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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 12:49
In Canard Enchaîné 13 mai 2009

14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 22:20
14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 22:16

In Le Monde

Les chiffres de la mobilisation du jeudi 14 mai contre la réforme de l'Université ont été plus faibles que par le passé, en raison notamment de la période de révision, mais les syndicats ont minimisé cet essoufflement en laissant entendre que le mouvement pourrait reprendre à la rentrée. Le cortège parisien a été le plus important, entre 1 300 et 5 000 personnes selon police et organisateurs.


Des rassemblements plus petits, et quelques fois convergents avec les cortèges des manifestants hospitaliers, ont eu lieu à Marseille, Caen (entre 500 et 600), Reims (entre 100 et 200), Lyon (entre 250 et 300), Grenoble et Toulouse (entre 80 et 120).


Pour
Stéphane Tassel, secrétaire général du syndicat Snesup, les chiffres ne reflètent pourtant pas la réalité du mouvement. "Ce n'est pas en comptant le nombre de manifestants que le gouvernement pourra se rassurer", a-t-il lancé, laissant entendre que le mouvement pourrait reprendre à la rentrée.


La suite...

14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 21:47



Lyon

A Lyon, un mouvement social qui s'essouffle croise un autre qui démarre

 

Lamballe

L'auxiliaire de vie scolaire donne satisfaction mais son contrat arrive à terme




Le Monde

Inscriptions 2009 : le marché des futurs bacheliers

Vingt-neuf personnalités lancent un appel pour "refonder l'université"

Après le blocage, l'impasse

 

 

Saint Etienne

A St-Etienne, les CRS ont délogé les étudiants bloqueurs de l'Université

 

Toulouse

Mirail : « Le déblocage des facs par la police est un aveu de faiblesse »

 

Ouest France

Vers un report des examens dans les universités encore bloquées

 

La Dépêche

Pour faire changer la loi

 

Lyon

Education et santé : trois manifestations à Lyon

 

Caen

Contestation étudiante : 200 à 300 manifestants à Caen

La manifestation étudiante a envahi le hall d’entrée du CHU de Caen

Le mouvement universitaire demande des comptes après l'intervention policière

 

Loire-et-cher

Aide personnalisée à l'école: premier bilan... et grogne

 

Thouars

La municipalité bat le rappel

 

Cerizay

Yo-yo dans les écoles pour l'ascension

 

Le Breuil

Mobilisation du collectif de défense de l’Ecole Publique

 

Lille

Lille 3 toujours absent aux examens

 

Services publics et adversaires innommables (I)

 

 

L'hôpital et l'université une nouvelle fois dans la rue

 

Calais

École maternelle Bossuet : action contre la fermeture aujourd'hui

 

Mediapart

Jeudi 9H

 

Ouest France

Universités. Fillon n'exclut pas un report des examens en septembre

 

Montpellier

A Montpellier III, le retour à la normale mais...

 

 

Augignac

Les parents d'élèves en colère

 

 

Nord Eclair

Formation des maîtres : l'imbroglio

 

Lille

Mobilisation des précaires de l'Éducation nationale

 

Reims  

Université / Le déblocage marque des points

 

Charleville Mézières

Contrats précaires de l'Education nationale : Ils signent, ils marchent…

 

Amiens

 Consultation sur fond de tension à la fac

 

Marne la Vallée

La fac au premier rang de la contestation

 

Le-Creusot

Collectif de défense de l'école publique Mobilisation contre la suppression des Rased 

 

Toulouse

Mirail. Le combat des étudiants continue dans la rue

Toulouse. Les étudiants à la rencontre des habitants

 

Yvetot 

Le lycée agricole gronde

14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 21:42

Une ronde des obstinés
a commencé ce jour


à Toulon
Place de la Liberté

de 8h à 23h
tous les jeudis

14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 21:37



Jardins d’éveil : palme de la « poudre aux yeux »

 

 

« Palme de la poudre aux yeux » : c’est la palme que la FCPE compte décerner au secrétariat d’Etat à la famille pour les jardins d’éveil.

 

Nadine Morano, secrétaire d’Etat à la Famille vient d’annoncer l’ouverture des appels à candidature auprès des collectivités locales, entreprises ou administrations pour l’ouverture des jardins d'éveil.

 

Ces jardins d’éveil devront offrir 8 000 places de garde pour les enfants de 2 à 3 ans d'ici 2012. Or, 8 000 places en jardin d’éveil, cela ne concerne en réalité que 1% des enfants de cette classe d’âge !

 

Afin que les 99 % d’enfants restant puissent intégrer l’école si leurs parents le souhaitent, le ministre de l’Education nationale devra bien maintenir les postes d’enseignants qu’il comptait supprimer.

 

Les parents ne sont pas dupes, ils savent où sont les véritables ambitions éducatives pour leurs enfants : à l’école maternelle et non pas dans les jardins d’éveil.

 

Pour la FCPE, la non scolarisation des 2/3 ans ne repose ni sur une logique éducative, ni sur une rationalisation des coûts, la seule motivation du gouvernement est de réduire à tout prix le budget de l'Education nationale.

Elle rappelle également que les rapports de la Cour des comptes et de la commission des finances du Sénat ont conclu en faveur de l'efficacité de l'école maternelle mais aussi de son coût moins élevé pour les finances publiques que celui des autres structures…

 

 

La FCPE rappelle que l’école maternelle est gratuite donc 100% moins cher pour les familles. Elle est présente sur tout le territoire français.

Elle est le seul lieu qui accueille tous les enfants sans distinction.

14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 21:31

La ronde infinie des obstiné-e-s
 

s’invite dans la


Nuit des Musées


samedi 16 mai 2009


à partir de


19h



14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 21:21

Voici la lettre écrite par un parent d'élèves au maire de Gif sur Yvette suite à l'enlèvement par les services minicipaux de tous les panneaux et banderoles aux abords de l'école. 
Les panneaux, fortement subversifs, demandaient pour le 1er mai :  "des classes moins chargées", "plus de moyens pour l'école"  et la banderole portait ce terrible slogan "éducation sacrifiée= société en danger ", cette citation de Charles De Gaulle " la politique la plus coûteuse, la plus ruineuse, c'est d'être petit" ,et enfin : " Ne laissons pas diminuer les budgets de l'éducation et de la recherche!"  

Il n'y a pas encore eu de réponse à la lettre.   

Le collectif de Gif "Ensemble pour un grand service public d'éducation"




Cher Monsieur le Maire,


Le premier mai, le muguet fleurit partout.

Jusqu'aux grilles de l'école (voir photos ci-jointes).

Chez vos administrés, les brins de muguet s'épanouissent, et apportent la joie.

Sur les grilles de l'école, hélas, leur floraison fut éphémère.

C'est comme dans la chanson du vieux Chalet : "La neige et les rochers se sont unis pour l'arracher".

Mais j'ai comme le pressentimment que la neige et les rochers anti muguet avaient des mains pleines de doigts liberticides.

Si un collectif apolitique de 100 Giffois (électeurs, par ailleurs) n'a plus la liberté d'exprimer on ne peut plus pacifiquement et poétiquement nos craintes d'une détérioration de l'Ecole, on se demande si l'acte de censure qu'est cet arrachement ne risque pas de radicaliser les positions des citoyens que nous sommes, si attachés au Service Public de l'Ecole, en voie de démantèlement insidieux.

Monsieur le Maire, vous êtes le premier magistrat de la Ville. Vous êtes le Maire de tous les Giffois.

En tolérant sur le territoire de la commune des actes de censure (sous couvert de règlementation, mais que ne mettez-vous des panneaux d'affichage libre à la disposition des citoyens ?), vous risquez d'apparaître comme le chef d'une faction.

Je précise que je ne m'exprime ici qu'en mon nom personnel, mais il n'est pas impossible que bien d'autres personnes de notre collectif partagent les mêmes préoccupations.

Je vous prie d'accepter, cher Monsieur le Maire, mes plus cordiales, civiques, démocratiques et républicaines salutations.

 


Joël Martin, parent d'élèves et Giffois depuis 39 ans.


 


PS - Ci-joint, les photos des brins de muguets avec leurs pétales de papier...

14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 21:17

14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 12:40

In Marianne2 (11 mai)

Nous publions ci-dessous, une lettre ouverte signée par une trentaine d'enseignants de Paris-Descartes. Le Monde a refusé de publier le texte qui répondait pourtant à une tribune de seize Présidents d'université publiée par le quotidien du soir.


Dans certaines situations, le gouvernement a su agir avec célérité pour résoudre un conflit social. En quelques heures, les pêcheurs bretons ou les gardiens de prison ont été entendus et certaines de leurs revendications satisfaites, et c'est tant mieux.
Mais pourquoi tant d'indifférence à l'égard du mouvement des universitaires ? Pourquoi pour la première fois depuis 1968, un gouvernement français a-t-il donné l'impression de laisser pourrir sciemment un mouvement ? Pourquoi n'avoir pas su réellement mener une négociation permettant d'entendre réellement la contestation fondamentale des enseignants ?

Les facs américaines sont-elles encore un modèle ?
Le mouvements des enseignants de facultés porte, de fait, sur un choix décisif pour l'université et pour le pays lui-même : veut-on, à travers l'autonomie donnée aux universités et le statut de patron décisionnaire octroyé aux présidents d'université, faire évoluer le système français vers celui d'universités concurrentielles propre au monde anglosaxon ? Considère-t-on, dans les sphères gouvernementales, que le classement des universités de Shangaï, maintes fois contesté, est incontournable et que nos universités doivent devenir « compétitives » ? Doit-on rallier précipitamment  ce système anglo-saxon au moment précis où il fait eau de toute part, à l'image de certaines universités américaines qui manquent cruellement d'étudiants face à la paupérisation des classes moyennes, ou de quelques autres, ruinées par leurs placements hasardeux dans des produits de titrisation ?

La suite...




Lettre ouverte aux 16 présidents d'universités auteurs de l'article Moderniser l'Université

Nous avons lu et relu, avec beaucoup d’attention, ce texte que vous avez cosigné dans Le Monde du 23 avril 2009. Il nous a surpris et déçus par sa faiblesse argumentative. La première raison du malaise réside dans la tentative maladroite de convaincre que les motifs de la mobilisation auraient disparu.
Le jour même où les lecteurs de votre texte découvraient que « l'ampleur du mouvement a permis l'ouverture de négociations qui ont abouti à un retrait de fait des textes incriminés », le Conseil des ministres validait le texte de décret de modification du statut des enseignants-chercheurs pourtant si unanimement rejeté.
Au même moment, les rares maquettes de masters d’enseignement prétendument bloquées étaient avalisées par le ministère, avec mise en oeuvre possible dés la rentrée de septembre. On apprenait aussi la publication au Journal Officiel du décret portant sur la reconnaissance des grades et diplômes de l'enseignement supérieur délivrés par les institutions canoniques dont vous demandiez vous-mêmes explicitement la modification (lettre de la CPU du 5/01/09 à N. Sarkozy).

Votre affirmation de « sortie de crise » est donc fausse, vous le savez. Vous tentez aussi de laisser croire à une quelconque concertation existante ou ayant existé entre les acteurs de la mobilisation et les représentants du gouvernement, ce qui est faux. Ce texte qui comporte de graves inexactitudes donne l’impression d’un assemblage, plus ou moins bancal, de phrases défendant « l’Université » et d’autres défendant « nos universités ». Les premières semblent exprimer, mais à mots prudents, une sorte de souci incantatoire pour le service public que tout le monde partage ou, plus exactement, affirme et qui n’engage pas beaucoup, comme chaque parole lénifiante. Les secondes expriment, cette fois clairement, l’assimilation de « vos » universités à des entreprises que vous auriez à faire prospérer, machines à produire du savoir (s’il le faut) et surtout des diplômes (remplacez « nos universités » par « nos entreprises », l’effet est saisissant). Entreprises exposées à des revendications sociales qui les perturbent, les menacent, nuisent à leur pouvoir attractif.

Ce sont précisément ces phrases-là qui reflètent l’idéologie entrepreneuriale (plutôt qu’un « idéal ») qui a envahi le discours des « responsables », le plus souvent à leur insu, idéologie à laquelle notre métier nous apprend à être sensibles.
Ces « universités » qui sont « vôtres » ne sont que des fictions, des modèles «prêts à penser» bien pratiques pour raisonner de façon réflexe, ce qui témoigne précisément d’un aveuglement idéologique, le même que celui que dénoncent aujourd’hui les médecins. C’est l’ensemble des enseignants et des étudiants auxquels ils transmettent un savoir qu’ils élaborent dans leurs recherches qui sont l’Université.

Ainsi, ce ne sont pas « vos universités » qui ont l’impératif besoin d’autonomie, ce sont les enseignants et les chercheurs : votre autonomie est gestionnaire uniquement, notre autonomie est intellectuelle uniquement. Et la première doit être au service de la seconde : votre autonomie gestionnaire est destinée à nous permettre d’enseigner et de faire de la recherche ; notre autonomie intellectuelle n’est pas destinée à moderniser votre gestion.
 
Les conséquences que vous tirez des attendus de votre texte révèlent elles aussi que vos signatures ont été assemblées aux forceps : on lit d’une part une charge forte vis-à-vis du pouvoir politique. Ainsi à côté des protestations de la communauté dont vous reconnaissez la légitimité, au moins pour certaines (sans du reste préciser lesquelles sont légitimes), vous associez très explicitement l’origine de la «déstabilisation» des universités du côté des ministères, voire de la Présidence de la République : « des projets de réformes empilés, lancés le plus souvent dans la précipitation, et sans dialogue préalable suffisamment large (…), des suppressions de postes et la mise en cause des organismes de recherche ». Un peu plus loin, vous fustigez « la cacophonie institutionnelle et la confusion politique » qui empêchent l’université de progresser, ou encore l’impact négatif probable qu’il y a à faire de l’université « le champ clos de conflits politiques et sociaux qui, pour réels qu'ils soient, lui sont en partie extérieurs ».

On trouve aussi comme grief à nos gouvernants actuels que l’Etat n’assure pas « l'égalité sur tout le territoire  entre les citoyens, et entre les fonctionnaires », ou en tout cas, qu’il est nécessaire qu’il le fasse « mieux qu'il ne l'a fait jusqu'à présent ». Si nous ne pouvons que souscrire à cette indignation, la suite a de quoi consterner, et étonner, parce qu’elle n’est pas de la même eau : « il est impératif que d'autres formes d'action (...) succèdent [à la mobilisation] » ; lesquelles ? Que proposez-vous ? Il faut « que soit respecté le droit d'étudier et de travailler dans les universités »… Nous nous en chargions bien avant que vous ne soyez présidents et continuerons après : c’estnotre métier. Il est impératif « qu'une validation claire garantisse la qualité des diplômes délivrés ». Et qu’est-ce qui va garantir alors que ces diplômes seront délivrés par des enseignants qualifiés, c’est-à-dire par des enseignants qui font activement de la recherche et non par ceux que vous enverrez enseigner plus parce qu’ils ne font pas ou pas assez de recherche, conformément aux droits que vous confère le décret dont nous ne voulons pas et que vous avez laissé publier ?

Madame et Messieurs les présidents, nous sommes mobilisés et allons le rester parce que nous savons lire et que nous savons que les « textes incriminés » n’ont pas été retirés. Certes les ministres, et la cour qui les entoure, font courir le bruit qu’ils l’ont été car ils ont l’urgent besoin d’étouffer ce conflit.  Cette crise est leur échec et le vôtre, qu’on tente d’effacer de l’actualité à grand renfort de campagne de communication.

Mais est-ce bien la fonction de présidents d’université de participer à la diffusion de cet écran de fumée ? Vous, qui affirmez haut et fort dans ce texte que vous ne pouvez « imaginer que le fonctionnement démocratique de nos universités soit mis au seul service des ordres d'un ministère ou de quelque instance nationale que ce soit », qu’avez-vous fait des intérêts de l’Université que vous servez ?
Pourquoi les bradez-vous contre vos intérêts et les pouvoirs qu’on vous donne de gérer des « ressources humaines » ?
Comment n’avez-vous pas compris que cette gestion qu’on vous abandonne est indigne de l’Université à laquelle vous devez vous dévouer ?
Sans moyens pour mener à bien une politique scientifique, un président aussi bien intentionné soit-il se verra contraint d’augmenter la charge d'enseignement de ses collègues les moins armés pour enseigner. Vous prendrez la main sur notre emploi du temps, pourrez exercer tous les moyens de pouvoir, démocratiques ou moins démocratiques, pour contraindre de fait à moduler à la hausse l’emploi du temps de tels ou tels collègues.

Cette besogne est-elle si attrayante ? Le fond du problème est que nous ne reconnaissons pas à ceux qui gèrent, même au mieux, le fonctionnement d’une université, la légitimité d’intervenir de cette façon sur notre travail : sans nous, pas d’université et d’ailleurs, nous en faisons la démonstration. Sans président, un gestionnaire éclairé permettrait l’exercice de notre fonction, sans s’y immiscer.


Madame et Messieurs les présidents, nous assumons nos responsabilités devant nos étudiants, et devant eux seulement. Nous défendons leurs droits, nous pesons pour que prochainement leurs situations ne s’aggravent pas encore, pour que les droits d’inscription ne deviennent pas prohibitifs pour « les étudiants les plus démunis » (qui soucient ceux qui tournent autour du pouvoir uniquement lorsque cela s’avère bienvenu pour leur argumentation). Nous défendons la nécessité d’une formation libre de tout contrôle autre que celui de la rigueur de la connaissance scientifique.

Nous nous faisons confiance les uns aux autres, Madame et Messieurs les présidents, car nous nous savons responsables et consciencieux. Nous n’avons nul besoin qu’on nous rappelle à l’ordre du haut d’une hiérarchie que nous ne reconnaissons pas.

Nous sommes des agents de l’Etat, non ceux de « vos établissements ». C’est pourquoi nous considérons vos prises de position comme un abandon de vos fonctions de représentants élus par la communauté de vos universités. Croyez bien qu’aujourd’hui, comme demain, vous pouvez compter sur nous, nous ne lâcherons pas. Nous sommes déterminés et nombreux à l’être. La modernité n’est pas un idéal, c’est une réalité en perpétuelle évolution et la présenter comme un but à atteindre, outre que c’est encore une fiction, dissimuleces temps-ci une idéologie que les enseignants, les médecins, les journalistes, les psychologues, les magistrats, les chercheurs (qui tous savent lire aussi entre les lignes) et demain d’autres estiment calamiteuse. Ils estiment aussi que c’est de leur devoir de la combattre, obstinément.

Bonnot Virginie, MC*
Burkhardt Jean-Marie, MC
Caroff Xavier, MC
Chabert Catherine, PR**
Chaby Laurence, MC
Chagnon Jean-Yves, MC
Charvillat Agnès, MC
Cohen-De-Lara Aline, MC
Cornillot Michèle, MC
Coudin Geneviève, MC
Delgoulet Catherine, MC
Devouche Emmanuel, MC
Doré-Mazars Karine, MC
Duchet Clara, MC
Dufoyer Jean-Pierre, MC
Emmanuelli Michèle, PR
Estellon Vincent, MC
Girault-Lidvan Noëlle, MC
Granier-Deferre Carolyn, MC, HDR
Gueniche Karinne, MC
Gyselinck Valerie, MC
Houssier Florian, MC
Krauth-Gruber Silvia, MC
Missonnier Sylvain, PR
Mouchiroud Christophe, MC
Mouras, Marie-Josée, MC
Nicolas Serge, PR
Parot Françoise, PR
Plaza Monique, CR1, CNRS, HDR
Robert Philippe, MC
Verdon Benoit, MC
Vergilino-Perez Dorine, MC

* Maître de Conférence
** Professeurs d'université


Qui êtes vous ?
Vous êtes :
Un enseignant du premier degré
Un enseignant du second degré
Un étudiant
Un lycéen
Un parent d"élève
Un simple citoyen
Un chercheur
Un enseignant à l'université
Un fonctionnaire de l'EN (non enseignant) : encadrement, Biatos...
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