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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 17:46

In Libération

Jeudi soir, les occupants de l’université de Tolbiac, bloquée depuis le 26 mars, ont bien cru que les forces de l’ordre, présentes en masse, étaient là pour définitivement évacuer les locaux. Le dispositif était en place – les CRS semblaient programmés pour investir les lieux incessamment. Dans la soirée, des premiers SMS d’étudiants mobilisés circulaient pour rameuter du monde – il s’agissait de faire le nombre pour s’opposer à une éventuelle intervention. Le SOS a été entendu : «Tolbiac la rouge» est devenue un point de convergence pour des dizaines et des dizaines de personnes pour éviter qu’elle ne devienne «Tolbiac la bleue».

Le face-à-face ne s’est pas prolongé des lunes : un peu avant minuit, la police s’est dispersée, alors qu’une fanfare jouait pour accompagner son départ – lequel fut considéré sur place comme une victoire.

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 15:03

In Courrier Picard

Près de deux-cents étudiants ont voté ce matin pour le blocage de l’université le 19 avril, où ils rejoindront la manifestation des cheminots.

Réunis ce jeudi en assemblée générale, près de deux cents étudiants et personnels de l’UPJV d’Amiens ont voté le blocage de l’université le jeudi 19 avril prochain, journée de mobilisation nationale lancée à l’appel de la CGT. «  Nous vivons un moment charnière, il faut en profiter pour faire reculer le gouvernement », lance ce représentant de Sud-Education. Manques de moyen, sélection à l’entrée de l’université, les raisons de la grogne s’inscrivent dans un contexte de mobilisation beaucoup plus large, auquel certains voudraient bien s’adosser.

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 14:43

In Libération

Pour son interview au JT de 13 heures de TF1, Emmanuel Macron avait choisi comme cadre une salle de classe dans un village de Normandie, avec un mur bleu lumineux et des dessins d’enfants. Façon de souligner l’importance qu’il accorde à l’éducation («la base de tout», selon ses mots) et surtout, d’essayer de se défaire de cette image d’un président fermant à tour de bras des écoles de campagne. «A la rentrée prochaine, il y aura 20 000 élèves en moins qui rentreront en CP dans les zones rurales. Et pourtant, on va ouvrir 1 000 classes dans le rural», a-t-il déclaré. Pas sûr que ses propos aient l’effet escompté.


Macron, toujours la même chanson

D’abord, parce qu’Emmanuel Macron s’est emmêlé dans les chiffres. Vérification faite auprès du ministère de l’Education, les 1 000 ouvertures de classes dont parle le Président concernent la France entière, et pas seulement les zones rurales. «Les chiffres que nous avions communiqués il y a quelques semaines restent valables», assure le ministère de l’Education. Soit 783 ouvertures annoncées de classes rurales pour 990 fermetures. Le Snuipp (principal syndicat du primaire) conteste ces chiffres. Le syndicat a fait les calculs de son côté, en compilant les données de terrain fournies par les sections locales. Ça donne : 1 097 fermetures et 289 ouvertures. Et donc un solde de 808 suppressions de classe rurales, contre 207 pour le ministère…

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 14:33

In Café Pédagogique

Malgré de réels efforts faits par le ministère, les arrêtés sur l'organisation du lycée ont été repoussés très majoritairement lors du Conseil supérieur de l'éducation (CSE) du 12 avril. Le ministère a accepté de faire passer la marge horaire en cycle terminal de 7 à 8 heures. En seconde l'éco-gestion devrait faire sa réapparition sous forme d'un enseignement optionnel, ce qui serait une bonne nouvelle pour les professeurs de SES. Enfin la spéciailté Ressources humaines fait sa réapparition en STMG.

 Un net rejet des trois arrêtés

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 14:29

In Café Pédagogique

Moins d'un an après l'arrivée au ministère de JM Blanquer, un tournant vient d'être pris. Après des mois d'opinion semble-t-il très favorable, le ministre semble ne récolter que de l'opposition chez les professionnels de l'éducation comme le montrent pas moins de trois études récentes. L'état de grâce qui a suivi l'élection présidentielle et les premières mesures, semble terminé. L'ascension politique de JM Blanquer continue. Mais son programme éducatif se heurte à une opposition à la fois large et déterminée. Pour JM Blanquer, les temps difficiles rue de Grenelle arrivent alors que l'oasis de la rue de Varenne est encore loin.

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 08:56

In Le Monde

Des étudiants qui occupaient la Sorbonne évacués dans la nuit par la police

Environ 200 personnes avaient voté un peu plus tôt l’occupation du site, lors d’une assemblée générale.

Les forces de l’ordre sont intervenues, jeudi 12 avril vers 22 heures, pour évacuer des étudiants qui se trouvaient à l’intérieur de l’université de la Sorbonne à Paris, d’après une source policière qui a précisé que l’opération s’était déroulée « dans le calme ».

Selon les informations du Monde, les personnes présentes sur le site depuis le milieu d’après-midi souhaitaient y organiser une assemblée générale interuniversités. En début de soirée, elles ont voté l’occupation du bâtiment « tant que les camarades retenus dehors par les forces de l’ordre ne ser[aie]nt pas autorisés à rentrer pour participer à l’AG », a expliqué un étudiant rencontré devant le site de Tolbiac.

Le recteur de l’université Paris-I, haut lieu de la contestation estudiantine en Mai 68, a demandé l’intervention de la police « avec regret », « après trois heures de négociations infructueuses », a fait savoir le cabinet du recteur. L’évacuation a concerné 191 personnes, selon la préfecture de police.

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In Révolution permanente

 

 

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TOLBIAC REFOULE UNE TENTATIVE D'ÉVACUATION
 
✴️ Après l'évacuation de la Sorbonne (ce jeudi vers 23h), les étudiants se sont dirigés en cortège vers l'Université de Tolbiac, occupée depuis plusieurs semaines, et menacée d'expulsion par les CRS dans la soirée.

Plus de 1000 soutiens sont apparus en moins de 30 minutes sur les lieux, et l'évacuation a été annulée, alors même que 3 compagnies de CRS stationnaient et s'équipaient à Porte d'Italie.

Vidéo ici !

https://www.facebook.com/taranisnews/videos/2053269498219894/

 

 

 

13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 08:48

In Solidaires Etudiant.e.s

Voici la 4e édition de Facs en Luttes, le bulletin de la mobilisation sur tout le pays ! Il fait peau neuve avec une cartographie interactive. Retrouvez les premiers numéros ici #1, ici #2 et ici #3.

 

Vous pourrez voir la cartographie interactive ici !

Voir en plein écran

Le campus est bloqué et occupé de façon reconductible ou illimitée.
Le campus est bloqué ponctuellement les jours de mobilisation.
Un lieu est occupé par les étudiant-es mobilisé-es.
Les étudiant-es s’organisent en Assemblée Générale.

Cartographie réalisée par la fédération Solidaires étudiant-e-s, syndicats de luttes. Pour toute imprécision ou contact presse : contact@solidaires-etudiant-e-s.org / 06.86.80.24.45

Après la mise sous tutelle de Toulouse le Mirail déclarée ingouvernable par le ministère et finalement autogérée par son Assemblée Générale, la mobilisation du 22 mars a vu 15 facs bloquées. Suite à l’attaque d’extrême-droite sous l’égide du doyen de la fac de droit Philippe Pétel, l’indignation et la solidarité qui s’ensuit voit les AG grossir et se multiplier dans toutes les facs du pays. Le 3 avril, pour le début de la grève perlée des cheminot-es, c’est plus de 20 facs qui sont bloquées et occupées, de façon reconductible pour une grande partie d’entre elles.

Paris qui se faisait attendre dans la mobilisation se réveille cette semaine, suite notamment aux évènements de Nanterre. Le 10 avril, date de mobilisation spécifique aux questions étudiantes est une franche réussite, on dépasse les 30 universités bloquées ou occupées.

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 08:34
13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 08:17

In Bondy blog

Dans l’allée de Gagny à Clichy-sous-Bois, le lycée Alfred Nobel s’est distingué tout récemment dans le palmarès des meilleurs lycées de France établi par le ministère de l’Éducation nationale. En effet, l’établissement affiche un taux de réussite au bac de 85% soit 10 points de plus de ce qui aurait été attendu compte tenu des difficultés sociales des élèves. Pourtant, à cinq minutes à pied plus bas sur la même allée, au collège Romain Rolland, classé Rep +, l’heure n’est pas à la célébration. Parents et enseignants ont décidé de s’unir pour un seul et même objectif : préserver les dispositifs spécifiques d’accueil d’élèves en difficulté. Ce mardi à 8h, c’est à l’initiative des parents d’élèves qu’un rassemblement a été organisé devant le collège. Ils sont plusieurs dizaines de parents, d’enseignants et d’élèves à s’être postés devant l’établissement. Une table a été installée pour café, jus de fruits, viennoiseries et pour faire signer une pétition. La vie scolaire et la quasi-totalité des enseignants se sont d’ailleurs mis en grève pour se faire entendre.

 

En une trentaine d’années dans l’établissement, j’ai rarement vu des mobilisations qui incluent des parents

Le mouvement est dans la lignée de la grève observée fin mars dans l’établissement. Plusieurs revendications sont mises en avant : le maintien des classes spéciales pour élèves allophones, la préservation du dispositif d’alternance pour élèves de 3e en décrochage scolaire et l’obtention d’un troisième poste de conseiller principal d’éducation. « Avec 16 à 17 classes chacun et beaucoup d’élèves en difficulté, nous n’avons pas assez de temps pour les accompagner efficacement et mener des projets de prévention, » souligne Vivien Meunier, un des deux conseillers d’éducation. À deux, ils suivent 670 élèves.

D’habitude difficile à concrétiser, la mobilisation des parents est le fruit d’un effort conjugué des parents délégués et des enseignants. « En une trentaine d’années dans l’établissement, j’ai rarement vu des mobilisations qui incluent des parents », souligne Lise Merin, professeur de français et enseignante d’une des deux classes pour élèves allophones.

Vers la fin des classes spéciales pour élèves allophones

L’école compte deux dispositifs pour élèves allophones accueillant, pour une année en général, des élèves venant de nombreux pays comme la Syrie, le Maroc, le Mali, la Turquie, la RDC, l’Irak, la Somalie, la Roumanie et le Portugal. L’un s’adresse aux élèves qui ont été soit peu ou pas scolarisés antérieurement (que le jargon appelle les « NSA »), l’autre aux élèves déjà scolarisés dans leur pays d’origine mais dans une autre langue que le français.

En 2012, une circulaire a fait évoluer ces deux types de classes d’accueil vers des unités pédagogiques pour élèves allophones arrivants (UPE2A). Pour ceux ayant déjà été scolarisés auparavant, il est clairement indiqué qu’ils doivent être inscrits en classe ordinaire. Pour ceux jamais scolarisés auparavant, les NSA, la circulaire prévoit qu’un dispositif spécifique reste en place précisant qu' »il convient néanmoins d’intégrer ces élèves dans les classes ordinaires lors des cours où la maîtrise du français écrit n’est pas fondamentale comme le sport, la musique, les arts ». En réalité, le dispositif spécifique aux NSA au départ de 26 heures par semaine a perdu cinq heures. Les enseignants de Romain Rolland réclament que ces cinq heures soient restituées et qu’ils puissent décider au cas par cas de l’intégration des élèves NSA en classe ordinaire pour certaines matières. 

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12 avril 2018 4 12 /04 /avril /2018 17:18

Dix vœux par candidat à la première année d’études supérieures à la rentrée 2018 : c’est le quota instauré par le désormais fameux Parcoursup, venu remplacer l’ancienne plateforme APB. Le dépôt des vœux était clos depuis le milieu du mois de mars, les dossiers doivent maintenant être examinés par des commissions d’enseignants-chercheurs au sein de chaque université.

Heures sup’ dans les commissions d’examen des dossiers

Mais la nouveauté de Parcoursup, c’est que contrairement à APB, ces 10 vœux ne sont pas hiérarchisés : les commissions sont donc dans l’obligation, explicitement rappelée par le ministère dans une lettre envoyée ce mercredi 11 avril aux vice-présidents « formation » des universités, d’examiner tous les dossiers en parallèle. Pour un même candidat, le travail est donc à refaire à dix reprises – éventuellement par la même commission si les formations sont demandées dans la même structure, mais plus fréquemment par des commissions différentes en cas de vœux dans différentes universités ou autres lieux de formation. Pour chaque vœu d’un étudiant, la commission doit ainsi se pencher sur un dossier constitué non seulement des résultats scolaires, mais aussi de la « fiche avenir », des notes des épreuves anticipées du baccalauréat, d’une lettre de motivation et éventuellement d’un CV.

Depuis la clôture du dépôt des dossiers, des chiffres commencent à arriver, dessinant une situation dramatique pour les commissions en charge de l’étude des candidatures. A Paris 3, c’est pas moins de 37 920 dossiers qui ont été reçus. Un enseignant-chercheur de Rennes 2 explique pour sa part que dans son département, les enseignants-chercheurs doivent étudier 2400 dossiers ; à 10 minutes minimum par dossier, ce qui est peu, cela représenterait une semaine de travail à plein temps (sans une minute de pause) pour une équipe de dix personnes. Evidemment, très peu voire aucun recrutement supplémentaire n’a été prévu pour cela. A Paris 3, la somme débloquée par le ministère correspond à 1,8€ par dossier... dont une partie pour financer le système informatique. Dans la pratique, cette tâche s’ajoute donc, aux tâches habituelles des enseignants-chercheurs, sans autre forme de compensation : cours à donner, aux examens à organiser, surveiller et corriger, aux stages et aux mémoires à diriger... sans même parler de l’éventualité de pouvoir faire de la recherche.

Déminage chez les enseignants-chercheurs... et mépris total pour les candidats

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