demandons l'annulation de cette décision, le maintien des postes de formateurs à l'école de Soleymieux et le maintien des écoles d'application Gounod à Saint-Étienne.

 

 

7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 15:16

 In Blog de Jean Rumain

 

 

 

Rappel : le ministère de l'éducation nationale a décidé de fermer la moitié des centres de formation de psychologues scolaires (Lille, Grenoble, Aix-Marseille).

 

 Sans doute estime-t-il que ces membres des RASED sont devenus inutiles...Inutiles pour les élèves en difficultés (scolaires ou non), inutiles pour les familles, inutiles pour les équipes d'enseignant(e)s, inutiles pour les partenaires de l'école, inutiles pour aider à l'estime de soi des élèves...Sans doute estime-t-il qu'il suffit d'éradiquer les RASED pour mettre fin à l'échec scolaire...Sans doute estime-t-il que les résultats aux évaluations sont les seuls éléments de la personnalité d'un individu..Sans doute estime-t-il qu'un(e) psychologue scolaire n'est là que pour fournir des QI...Sans doute estime-t-il qu'il n'est pas productif d'accompagner les élèves...Sans doute estime-t-il qu'un élève ne s'inscrit pas dans une globalité qui prend en compte sa famille, ses doutes, le regard porté sur lui...Sans doute estime-t-il que l'école est devenue un lieu d'épanouissement depuis 2007...

 

Ainsi, un certain nombre d'organisations s'insurgent contre ces fermetures des centres de formation pour psychologues scolaires, et, de manière générale, contre l'extinction des RASED.

Le GFEN (Groupe Français d'Education Nouvelle) les a rejointes aujourd'hui et s'associe à la pétition ci-dessous :

 

Collectif-Rased-62x-copie6sud educ 59 62CNT 59 62cgt educ

AME 62snuipp 62 bisse unsalogo_gfen.jpg

 

 

Ci-dessus, les 1° organisations signataires à ce jour  (par ordre chronologique)

Non à la fermeture des centres de formation pour les psychologues scolaires !!!

Après les (dé)mesures de carte scolaire, après le démantèlement des RASED nous apprenons maintenant que le ministère de l'Education Nationale signe la mise à mort des psychologues scolaires.

Cette mise à mort se fait de manière très insidieuse, sans annonce officielle, pour cela, il suffit au ministère de fermer certains centres de formation :

Lille, Aix-Marseille, Grenoble, soit 50 % des centres actuels !!!

Les responsables des centres ainsi sacrifiés  n'ont même pas été informé(e)s et se sont trouvé(e)s sous le fait accompli !!!

Par cette volonté (pas même affichée) de démanteler l'aide aux élèves en difficulté le ministère montre une fois de plus sa volonté de détruire l'école publique pour toutes et tous !!!

Alors que le besoin de psychologues scolaires (et de l’ensemble des RASED) se fait de plus en plus criant sur le terrain, le ministère poursuit sa politique aveugle de casse de l’école publique.

 

Nous refusons la fermeture des centres de formation de Lille, Grenoble et Aix-Marseille.

Nous exigeons au contraire le développement de la formation des psychologues scolaires (et des maîtres spécialisés).

 

Signer la pétition en ligne

 

 

 - Important : Votre nom (de famille) n'apparaît pas sur la liste des signataires. Si vous souhaitez qu'il le soit, ajoutez-le dans la rubrique Prénom.

- Merci de diffuser, et diffuser, et...diffuser

- Autres organisation signataires bienvennues...

 

tout est politique détail 5

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 17:31

C03-40.jpgLes stages de remise à niveau pendant les vacances scolaires sont unanimement critiqués par les spécialistes de l'enfance, par les pédagogues, par le HCE (haut conseil de l’éducation) pour leurs piètres résultats et leurs effets pervers. Ils ont été créés en 2008 par le ministre X. Darcos comme l’aide personnalisée hors temps scolaire. La suppression des cours du samedi matin, à l’origine de cette mesure, avait pour unique objectif de faire des économies en supprimant les RASED, la formation initiale et continue des enseignants.

 

Pour faire passer ces décisions dans l’opinion publique, on a inventé un dispositif démagogique, au moindre coût, l’aide personnalisée et les stages, qui sont une véritable escroquerie. Il s'agit de proposer à des enfants de CM en échec scolaire, repérés par des évaluations angoissantes contestées, de faire des heures supplémentaires soit le midi ou le soir, soit durant les vacances. Il s’agit de donner bonne conscience au gouvernants qui d’un côté détruisent méthodiquement l’école de la République et qui, de l’autre côté, veulent se donner une image sociale en proposant une aide aux enfants en difficulté.

 

Ces pratiques sont stigmatisantes, elles ont déjà fait la preuve de leur inefficacité, elles n’ont fait l’objet d’aucune réflexion et d’aucune concertation, elles sont imposées autoritairement.

L'Inspection Académique de Strasbourg, veut aller plus loin. Avec un zèle surprenant, elle veut aller au-delà des attentes du ministère. Elle a décidé, sans concertation, d’organiser cette année des stages de remise à niveau pour les enfants de CP durant les vacances de Pâques. Cette mesure invraisemblable qui n'a pas été demandée par le ministère et n'existe nulle part ailleurs qu'en Alsace est un véritable scandale que seule l'UMP a osé inscrire à son programme.

 

Chacun sait que l'apprentissage de la lecture s’inscrit dans la durée, depuis les premiers contacts avec l’écrit et tout au long de la vie. Chacun sait que dans le système éducatif, au moins trois années sont prévues pour amorcer, construire et structurer cet apprentissage (de la SG au CE1). Chacun sait qu’un enfant construit cet apprentissage à son rythme et que toute étiquetage prématuré, toute stigmatisation, sont des facteurs de blocage et d’échec, malgré les efforts et la compétence des enseignants concernés. Chacun sait que le fait d’alourdir le travail hors temps scolaire normal risque toujours d’aggraver les problèmes en prétendant les combattre. On trie les enfants, on ne permet pas leur réussite.

 

Toujours plus en apparence, toujours plus vite, toujours plus tôt et avec toujours moins de moyens, .cette obsession du tri, de la performance apparente et du rendement, sur le modèle de l’entreprise, ne peut que renforcer la destruction en cours depuis 2007 de l’Ecole de la République et mettre en danger l’avenir de la société.

 

Nous, enseignants, parents, élus, conscients des dangers et des enjeux, nous exprimons avec force notre opposition à ces mesures qui mettent en péril les enfants en difficulté.

 

Nous appelons tous les parents à s’opposer à ces mesures dans l’intérêt de leurs enfants, à exiger l’abrogation de cette mesure scandaleuse et tous les amis de l’école publique à nous apporter leur soutien.

 



 

Signez cette pétition, faîtes la signer et renvoyez-là à

 

collectifsept.bruche@laposte.net

 

http://www.jesigne.fr/non-aux-stages-de-remise-a-niveau-pour-les-enfants-de-cp

 

   
21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 18:13

Retrait des textes sur l’évaluation des personnels d’enseignement, d’éducation et d’orientation

logo cgt-educ logo se-unsa logo sgen logo SNALC logo SNCL-FAEN logo SNES logo SNEP logo SNUEP logo SNUEP logo SNUEP logo SNLC-FO

 

Le ministre veut imposer dès la rentrée 2012 une modification en profondeur des modalités d’évaluation des personnels d’enseignement, d’éducation et d’orientation.


Les projets de textes, finalisés avant même toute concertation, prévoient :

 

  • le gel des promotions autres qu’à l’ancienneté jusqu’en 2015
  • la progression de carrière aux seules mains du supérieur hiérarchique

Dans le même temps, dans le second degré, le chef d’établissement deviendrait l’unique évaluateur.

Parce que ces projets induisent des transformations de nos métiers que nous refusons, nous en demandons le retrait.

 

11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 20:06

A Blois (dans le loir et cher), sur le quartier (Quinière), 2 écoles sont menacées de fermer chacune une classe par l'inspection académique...

 

 

Rien que sur le quartier OUEST deux écoles sont menacées de fermer chacune une classe par l'Inspection Académique:

l'école maternelle Molière et l'école primaire Quinière.

 

Des écoles qui ferment c'est une vie de quartier en péril

 

Ensemble réagissons dîtes:

 

Oui à la prise en compte des 2 ans déjà inscrits par leur famille

Non à la fermeture de classes de maternelle qui conduisent à la surcharge des effectifs ainsi qu'à un enseignement banalisé et de mauvaise qualité (30 élèves par classe avec 1 seul enseignant qui doit de plus en plus assurer 2 niveaux d'enseignement voir plus si les élèves ont besoin d'un enseignement individualisé

Non au bafouement de la déclaration des droits des enfants. Il est dit que chaque enfant a le droit de recevoir un enseignement de qualité. est la qualité si les classes sont surchargées?

Non à la mort de l'éducation de nos enfants

 

Que vous soyez, parent, oncle, tante, enseignant, atsem ou simple citoyen, signez pour sauver les écoles de nos enfants

22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 21:43

In Pétition en ligne

 

C03-40.jpgMonsieur le Ministre,

 

Nous avons pris connaissance de votre décision de ne pas noter le 1er exercice sur 4 points (soit de 24 à 36 points selon le coefficient pour le bac) de l’épreuve de mathématiques du Bac S qui s’est déroulé le 21 juin 2011 au motif de la divulgation à un tout petit nombre de personnes du sujet en amont.

 

Si cette décision est dans un premier temps compréhensible et aisée pour le Ministère (non obligation de refaire une épreuve avec toutes les conséquences matérielles, financières et logistiques), elle s’avère fortement préjudiciable pour les élèves qui, n’étaient à priori pas du tout au courant de la fuite dans leur immense majorité.
Cet exercice qui était le premier de l’épreuve a été logiquement traité par les élèves, au détriment parfois des derniers exercices. De plus, il était relativement aisé par rapport aux autres exercices et permettait à bon nombre d’élèves de récolter des points (de 6 à 36 selon les coefficients).

 

En retirant la notation de cet exercice, les élèves se trouvent pénalisés pour la réussite du BAC, l’obtention d’une mention pour certains et une inscription dans certaines filières supérieures pour d’autres (pas d’option, pas d’inscription).

 


Nous vous demandons, par la présente, de reconsidérer votre position, et de reprendre la notation de cet exercice ou bien d’accorder à l’ensemble des copies la note de 4.

 

A défaut de réponse favorable de votre part sous huit jours, nous sommes nombreux à vouloir saisir le médiateur de l’Education nationale puis éventuellement engager un recours au Tribunal administratif.

 

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre, nos salutations distinguées

 

Signer la pétition

 

25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 08:19

pétition unitaire à l'appel des organisations syndicales ci-dessous

logo du Snes logo du Snep logo du Snuep logo du Snasub logo du Snupden logo du Snuipp
logo du Snalc-csen logo du Snc-faen logo du Snetaa-fo logo du Cgt educ ation logo du Sud education logo du SE-UNSA

Non aux ECLAIR, oui à une vraie éducation prioritaire

Aujourd'hui 25 mai 2011, il y a 3651 signatures (électroniques ou sur papier) enregistrées depuis le 20 mai 2011

 


 

Je signe l'appel - Ils ont signé...

 


 

Sans bilan, le Ministère a procédé dès le début de l’année 2011 à l’extension du label (E)CLAIR imposé d’autorité à 105 établissements à la rentrée 2010 à la suite des Etats Généraux de la Sécurité à l’école.

 

Erigeant le « climat scolaire » comme facteur principal d’échec ou de réussite scolaire des élèves, le programme ECLAIR représente à la fois un recentrage de l’éducation prioritaire sur un nombre limité d’établissements à partir de critères discutables et un dévoiement majeur du principe fondateur de « donner plus à ceux qui ont le moins ».

Instrumentalisant le « droit à l’expérimentation » ouvert par l’article 34 de la loi Fillon, il vise à transformer ces établissements désignés autoritairement en laboratoires de déréglementations tous azimuts qui risquent d’être ensuite généralisées à l’ensemble du système éducatif.

 

L’avis prépondérant des chefs d’établissement préparant un recrutement local sur profil des personnels (y compris les adjoints), des règles de mutation spécifiques (y compris pour les personnels de direction) et l’attribution d’une lettre de mission remettent en cause le statut des personnels, un des fondements du service public, pour lui substituer la notion de contrat. Loin de favoriser la stabilité des personnels, ces mesures en organisent la fuite ; faute de volontaires, les postes restés vacants risquent de n’être occupés que par des personnels précaires, et notamment des contractuels à qui une lettre de mission peut faire espérer la reconduction d’un contrat sur 5 ans.

 

Le dispositif, en particulier par la création de « préfets des études » à la fois responsables pédagogiques, éducatifs et membres de la direction, est marqué par une confusion inacceptable des missions des enseignants, CPE et COPsy. A cela s’ajoutent des inquiétudes sur le devenir des enseignants référents et des secrétaires des comités exécutifs intervenant dans les établissements et les écoles.

 

Il est urgent de redonner de l’espoir à tous les élèves en difficultés scolaires et sociales en luttant contre tout ce qui pourrait les assigner à un destin tracé d’avance et les stigmatiser. Il est urgent de centrer les efforts sur les apprentissages en maintenant le même niveau d’exigence pour tous les élèves (et pas seulement les plus « méritants ») et en soutenant ceux qui en ont besoin, dans le cadre de programmes nationaux rénovés et d’horaires nationaux.

 

Les signataires demandent l’abandon du programme (E)CLAIR. Ils exigent une véritable relance de l’éducation prioritaire, avec des critères nationaux et transparents pour définir la liste des établissements et des écoles qui en relèvent, la volonté politique d’y améliorer à la fois les conditions d’étude des élèves et les conditions de travail des personnels, au sein d’équipes pluriprofessionnelles complètes, et l’investissement des moyens nécessaires en termes d’emplois, de rémunération et de formation des personnels.


Ecoles, Collèges, Lycées pour l’Ambition, l’Innovation et la Réussite

 

 

Télécharger la pétition pour l'imprimer


Je signe l'appel - Ils ont signé...


2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 11:22

C03-40.jpgPétition de soutien aux élèves à la robe longue de Saint-Ouen - droit à l'éducation pour toutes et tous, un droit fondamental 


 contact, signatures à envoyer à : robelongue2011@yahoo.fr 


Nous, enseignant-e-s, avons eu connaissance de la décision prise par la direction du lycée Blanqui à Saint-Ouen d'isoler et de menacer d'exclusion de jeunes élèves au motif qu'elles portent des robes longues de couleur sombre. La raison avancée est que ce vêtement constituerait un « signe ostentatoire » marquant leur appartenance à une religion déterminée, l'Islam. 


 
A ce jour, à notre connaissance, aucun représentant du monde enseignant n'a pris la peine d'interpeller l'opinion publique. Nous estimons donc de notre devoir d'exprimer notre consternation et notre indignation. 


En effet, les élèves portaient ce type de vêtement depuis longtemps déjà, nous ne nous expliquons donc pas qu' à trois mois de la fin de l'année et du baccalauréat pour certaines d'entre elles, un tel ostracisme soit pratiqué par la direction. Quelles que soient nos positions par ailleurs, c'est d'abord la stricte dimension déontologique qui nous fait ici réagir : de même que le médecin veut le bien de ses malades, les membres de la communauté éducative ne sont-ils pas supposés vouloir le bien des élèves, et n'y a-t-il pas claire volonté de nuire quand on exerce un chantage du genre de celui proposé par la direction du lycée Blanqui ? 
 
De plus, la jupe longue de couleur sombre n'a jamais fait partie des accessoires interdits par une loi qui ne vise que le port de signes ou tenues à caractère ostensiblement religieux. A quand l'interdiction des couleurs blanche et bleue du fait qu'elles évoquent la Vierge Marie, le bannissement du rouge et du noir, car emblématiques d'une divinité vaudoue, et la prohibition du vert pour cause d'islamisme ? 
 
Plus sérieusement, nous refusons de nourrir un rapport haineux à l'Islam, religion adoptée par certains de nos élèves. Nous considérons de plus que la décision de contraindre sans aucune base légale ces jeunes filles à renoncer à porter un vêtement qu'elles affectionnent participe de cette même idéologie islamophobe dont l'expression désinhibée est désormais constamment encouragée par les différentes prises de positions et campagnes lancées par le gouvernement. 
 
Pour toutes ces raisons nous demandons à la direction du lycée Blanqui d'arrêter tout harcèlement à l'égard de ces jeunes filles et de lever toutes les sanctions qui auraient été prises contre elles et celles-ceux qui les ont soutenues. Il s'agit de réaffirmer le droit fondamental à l'éducation pour toutes et tous qui a été bafoué par la décision de la direction du lycée Blanqui. 
 
25 mars 2011 
 
Alix Héricord 
professeur de philosophie 
TZR, Seine-- 
 
Jean-Marie GRANETIER 
 
Documentaliste 
 
Lycée Gérard de Nerval ;Noisiel (77) 
 
Pierre Stambul 
professeur de mathématiques, retraité, Marseille 
 Syndiqué SNES tendance Emancipation 
 
Jànos Borovi 
professeur de mathématiques, retraité du Collège Guy Môquet, 
Gennevilliers (92) 
syndiqué à SUD Education 92 
 
Siryne Zoughlami 
professeur de philosophie Lycée Mozart Blanc Mesnil (93) 
 
Noëlle Guilbon, 
 
retraitée du collège Travail, Bagnolet (93), 
syndiquée SNES tendance Emancipation. 
 
Valérie Duguet, 
 
professeur de lettres au lycée Georges Clemenceau, Villemomble, 93. 
syndiquée Sud Education 
 
Max Sébastien, 
 
professeur d'anglais, Lycée Delacroix, Drancy (93) 
 


12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 15:25

In Politis

 

Victime de son succès, le site de la pétition referendumretraites.org subit actuellement quelques ralentissements, voire interruption de service. Nous mettons tout en oeuvre pour régler le problème au cours du week-end. Dans l’intervalle, n’hésitez pas à tenter votre chance pour rejoindre les plus de 50 000 signataires à l’appel.

 

La réforme des retraites a été votée. Mais l’empressement de Nicolas Sarkozy à faire passer son texte ne change pas la détermination des millions de personnes qui se sont mobilisées dans la rue contre cette réforme injuste : plus le gouvernement s’entête, plus le rejet de sa réforme grandit.

 

Devant un tel blocage, il n’est d’autres sorties que de demander au peuple de trancher. C’est le sens de l’appel à un référendum que nous avons lancé mi-septembre. Depuis, l’idée a fait son chemin. On l’a vu au Sénat, où, à l’ouverture du débat sur le projet de loi du gouvernement, les sénateurs socialistes, communistes, membres du Parti de gauche ou des Verts ont déposé ensemble une motion référendaire pour demander l’organisation d’un référendum sur les retraites.

Il n’était pas dans notre intention de nous lancer dans la quête de signatures, mais sous l’amicale pression de nos lecteurs, dont certains faisaient déjà signer cet appel dans les manifs avec succès, nous ouvrons un site internet dédié à cette collecte.

 

Son adresse  : www.referendumretraites.org

22 septembre 2010 3 22 /09 /septembre /2010 14:39

In Sud Education

 

Notre collègue Christian Marion, professeur de Lycée Professionnel dans l’académie de Toulouse et syndicaliste à Sud Éducation, subissait depuis plusieurs années l’acharnement de la même inspectrice. Comme on ne pouvait reprocher aucune faute à ce professeur, l’administration a monté contre lui un dossier pour insuffisance professionnelle, négligeant le fait que nombre de ses collègues et plusieurs chefs d’établissement aient produit des témoignages en sa faveur.

 

En juillet 2010, une CAPA disciplinaire s’est prononcée : neuf voix de l’administration pour l’exclusion de Christian Marion, et neuf voix contre, celles des enseignants. Le Recteur refusant de statuer, la décision, dès lors, incombait au ministre lui-même.

 

Christian Marion a fait la rentrée le 1er septembre, dans l’attente de la décision du ministère. Aujourd’hui, lundi 20 septembre, il vient de recevoir une lettre de licenciement datée du 17 et prenant effet dès réception. Cette sanction consacre le triomphe du harcèlement, de l’arbitraire et du déni de justice. Elle crée un précédent qui pourra être utilisée contre de nombreux collègues.

 

Aujourd’hui, Christian est licencié, il est privé du jour au lendemain de tout revenu. Les conditions de son licenciement le privent de toute indemnité. De plus, n’ayant pas 15 ans d’ancienneté, il ne peut prétendre à faire valoir ses droits à la retraite.

 

Pour protester contre une telle injustice et exiger la réintégration de Christian Marion dans l’Éducation nationale, la Fédération SUD Éducation :


- va déposer un référé au Tribunal Administratif ;
- et appelle tous les collègues à signer la pétition.

Nous refusons cette sanction injuste et exigeons la réintégration de Christian Marion

 

Fédération des syndicats Sud éducation

 

La Pétition

 

Le communiqué

 

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