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6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 18:39
"Allo, Tonton ? Je voulais te dire : chez nous, dans les facs, tout va bien. Les choses se mettent en place doucement, on va bientôt passer la frontière du Règne de la Concurrence Echevelée (RCE), de la marchandisation exacerbée, sans se faire remarquer. Y'en a bien des qui sont pas contents, ceux qu'ont d'jà passé la frontière. Y zont analysé la situation, paraît qu'c'est de la poudre explosive c'te LRU, rien de meilleur pour détruire l'université !  

Mais toi, Tonton, tu tournes toujours ? C'est quoi c't'histoire de tourner lundi 8 pour soutenir les travailleurs sans papiers en grève ? C'est quoi déjà l'adresse exacte ? Ah, 8 rue du Regard... 

Dis-moi, Tonton, pourquoi tu tournes ? On t'fait tourner en bourrique ? Feriez mieux d'filer droit... T'y penses à ta prime ?...
... Allo, Tonton, pourquoi tu tousses ?

La Ronde Infinie des Obstiné-e-s ne tournera pas sans vous !

R/V chaque lundi à 18h 1 rue Descartes et

LUNDI 8 MARS à 18h, 8 rue du Regard, M° St Placide : venez avec une gourmandise à partager avec les travailleurs sans papiers !!!

ronde.jpg
6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 18:34

Soyons rassurés : feu vert partout... sauf pour les EPEP !
02-03-2010 19-01-56

6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 18:13

In l'ADEP

L'Association des Amis et Défenseurs de l'Ecole Publique avait invité à  la Roche sur Foron, le 2 février Eddy Khaldi, coauteur (avec Muriel Fitousi) de "Main Basse sur l'Ecole Publique". Deux vidéos sont visibles ici, les autres sur le site de l'ADEP.
Par ailleurs, un travail de synthèse du livre a été fort bien réalisé. Il est à télécharger

ici. 

La vision du Président





A Ecole Publique, fonds publics- à Ecole privée, fonds privés.

 

4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 17:35
In Les Echos

C03-13.jpgLa première fédération des parents d'élèves de l'enseignement public interpelle Luc Chatel sur l'épineux problème du remplacement des professeurs absents. Le ministre devrait rapidement faire des annonces.

Devant l'épineux problème du remplacement des enseignants absents (pour congés maladie, maternité ou formation), les parents d'élèves s'impatientent. La FCPE, première fédération des parents d'élèves de l'enseignement public, vient d'interpeller le ministre de l'Education nationale sur la question. Luc Chatel s'est vu remettre fin janvier un rapport sur le sujet par Michel Dellacasagrande, ancien directeur des affaires financières du ministère, mais il ne l'a pas rendu public. Un rapport que le ministre avait commandé fin 2009, après avoir abandonné l'idée de son prédécesseur, Xavier Darcos, d'une agence nationale de remplacement, qui avait déclenché l'ire des syndicats.

Dans sa missive, Jean-Jacques Hazan, le président de la FCPE, assure que le non-remplacement des professeurs absents ferait perdre en moyenne une année de cours sur l'ensemble de la scolarité d'un enfant. Et déplore que « l'Education nationale s'avère incapable de remplacer de façon pérenne ses enseignants ». « L'absence de gestion cumulée à la suppression massive de postes empêche en effet toute solution sérieuse pour améliorer le droit des élèves », poursuit-il. Pour améliorer la gestion du phénomène, il demande à l'Education nationale un meilleur diagnostic, via un effort de transparence, sur les absences non remplacées. La FCPE propose aussi, pour une meilleure gestion, « la création dans chaque académie d'un service spécifique qui suive les remplacements ».

 Souplesse entre académies

Philippe Vrand, président de la PEEP, fédération concurrente, demande lui aussi « un dispositif efficace et de qualité pour la rentrée scolaire 2010 » et finalise dans cette optique une proposition qu'il doit rendre publique en début de semaine prochaine. Sont notamment explorées les pistes du temps de présence des enseignants dans les établissements et d'une plus grande souplesse entre académies. Luc Chatel a déjà lancé depuis le début de l'année plusieurs pistes. Et son entourage affirme qu'il juge ce dossier « prioritaire » et fera des annonces « rapidement » -ses interlocuteurs ont compris la semaine prochaine. Sont promises « des mesures concrètes pour moderniser le système des remplacements, qu'il soit plus réactif, plus efficace et de qualité, pour la rentrée 2010 ». Parmi celles-ci, la fin du délai de carence de quatorze jours, selon lequel, l'absence d'un enseignant du secondaire n'est signalée au rectorat qu'au bout de deux semaines. Le ministère étudie également l'élargissement des zones de remplacement. *

Intégrer des non-titulaires

 La suite...
28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 13:16
27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 15:11
27-02-2010-15-06-36.jpg
27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 14:53

C03-23.jpg


Wattignies

L'école Hector-Malot ne rouvrira pas en septembre

 

Douai

« Matinée morte » hier à l'école de Frais-Marais : un baroud d'honneur ?

 

Lille

À la rentrée de septembre 2010, trois classes seront rayées de la carte scolaire et deux nouvelles feront leur apparition

 

Lomme

Fermeture de classe à Jean-Jaurès, les parents s'insurgent !

 

Bailleau-l'Évêque

Un après-midi de mobilisation contre les suppressions de classes

 

Marssac-sur-Tarn

Inquiétude pour l'école

 

Amiens

Vendredi matin, enseignants et parents d'élèves se sont réunis en assemblée générale à Amiens

 

La réunion

Banderoles successives ce jour sur les grilles du Rectorat

 

France 2

Enseignants et parents demandent audience à Chatel

 

Pau

Le campus de Pau cache les étudiantes Comoriennes que le préfet veut expulser

 

Nouzonville 

Collège : mobilisation pour sauver deux classes

 

Cambrai

Vers une fermeture de classe à l'école : parents et élus se mobilisent

 

Montceau-les-Mines

Les parents d'élèves de l'école Anatole France du quartier du Bois du Verne (Montceau-les-Mines) sont " remontés " et ils l'ont fait savoir

 

Loir et Cher

Forte mobilisation pour l'école et les retraites

 

Saint Vaury

Présentes au conseil municipal: 160 personnes en tout cas ont répondu à l’appel lancé 

 

Talmas

Mobilisation contre la fermeture de classe

 

Hautefort

Classe sauvée : une belle victoire des parents d’élèves

 

Argelès-Gazost.

 Suppressions de classes à la cité scolaire

 

Lille

Les lycées Ferrer et Fénelon en grève

 

24 février 2010 3 24 /02 /février /2010 23:45

C03-23.jpg 

Amiens

Enseignants et parents d’élèves ont bloqué l’Inspection académique

 

Somme

Les enseignants boycottent le CDEN

 

Eure-et-Loir

Carte scolaire : manifestations à Chartres et Dreux

Carte scolaire : inquiétude dans les écoles

 

Lens

La future carte scolaire et ses suppressions de postes font aussi des  remous à Jean-Jaurès

 

Haute Savoie

Contre la fermeture d'une classe

 

La Roche sur Foron

Classe menacée : les parents en colère

 

Tannay

Une des cinq classes de l'école menacée

 

Bras-Panon

Les enseignants du lycée Patu de Rosemont en grève illimitée

 

Saleux

350 signatures en 30 minutes contre la fermeture de classe

 

Veynes

Grève surprise au collège contre un projet de fermeture de classe

 

Pontavert

Contre la fermeture de classe à Pontavert Le rond-point des Chars pris d'assaut par les parents

 

Bourlon

Mobilisation contre la fermeture d'une classe

 

Saint Pol sur Ternoise

Au menu du conseil municipal de Saint-Pol

 

Pays de Loire

Manifestation à l’appel du Collectif vigilance laïcité et du Collectif pour  la promotion de l’école publique dans les Mauges.

 

Soustre

Ecole Soustre: "chronique d'une mort annoncée?"

  

Molieres sur Ceze

La commune s'inquiète d'une possible fermeture de classe

 

Thierville sur Meuse

Agir contre la fermeture de classes

 

Camon

Non à la fermeture de classe à l'école Paul Langev..

 

Les parents toujours mobilisés contre les fermetures de classes

 

Charentay

École : les parents d'élèves redoutent une fermeture de classe

 

Loir-et Cher

Le conseil contre la fermeture de classe

 

La Plaine

La colère à l’école : parents-enseignants mobilisés

 

Caudry

À la cité des cheminots, parents et élus mobilisés pour sauver une  classe à l'école Claude-Bernard

 

23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 15:18

In NouvelObs

C03-13.jpgLes enseignants du 
lycée Adolphe-Chérioux de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) ont dénoncé lundi 22 février, dans un communiqué, l'"acharnement" du rectorat qui a, selon eux, accéléré la procédure de retenues sur salaires consécutive à leurs dix jours d'arrêt de travail.

Ces enseignants avaient cessé les cours le 3 février après l'agression d'un élève en invoquant le "droit de retrait" qui permet à un fonctionnaire confronté à un danger "imminent" d'arrêter le travail sans s'exposer à des pénalités. Les cours ont repris le 15 février.

Jusqu'à présent, l'Education nationale avait fait savoir que seuls deux des dix jours d'arrêt de travail relevaient de ce droit de retrait et seraient payés, les autres étant assimilés à des journées de grève non-rémunérées.


Le rectorat de l'académie de Créteil a précisé lundi que le paiement de ces deux jours était en réalité une "mesure de clémence" accordée par le ministère pour "tenir compte de l'émotion suscitée par l'agression", mais qu'aucun droit de retrait n'avait été reconnu dans cette affaire.

S'agissant des retenues sur salaires, "le rectorat de Créteil a accéléré la procédure", dénoncent les enseignants: "les personnels de ce lycée qui se sont mobilisés vont subir des retenues sur salaires très importantes dès février".


"Duplicité"


La suite...

22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 10:42

In Retraités dans la république

http://chessy2008.free.fr/templates/ubuntu/images/header_boost.jpg
Le texte de Claude Barratier qui suit "donne les détails d'un calcul légal du forfait communal (dans la commune de CHESSY 69), qui a divisé par deux le calcul précédent de la même commune (qui n'était pas légal).


Quelques Maires promoteurs de l'école privée bravent impunément la loi républicaine pour refuser des crédits nécessaires à l' école publique dont ils sont légalement responsables, alors qu'ils les distribuent très au delà de ce qui est obligatoire à l'école privée dont ils n'ont pas la responsabilité. Ils réussissent à rendre leur préférée très attractive(locaux, moyens, voyages, petits effectifs, financement public des moins de 3 ans qui restent ensuite à l'école privée) et à faire fermer des classes mal chauffées, avec du mobilier public vétuste, qui ont perdu beaucoup d'élèves.

Un appel aux Maires et Conseillers municipaux est donc lancé par le Collectif pour la Défense de l'Ecole Publique de proximité, rappelant la loi et invitant à ne payer (aux frais du contribuable) que ce qui est dû à l'école privée.
Claude BARRATIER

"Devant un constat national d’erreurs dans le calcul du forfait communal et de définition des
contributions obligatoires à payer aux Ecoles privées, nous vous adressons un outil de calcul,
des références, qui peuvent vous être d’autant plus utiles que, sur ce sujet qui peut avoir un
gros impact, les contribuables sont de plus en plus vigilants. Voici les points essentiels :

· le forfait communal
· la seule circulaire en vigueur (2007 et non 2005, abrogée)
· les classes maternelles (contribution dans tous les cas facultatives) et les ATSEM
· la question particulière des moins de 3 ans
· le contrôle de la résidence légale de l’enfant accueilli dans le privé
· Comment déjouer le piège onéreux des cantines (financement facultatif si convention)
· Pour les mairies qui seront nouvellement concernées par le forfait municipal : la loi
CARLE
· Le contrôle citoyen des comptes publics des écoles privées utilisant des fonds publics.

Vous trouverez par ailleurs un lien avec notre site pour en savoir plus sur ces sujets et sur
la défense de votre Ecole publique de proximité."


Aux Maires et conseillers municipaux, artisans de l’intérêt général dans les impôts locaux

Maîtrise du Forfait communal

De très nombreux conseils municipaux commettent d’énormes erreurs dans le calcul du
Forfait communal :utiliser la bonne circulaire, ne compter que les dépenses matérielles liées à
l’enseignement, ne pas se laisser piéger avec les classes maternelles privées qui ne commencent qu’à
3 ans, ni par de fausses déclarations sur la résidence légale.

Le forfait se calcule en divisant le total de certaines dépenses du bâtiment public par le nombre
d’enfants scolarisés sous la responsabilité du Maire de la commune, quelle que soit leur commune de
résidence.


Ce forfait multiplié par le nombre d’enfants en résidence légale dans la commune et inscrits à l’école
privée donne la contribution financière qui sera versée à l’école privée.
Contrairement à la base de
calcul pour l’école publique, les enfants des autres communes ne sont pas pris en compte.


La circulaire n°2007-142 du 27/08/2007 n’est souvent pas appliquée


http://www.education.gouv.fr/bo/2007/31/MENF0701576C.htm

C’est cette circulaire 2007 et non la circulaire 2005 annulée qui indique les dépenses à prendre en compte, l’école
élémentaire est seule concernée.
Contrairement aux prétentions de l’OGEC qui parle de parité au sens d’égalité des deux écoles, publique et privée, ce qui n’est ni la loi ni la réalité, on ne prendra pas en compte toutes les dépenses).


Voir:
http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=141

La circulaire de 2007 dit seule clairement comment on doit appliquer la loi.


Son annexe n’est qu’indicative, n’est pas la loi, seule contenue dans le corps de la circulaire qui précise bien que les salaires et charges des ATSEM (Agents Territoriaux Spécialisés des Ecoles maternelles) ne sont pas à prendre en compte, ni les activités extra scolaires comme le temps de cantine, les garderies du matin et du soir (études).

Depuis 2007, donc, les Mairies qui font payer à leurs contribuables un financement pourtant facultatif des classes
maternelles privées ne devraient plus compter les ATSEM qui ne sont pas des personnels de service mais des assistantes
pédagogiques du Professeur : Répétons le, ce sont les dépenses matérielles liées aux heures d’enseignement qui sont seules à prendre en compte, comme le dit expressément le code de l’éducation. L’OGEC, qui a l’art de l’enfumage,
pousse à l’interprétation de l’annexe de la circulaire 2007 sans valeur juridique mais reconnaît que pour les maternelles ils ne peuvent rien exiger, contrat d(association ou non:

http://chessy2008.free.fr/articles/articles.php?cat=5&id=224

Les représentants locaux de l’OGEC sont formés à la contestation de la circulaire 2007 ! Or, en s’en tenant à cette circulaire prise à la lettre, les Maires sont sûrs d’être inattaquables devant un tribunal administratif, ce qui n’est pas le cas s’ils s’en écartent trop, de la part ce citoyens contribuables bien informés.

Il ne faut pas hésiter à envoyer la circulaire 2007 aux services préfectoraux…qui l’ignorent souvent et en sont restés à
feu la circulaire 2005, ce qui sur évalue le forfait moyen départemental communiqué par les préfets.

La circulaire 2007 divise par deux et plus le montant des dépenses obligatoires.

Les dépenses liées à l’enseignement sont seules à prendre en compte.

C'est-à-dire que par semaine, on ne comptera le coût de fonctionnement de l’Ecole que 24 h par semaine de 4 jours, ou
plus par semaine traditionnelle, ce qui conduit à établir des comptes de dépenses du bâtiment suivant les heures (fluides, entretien, assurances, personnels de service), et de ne prendre en compte que le pourcentage de temps consacré à l’enseignement. On établit ainsi des clés de calcul rendant ensuite très facile l’élaboration annuelle du forfait municipal.
Pour plus d’information sur la clé de calcul, voir :

http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=32

Les dépenses des classes maternelles restent totalement facultatives

Même si un contrat d’association a prévu ces classes maternelles, suite à l’efficacité persuasive de membres de l’OGEC
qui savent être présents dans les conseils municipaux, une commune peut cesser de les financer sans qu’il soit nécessaire de modifier le contrat d’association (Il ne prend jamais la force de la loi.)

Prendre en compte les dépenses des classes maternelles doublerait encore la note à payer…



Les OGEC reconnaissent que dans aucun cas elles ne peuvent imposer le paiement pour les maternelles:

http://chessy2008.free.fr/articles/articles.php?cat=5&id=224

Les enfants des classes maternelles sont le vivier des classes élémentaires
. C’est vrai dans le public comme dans le privé, et distribuer des fonds publics aux classes maternelles privées alors que c’est facultatif, aide à leur développement qui prépare la fermeture de classes maternelles et élémentaires dans le public.
Ces classes maternelles sont prioritaires pour l’école privée qui a consigne, de la part de son diocèse, de les maintenir
même non financées par l’impôt local. C’est leur vivier, il y a très peu d’admissions en cours préparatoire hors la montée de leurs propres classes maternelles.

Les moins de 3 ans

Refusés dans le « public », ils sont bienvenus à l’école privée et y resteront en maternelle, affaiblissant le recrutement de l’école communale. Un comble : des Maires distribuent un forfait communal à des moins de 3 ans (c'est-à-dire hors école maternelle elle-même facultative). Cela ne fait en aucun cas partie de la Loi !

La résidence légale des enfants de l’école privée est à vérifier.

Le forfait communal ne s’applique pas à un enfant pour lequel l’école privée fait valoir l’adresse d’une assistante
maternelle, ou d’un membre de sa famille : Seule est à prendre en compte la résidence légale du parent qui a la garde ou du tuteur.

Le problème des cantines
Une convention d’utilisation de l’espace public permet seule d’éviter que le contribuable finance l’accompagnement, la
surveillance des enfants de l’école privée qui y sont admis. Cette convention doit préciser que la cantine fonctionne
prioritairement pour les enfant dont la scolarisation est de responsabilité municipale (ce qui n’est pas le cas de l’école
privée ») et que pour les autres « clients », une convention précise les conditions de leur admission, et en particulier
qu’ils seront encadrés par le personnel de l’école privée.
Sans convention restrictive, le contribuable de la commune siège de l’école privée va payer des dépense indues pour les enfants de sa commune et des autres communes.

La loi CARLE et le financement des écoles privées situées hors de la commune qui va payer.

La limitation à 4 cas de figure fera l’objet de tentatives de contournement de la loi, les écoles privées étant entraînées à
rechercher tous les moyens d’obtenir de l’argent public pour leurs activités privées. Tout devra être vérifié en détail. En
particulier la fausse résidence (chez la nourrice, au nom de facilités pour aller au travail), ou le regroupent des fratries,
sans préciser que le premier enfant inscrit à l’école élémentaire privée ne s’est rapproché d’aucun frère ou soeur.


Transparence
Les citoyens contrôlent de plus en plus les actes de leur conseil municipal, ils ont accès de plein droit à la comptabilité de
la commune. Il est normal qu’ils connaissent les clés de calcul du forfait municipal à partir de certaines dépenses
concernant le bâtiment et certains personnels municipaux.
La comptabilité des associations (toutes, et pas seulement l’OGEC) devient un document administratif public dès lors que la commune a attribué une contribution financière obligatoire ou facultative. Un contribuable peut donc exiger la consultation en mairie de ces documents publics, et en obtenir copie.
Voir:

- Comment obtenir les comptes d’une association loi 1901

http://association1901.fr/blog/droit-association-loi-1901/comment-obtenir-les-comptes-dune-association-loi-1901

- Le délit de prise illégale d’intérêt

http://chessy2008.free.fr/upload/2dd06dedefe67ca1bceae67a3904280d.pdf

Claude Barratier

http://chessy2008.free.fr
Collectif pour la défense et la promotion de l’école publique de proximité (CDPEPP)
http://ecoledeproximite.lautre.net/petition/php/texte_petition.html
ecoledeproximite@yahoo.fr /
13 janvier 2010

Qui êtes vous ?
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