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4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 13:02

In VousNousIls

C03-13.jpgDes enseignants de collèges et lycées de Seine-Saint-Denis, principalement d'Aubervilliers, étaient en grève jeudi, la plupart pour protester contre la politique du gouvernement en matière d'éducation.

Alors que certains établissements en grève fin janvier ont repris le travail, de nouveaux se sont lancés dans le mouvement.

Depuis lundi, des enseignants du collège et lycée Henri Wallon, à Aubervilliers, se sont mis en grève. Ils ont été rejoints mercredi par des collègues du lycée Le Corbusier, dont l'accès était bloqué jeudi matin, puis jeudi par des enseignants de deux collèges.

Selon le syndicat Snes, des professeurs d'un collège de Pantin étaient également en grève jeudi.

"On proteste contre la suppression de postes prévue à la rentrée prochaine et les conditions de travail qui se dégradent", a déclaré à l'AFP Loris Castellani, du Snes.

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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 21:14

In IUFM Paris


http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:kTCaVqCc1mx8lM:http://img65.imageshack.us/img65/6763/halloweencitrouillezw0.jpg
Jusqu'à la Toussaint tout va bien ?

 

Suite à la lettre de Luc Chatel au secrétaire général du SNUipp,  Noemie Schulz (journaliste d'Europe1) est venue à l'IUFM pour entendre ce qu'on avait à répondre au ministre de l'éducation nationale.


dewplayer:http://dl.dropbox.com/u/3447331/2010.mp3&

Reportage diffusé le 26 janvier 2010 dans le journal de 6h30:

3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 18:15

09-2009 0071v2In Café Pédagogoique

par Marcel Brun

 

Blasés, découragés, engourdis, heureux, enterrés ? Bien malin celui qui peut savoir l’état exact de la profession. Il suffit de passer dans les salles des maîtres pour avoir le sentiment apparent : ça court, ça presse, le nez sur le guidon. La semaine en accordéon, les horaires raccourcis, l’aide à tous les étages, les évaluations, les mails injonctifs de la machine bureaucratique qui engorgent la boite de l’Ecole.

 

Alors, dans ces cas-là, le collectif, tu repasseras… Les syndicats ont mauvaise presse ? Pas vraiment, si on en juge par la dernière enquête Viavoice. Mais la grève, pas cette fois. A quoi bon devant tant d’autisme ? Selon l’interlocuteur, « ce-qu’il-faut-c’est-des-actions-dures… » ou « ce-qu’il-faut-c’est-des-actions-qui-se-voient… ». Comme les marins-pêcheurs, les agriculteurs, les routiers, les ouvriers qui retiennent leurs patrons… Sans compter le sentiment de ne pas pouvoir être entendus, de se sentir incompris, voire privilégié…

 

Mais après-tout, les enseignants ont-ils le sentiment d’être des « travailleurs » comme les autres ? Dans les très anciennes versions du Code Soleil, qui régissait la vie professionnelle et privée des enseignants, il leur était précisé de se méfier des fièvres de la plèbe, de se tenir à l’écart dû à leur rang, juste à égale distance du prolétaire et du notable. En ce début de nouveau siècle, la « forteresse enseignante » est-elle capable de s’inventer un nouveau destin commun, une ambition à forger tous ensemble, ou ses membres seront-ils condamnés à errer dans les limbes d’un destin social incertain, ruminant chacun dans son coin l’écart entre ce qu’il aimerait faire et ce qu’il se sent contraint de subir ?

 

Un bien lourd défi pour les temps à venir, et pas beaucoup de lumière pour chercher comment démêler l’écheveau…

Marcel Brun

3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 17:54

In Rue 89

http://3.bp.blogspot.com/_vW8FXbVhlic/SsIMEsn0KpI/AAAAAAAANK8/Jz1466Wx444/s320/blog+-erwan+Redon+sort+IA+Mrs.jpgLe 21 décembre 2009, le tribunal administratif de Marseille suspendait une sanction de mutation, exécutée après les votes d'une commission disciplinaire le 17 septembre. Injonction était donc faite au ministre de replacer dans sa précédente école, Erwan Redon.

Après avoir reçu tardivement cet avis qu'allait faire le ministère ? Accepter la décision ou payer consciemment des amendes, pour non exécution des décisions de justice ?

Cette seconde solution obligerait le plaignant à relancer un appel, une plainte… donc à engager de nouveaux frais, un nouveau stress ? La lutte est dure pour un petit enseignant de rien du tout lorsqu'il se trouve face au mastodonte despotique, faisant fi des lois.

Par chance, il se trouve que le bonhomme Redon a choisi de médiatiser son histoire. Un moyen de défense, de solidarité et d'attaque.

Imaginer un instant que l'État passe au dessus des lois. Nous n'aurions certainement pas manqué de railler cette désobéissance alors caractérisée.


L'Etat en pleine désobéissance caractérisée ?

En pleine évaluation nationale, alors que son inspecteur d'académie et les membres de la commission (syndicats et administration) ont été considérés comme hors la loi, cela aurait été du plus mauvais effet… Sans parler des élections régionales à venir.

Le ministre s'est exécuté. A sa manière, il a même rappelé à Erwan le peu d'estime qu'il avait pour lui en annonçant son changement d'école un vendredi soir pour le lundi suivant.

Pourtant la décision avait été indiquée une semaine avant sur le papier. Dans sa perfidie, le ministre a même, laissant croire à sa grande bonté, annulé la sanction du 17 septembre, et par là même le jugement sur le fond au Tribunal administratif.

Mais revenons 10 ans en arrière. Un p'tit bonhomme, Alain Roche, conseiller pédagogique a l'outrecuidance de dire -dans un mail privé- ce qu'il pense des procédés de recrutement de l'inspection académique en Isère.

Muté d'office pour avoir dans un mail privé critiqué l'inspection académique


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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 17:50

In L'Humanité

C03-27.jpgLa jurisprudence du Conseil d’État confirme que l’éducation nationale fait une utilisation abusive de la vacation. Le Snes-FSU réclame la fin de ces pratiques « scandaleuses ».

Lorsqu’ils ont entendu Nicolas Sarkozy prononcer sa phrase sur la titularisation « progressive » des contractuels de la fonction publique, les responsables syndicaux ont dû tomber de leur chaise. Pour cause. Depuis 2000, année de la dernière vague de titularisation (14 000 personnes concernées), la politique menée par les gouvernements successifs a été exactement inverse.


Dans l’éducation nationale, le recrutement de contractuels (CDD de droit public) et de vacataires n’a cessé de se développer depuis dix ans pour pallier les suppressions de postes de fonctionnaires. On compte ainsi, aujourd’hui, quelque 20 000 non-titulaires dans le second degré (enseignants, CPE et Co-Psy) auquel il convient d’ajouter 40 000 EVS (emploi de vie scolaire) et AVS (assistant de vie scolaire) dans le primaire. Des chiffres en pleine explosion. En 2008-2009, dans l’académie de Grenoble, on dénombrait 2 000 non-titulaires, dont 1 500 vacataires (le double de l’année précédente  !). Pour le rectorat, la vacation, c’est tout bonus, puisque son coût est pris sur le budget des heures supplémentaires et non pas sur celui des postes.


Ce recours massif aux vacataires est dénoncé depuis plusieurs années par le Snes-FSU. Le premier syndicat du secondaire accuse notamment le gouvernement de détourner les textes. Créée par un décret de 1989, la vacation devait permettre, à l’origine, l’intervention dans la classe d’un professionnel sur une discipline très pointue.

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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 17:43
In Libération


Les droits d'inscription se montent à 226 euros actuellement. La direction veut les porter jusqu'à 4000 euros par an, selon les revenus de la famille.

 

(© AFP Jacques Demarthon)


Dauphine a de la suite dans les idées. Après avoir tenté sans succès d'augmenter ses frais d'inscriptions il y a deux ans, l'université (Paris IX), réputée pour sa formation en gestion, récidive. Hier lundi, le conseil d'administration a voté les tarifs prévus pour la rentrée 2010 dans certains de ses masters, ceux de Gestion et d’Economie internationale et développement (cinq masters 1 sur 17, et 44 spécialités de master 2 sur 88).

L'augmentation est plus que substantielle : au lieu des 226 euros actuellement demandés en master – comme dans n'importe quelle autre université, en vertu du montant fixé par l'Etat chaque année – les étudiants devront payer entre 1500 et 4000 euros par an. La modulation se fera selon les revenus de la famille, selon le modèle institué par Sciences Po Paris en 2003. Les boursiers (15% des étudiants à Dauphine) conservent leur exonération de droit, de même que les handicapés et ceux ayant le statut de réfugié. Les étudiants auront droit à un abattement de 500 euros si sa famille comporte plus d’un enfant étudiant ou si elle réside hors de l'Ile-de-France.

L'université justifie sa réforme par le «coût de la qualité»: «Dauphine entend porter la valeur et la notoriété de ses diplômes au meilleur niveau international. A cette fin, elle doit diversifier ses ressources financières.»

Mais a-t-elle bien le droit d'augmenter ses frais à sa guise ? L'université bénéficie d'un statut administratif particulier, celui de «Grand établissement». Comme 17 autres établissements publics orientés sur la recherche, du Collège de France à l'Ecole pratique des hautes études. A ce titre, elle peut sélectionner les étudiants à l'entrée, sur dossier. Elle peut aussi, et c'est là le nœud du problème, créer des «diplômes d'établissement» (ou diplômes universitaires, les «DU») dont elle peut fixer librement la tarification. Contrairement aux classiques diplômes nationaux dont les frais sont régis par décret.

«Universités de riches»

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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 17:39
2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 20:26

In Sud Education

http://www.sudeducation.org/sites/www.sudeducation.org/local/cache-vignettes/L150xH125/rubon1-d83b3.jpg

 

"La fédération SUD éducation confirme et renouvelle son soutien aux enseignant-e-s désobeisseurs qui cherchent à résister aux contre-réformes qui démantèlent le service public d’éducation. La fédération prend acte qu’un mouvement autonome s’est aujourd’hui constitué, sous le titre de «  réseau des enseignants du primaire en résistance », avec ses orientations et son fonctionnement propres, Mouvement qui dépasse la simple mise en réseau d’individus. La fédération SUD éducation a, avec ce Mouvement, des convergences ; nous pouvons aussi, parfois, avoir des désaccords avec lui. La fédération SUD éducation est donc favorable à des actions et des prises de position communes avec ce Mouvement, à condition qu’elles soient en cohérence avec les orientations fédérales et qu’elles soient élaborées de manière démocratique et unitaire, dans le respect des différents partenaires, comme nous le demandons à l’ensemble des mouvements et organisations avec lesquels nous sommes amenés à travailler."

2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 07:29
1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 12:53

Appel 200 maîtres: pas de remontée pour les évaluations qui nous descendent

evaluation1.jpg

Pas de remontée pour des évaluations qui nous descendent !


Une fois encore, le dispositif d'évaluation nationale pour le premier degré, tel qu'il est imposé par le ministère dans les écoles, aura généré nombre de réactions hostiles de parents, d'enseignants et d'universitaires, largement reprises dans les médias. L'opposition à ces évaluations, fédérée autour de l'appel des 200 maîtres, aura été évoquée à chaque traitement de ce sujet dans la presse. On ne peut que s'en réjouir. Il faut dire que nous avons été grandement aidés par la brutale décision de l'Inspection Académique de Limoges de retirer de sa classe un enseignant ne respectant pas à la lettre le protocole de passation des épreuves. Mais là encore, notre mobilisation a payé puisque ce collègue a finalement été autorisé à reprendre ses cours la semaine suivante sans subir la moindre sanction.

Nous avions invité les enseignants à agir en leur âme et conscience par les modalités qui leur semblaient les plus appropriées : boycott, autre utilisation des livrets, passation des seuls items travaillés en classe, autre mode de notation. Mais l'essentiel est à venir avec la non communication des résultats à l'administration, et ce pour trois raisons majeures.

Tout d'abord, c'est uniquement face à l'opposition rencontrée que le ministère déclare qu'il « ne ferme pas la porte dès lors qu'il sera démontré qu'une autre formule est meilleure" et qu' « une réflexion pourra s'engager à partir des critiques constructives ». A n'en pas douter, le respect des procédures de saisie comme de remontée serait utilisé par les communicants du ministère pour faire croire que tout s'est bien passé.

Ensuite, la transmission accrédite l'idée que tout désormais devra être recensé au niveau national sans garantie de l'utilisation qui en sera faite, tout comme pour le trop délicat fichage élèves-familles du logiciel base-élèves imposé aux directeurs. Cette vision technocratique doit nous interpeller tant notre système tend vers la déshumanisation de son organisation.

Enfin, à l'heure de la suppression de la carte scolaire et des discours sur le salaire au mérite, chacun mesure combien la constitution de telles données chiffrées pourrait servir à l'élaboration de classements d'écoles et autres palmarès repris dans la presse. Il y a le précédent du magazine Le Point (en 2006) qui avait obtenu au tribunal les « chiffres secrets » des violences dans le secondaire sans que le ministère ait pu l'en empêcher. L'an dernier est apparu le classement des évaluations nationales par académie largement commenté dans les journaux régionaux. Et n'allez pas croire comme il est dit que cela serve à ajuster les moyens aux besoins puisque des académies en difficulté comme la Guadeloupe et la Martinique perdront tout de même des postes à la rentrée prochaine ! Alors, veut-on voir fleurir des informations de ce type qui mettraient immanquablement les écoles publiques et leurs enseignants en concurrence ?

Au moment où beaucoup se plaignent de leur impuissance à se faire entendre du ministère, voilà une occasion à ne pas rater d'imposer au ministre la reconstruction d'un autre dispositif d'évaluation, diagnostique cette fois-ci, capable de nous aider à mieux comprendre les difficultés constatées, élaboré en concertation avec les professionnels. Ainsi sera-t-il enfin, comme initialement prétendu, au service des élèves, des enseignants et des parents.

Sylvain Grandserre - Porte-parole de l'appel des 200 maîtres - le 1er février 201

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