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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 22:08

Parents, enseignants, étudiants,
un rassemblement est organisé à Trappes,

Jeudi 2 avril à 18 heures
devant l'Hôtel de Ville


Plus que jamais dans ce contexte de crise, l’enseignement et la formation des jeunes ne sont pas un coût mais un investissement pour l’avenir, le meilleur rempart contre le chômage. Le collectif « l’Education est notre avenir », comme le 19 octobre, comme le 20 novembre, comme le 10 décembre, comme le 17 janvier, comme le 29 janvier et comme le 19 mars, appelle tous ceux qui veulent défendre le service public d’éducation et à le transformer pour une meilleure réussite des élèves à le faire savoir haut et fort le 2 avril, dans toute la France, dans tous les lieux où se forme la jeunesse d’aujourd’hui et se forgent les savoirs de demain.


Après la manifestation du 19 mars, la seule concession faite par le gouvernement est un léger recul sur la réforme de la formation des enseignants. Cela ne suffit pas, nous ne laisserons pas ce gouvernement poursuivre son entreprise de démolition de l’Ecole, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche publics ! Nous pouvons lui faire entendre raison !


Nous refusons une carte scolaire désastreuse fruit des trop nombreuses suppressions de postes de ces dernières années.


Nous ne transigerons pas sur la garantie d’une formation de qualité pour tous les enseignants.

Jeudi soir 2 avril après le travail ou l’école, le collectif « L’Education est votre avenir » appelle par mille manifestations, rassemblements, retraites aux flambeaux, à se mobiliser en faveur de l’éducation. Devant les écoles, les collèges, les lycées, les universités, sur les places publiques, expliquons-nous, rassemblons-nous, faisons du bruit, pour enfin nous faire entendre !


30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 20:55
30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 17:25
In La Depeche.fr

Enseignants et parents d'élèves se sont retrouvés pour dénoncer, une fois encore le vilain coup qui est porté à l'Education nationale.

Plus que le nombre, c'est la permanence de la mobilisation que nous recherchons », expliquait, hier matin, Véronique Legier de SUD. Avec plus de 200 collègues elle était au rendez-vous du samedi matin… comme cet enseignant chercheur qui, à Paris tournait sur la place, de Grève.

« Pour le premier samedi, avant le mouvement du 29 janvier, l'IUT était très mobilisé, nous ne sommes aujourd'hui que quelques-uns, mais l'enseignement et la recherche sont représentés, et c'est là l'essentiel », expliquait cet autre participant. Il se disait favorable à ces rencontres du samedi car elles permettent la participation de citoyens qui ne peuvent pas perdre une journée de grève sur leur salaire.


En fait, la stratégie des samedis matin est simple. Se retrouver et en appeler à Xavier Darcos pour qu'ils reviennent, définitivement sur ses projets. C'est également une façon de maintenir la mobilisation de la population. « A ne rien faire, l'indifférence, ou simplement la méconnaissance du sujet par le grand public, permettrait d'entériner l'une des plus graves attaques portées contre le service public de l'école », explique Jean-Marie Laumenerch, de SE Unsa. Que ce soit dans le premier degré, alors que la carte scolaire vient d'annoncer la fermeture de douze postes d'enseignement, « il faut faire savoir qu'il n'y a, à ce jour, aucun problème réglé » poursuit Jean-Marie Laumenerch.


Venus à l'appui des enseignants des responsables des partis politiques de gauche représentés par leurs dirigeants ou des élus, comme les conseillers généraux, Pierre Lasserre, Alain Sorbadère ou encore Gérard Marcet.

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 17:20

In Journal du Dimanche

Un instituteur, par "plaisanterie", avait menacé en septembre 2008 un de ses élèves qui exhibait son sexe en classe de le lui couper s'il recommençait. Des gendarmes ont ouvert une enquête et le maître des écoles se retrouve aujourd'hui devant les tribunaux. Liernais, son village en Côte-d'Or, a pris fait et cause pour l'enseignant. Lundi matin, ils manifesteront en sa faveur.

Sa voix s'entremêle à celle de son fils: "Comment, mais comment peut-on faire pour arrêter tout cela?" La grand-mère de Julien, petit écolier âgé de 9 ans, se tord les mains d'angoisse. Lundi, un instituteur va être jugé. Il risque jusqu'à trois ans de prison et 45 000 euros d'amende pour voie de fait. Un dénouement qui effare cette femme et son fils, Christophe, père du garçon concerné. "Je suis sûre, sûre que Julien ne s'est pas déculotté, oh non, ce n'est pas son genre", poursuit la quinquagénaire. Dans cette affaire ubuesque, le fait de savoir si son petit-fils a vraiment exhibé son sexe en classe importe pourtant très peu.

Pour comprendre l'agitation qui s'est emparée de cette famille à Liernais, il faut pousser la porte du café de la mairie, QG du comité de soutien à Jean-Paul. Fort de ses 80 adhérents, de centaines de sympathisants, de milliers d'euros collectés et de 3 500 signatures recueillies, cette association prépare une manifestation lundi matin, pendant l'audience devant le tribunal de grande instance de Dijon. Un préavis de grève a même été déposé dans le canton pour permettre aux enseignants qui le souhaitent de venir soutenir leur collègue.

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 17:07
Le CollecGif qui avait proposé l'action "des coeurs sur le portail"  organise une soirée débat

Mardi 7 avril à 20h30,

Lycée de la Vallée de Chevreuse, Gif sur Yvette, 91


30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 12:52

In LibéLyon

Iufm_mobilise 

EDUCATION –
« Vu de loin, on a l'impression que plus personne ne pilote rien », entend-on à l'IUFM de Lyon. La réforme menée par Xavier Darcos ? C'est « le bordel », « une pagaille ». Et une menace en cours, selon les enseignants. Alors que l'opinion publique peut avoir l'impression par le prisme des médias d'un « détricotage », d'un « report », le collectif des personnels, professeurs et enseignants-stagiaires de l'IUFM affirme qu'il « n'en est absolument rien ».  Selon Isabelle Tourron, professeur documentaliste, « La réforme n'est pas reportée pour l'année prochaine. Elle est en cours. Le ministère de l'éducation fait pression pour que les maquettes* remontent »...


A la première lecture de la
lettre de Xavier Darcos, envoyée le 20 Mars à la FSU, première organisation syndicale de la fonction publique, ils se sont dit : « On a gagné! ». Puis ont vite déchanté. « On remet tout sur les rails », indique Michel Driol, formateur en lettres, pour qui ce texte ne fait qu'ajouter de la confusion, avec une « volonté d'organiser une espèce de désordre pour l'année prochaine ». Il compte de fait « 18 cas différents d'étudiants pouvant préparer les concours, ce qui est complètement impossible à gérer ». L'IUFM de Lyon ne saurait plus quoi répondre aux candidats. « Ce n'est pas une réforme qu'on nous propose. C'est la destruction d'un système de formation », ajoute Michel Driol.



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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 12:30



Les parents d’élèves de Nogent sur Marne ont décidé d’occuper l’école Paul Bert mardi 31 mars en signe de protestation contre la suppression de son poste de directeur.

L’école qui compte 14 classes fait depuis le début de l’année scolaire l’objet d’un projet de fusion avec l’école voisine, Guy Môquet, pour constituer un seul établissement de près de 700 élèves (soit la plus grande école du pays). Ce projet, massivement rejeté par l’ensemble des parents des 2 écoles (950 pétitions signées, manifestation de 250 personnes en novembre) a été suspendu sur le papier mais remplacé par la suppression du poste de directeur sur Paul Bert, dont l’intérim (terme employé par l’inspection) a été confié au directeur de Guy Môquet, pourtant déjà en charge de son école de 14 classes. 

Cette expérimentation inquiétante s’appuie, selon l’inspection du 94, sur l’article 34 de la loi de programmation sur l’avenir de l’école de 2005.


L’école se situe au 46, rue Paul Bert à Nogent sur Marne

 

Pour plus d’information sur cette décision et son historique, voir le site commun aux 3 associations de parents d’élèves de la ville (PEEP, FCPE et Ecolo Parents).


Voir également billets sur ce sujet sur le blog local Nogent-Citoyen :  
Réorganisation ubuesque des écoles Paul Bert et Guy Môquet et  Explications du Maire et de l’Inspection (les courriers officiels)




In Le blog des enseignants du primaire

Expérimentation d'EPEP dans le 94, un groupe scolaire de 28 classes !

L’inspection académique du Val de Marne a décidé d’expérimenter une nouvelle forme d’organisation des directions d’école à Nogent sur Marne. Ainsi, dans le groupe scolaire Paul-Bert Guy Môquet, qui comprend 2 écoles de 14 classes chacune, a-t-il été décidé de ne pas remplacer le directeur de l’une des deux, après sa mutation.  Un enseignant en partie déchargé dans la première école épaulera le directeur de la seconde pour gérer les 2 établissements. Les 2 conseils d’école et conseils des maîtres perdureront l’année prochaine, mais avec un seul directeur.
L’idée est de fusionner les 2 établissements d’ici l’année prochaine. Cette expérimentation inquiétante s’appuie, selon l’inspection du 94, sur l’article 34 de la loi de programmation sur l’avenir de l’école de 2005. (Aucun rapport avec les EPEP sur le papier puisqu’ il s’agit d’un article permettant des expérimentations dans le cadre du projet d’école) Concrètement, le poste de direction a été « bloqué » selon les propres termes de l’inspecteur.

Cette organisation fait en effet suite à l’abandon – pour cette année -d’un projet de fusion refusé par les parents car il aurait donné lieu à la plus grosse école primaire du pays.

29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 20:32

7  enseignants de Bléré viennent d’être sanctionnés financièrement car ils ont refusé de mettre en place l’aide personnalisée. Depuis l’application de cette mesure, les RASED,  spécialisés pour l’aide aux élèves en difficulté sont démantelés( 1/3 des postes cette année sont concernés) .

L’année scolaire des élèves français est devenue une des plus courtes d’Europe (140 jours) et la journée de classe, une des plus longues d’Europe.

Par leur action coup de poing, ces enseignants veulent dénoncer le mépris des rythmes de l’enfant et alerter sur le renoncement du gouvernement à aider les plus en difficulté.
Malgré les sanctions, ils sont déterminés et poursuivront leur action jusqu’à ce qu’ils soient entendus.

Un courrier de soutien circule et il est  possible signer la pétition.

29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 18:56
29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 18:41
Depuis le 18 février, un collectif citoyen s'est crée autour du Bassin des Vans en sud Ardèche, il regroupe des parents, des enseignants, des citoyens amis de l'école publique, des élus locaux ...attachés à l'école.
 
Nous avons décidé de nous mobiliser en organisant plusieurs "nuits des écoles publiques" sur 5 semaines afin de présenter à l'ensemble de la population du sud du département, ainsi qu'aux élus locaux, le démantèlement programmé dans nos campagnes de la seule école qui accueille indistinctement tous les enfants : l'école de la République.
 
Nous sommes également présents tous les samedis matin sur le marché de la ville des Vans avec une opération gilets jaunes et signatures de pétitions de 10h à 12h30 depuis le samedi 21 février ...
 
Nous avons obtenu de plusieurs Conseils Municipaux des motions de soutien et le refus de s'engager dans les EPEP ...
 
Nous souhaitons également exprimer le fait que nous ne sommes pas des citoyens de seconde zone fermer des écoles de village sous prétexte de regroupement pour un meilleur fonctionnement est une chose que nous n'accepterons pas ...
 
La fermeture d'une école de village c'est la mort programmé du village ...
 
Nous occuperons les écoles publiques le jeudi 2 avril en simultané ... 
 
Cette journée du 2 avril se terminera par une nuit des écoles qui rassemblera toutes les personnes qui se sont mobilisées dans les précédentes nuits pour préparer la suite des mobilisations jusqu'au retrait des réformes qui portent atteinte aux valeurs de l'école de la République.
 
Le collectif citoyen du Bassin des Vans.
 

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