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25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 11:22

Avis de tempête dans les écoles de la circonscription

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Ils partirent 300 mais par un prompt renfort,... ils furent plus de 500 en arrivant sur l'Esplanade, entre la permanence parlementaire de Robert Lecou, député de la 4e circonscription, et la souspréfecture de Lodève.

Bardés de leurs gilets fluo de sécurité, enseignants, parents d'élèves et écoliers venus de tout le secteur Éducation nationale de Lodève, du Caylar à Villeveyrac, ont répondu nombreux à l'appel du collectif "Quelle école pour demain 34 ?". Après rassemblement sur le parc municipal, le cortège des manifestants se dirigeait dans un premier temps vers l'hôtel de ville où les attendaient de nombreux maires et élus du secteur ceints de leur écharpe tricolore, dont Alain Cazorla, conseiller général et maire de Clermont-l'Hérault et Bernard Soto, maire de Paulhan.

Après l'accueil par Bernadette Trani, adjointe déléguée aux affaires scolaires de la Ville de Lodève, Sébastien Rome, au nom du collectif, exprima les sentiments de ceux qu'il représentait : «Sentiment de colère face aux réformes faites dans la précipitation et sans concertation ; sentiment de lassitude à être moqués et méprisés sans que jamais on ne reconnaisse les vraies réussites de l'école. D'où ce sursaut d'orgueil de notre part face à une politique éducative qui se délite. Bref, devant l'urgence, nous demandons de réelles rencontres avec les élus, que nous invitons à se joindre à nous.»

Banderoles levées et slogans clamés hauts et forts, les manifestants sont repartis dans les principales artères de la cité de Saint-Fulcran et étaient rejoints boulevard de la Liberté par Marie-Christine Bousquet, conseillère générale et maire de Lodève. Laquelle, abandonnant sa permanence hebdomadaire, les a accompagnés jusqu'à la permanence parlementaire de Robert Lecou.

Là, déception : la petite délégation venue remettre au député de la 4e circonscription une pétition déjà signée par plus de 900 personnes, fut déçue de n'être accueillie que par son attaché parlementaire, Bruno Brilliard. Lequel excusa le député, retenu à Paris par la tenue du Conseil national de l'UMP. Malgré la déconvenue provoquée par le choix du député, « au lieu de se trouver sur le terrain pour prendre la mesure du profond malaise qui se développe dans nos écoles », les membres de la délégation sont repartis avec l'assurance d'une très prochaine rencontre avec le député.

Traversant l'Esplanade, les manifestants se sont tournés vers la sous-préfecture, afin de soumettre à Christian Ricardo – très préoccupé par l'alerte rouge des intempéries annoncées – l'ensemble de leurs revendications, en le priant de les faire remonter en haut lieu. Avant de se séparer, les manifestants se sont donnés rendez-vous à Montpellier, mercredi, lors de la grande manifestation des services publics de l'État.

B. F

25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 11:17



"Hier après-midi, j'ai assisté à l'enterrement du RASED de Dammarie-Lès-Lys.

 

A partir de septembre prochain, seuls quelques enseignants spécialisés exerceront leurs missions à partir de feuilles de route transmises par l'IEN, en fonction des résultats aux évaluations. Ils s'agira des enseignants dits itinérants. Leurs secteurs d'intervention seront plus vastes. Et dire que le gouvernement nous reprochait de faire du saupoudrage !!!

 

Les enseignants surnuméraires : Il s'agira des ex-enseignants spécialisés qui exerceront en quelque sorte la fonction de MASZEP (maître d'aide et de soutien en ZEP), uniquement au cycle 2 (CP et CE1). Les équipes pédagogiques devront définir des projets précis qui justifieront l'intervention de ce personnel supplémentaire. Attention, l'ex maître G n'exercera plus son travail de rééducateur. Il n'est question que d'une intervention pédagogique.

Ces enseignants n'auront plus la possibilité de rencontrer les autres collègues itinérants, dont le psychologue. Les réunions de synthèse réseau, s'il en existe encore, se dérouleront sans eux. Les « surnuméraires » ne sont plus des enseignants RASED.

 

Enfin, il y a les autres….ils retourneront dans une classe. Ils ont la priorité 1 pour obtenir des postes fléchés et garder ainsi leur super prime de 60 euros. Afin, d'éviter l'éviction de collègues enseignants sur certains postes, au profit d'un ex-enseignant spécialisé, notre IEN a pu tirer profit du départ à la retraite de certains collègues ou de l'ouverture de classes dans deux écoles. Nous avons donc pu éviter le pire, l'intolérable.

 

En revanche, que dire de l'interdiction pour les maîtres E d'obtenir un poste fléché en maternelle ? Quelle image réductrice de notre spécificité d'enseignant spécialisé chargée de l'adaptation scolaire. Quand on songe que nous sommes parfois dénommés psychopédagogues !

 

Je vous le dis…après une très mauvaise nuit. Les RASED sont MORTS.

Les missions des itinérants vont être modifiées, pour s'écarter de plus en plus des objectifs fondamentaux qui faisaient la force et les spécificités du dispositif RASED. Prévenir, plutôt que guérir est obsolète.  L'évaluation statistique annuelle des élèves conditionnera la survie des itinérants (et des surnuméraires) : trop de bons résultats, moins d'itinérants ; pas assez de bons résultats, inutilité des itinérants…..

 

Hier, il n'y avait déjà plus de RASED.

Hier, les enfants et les familles n'étaient plus au cœur de nos intérêts.

Hier, nous étions déjà divisés, isolés……Ils ont gagné à Dammarie-Lès-Lys.

 

Avant de vous réunir face à votre IEN, réfléchissez ensemble ! Solidarisez-vous pour ne pas perdre la face, au moins ! Psychopédagogues, UNISSEZ-VOUS !


AmIcalement, une ex enseignante spécialisée déprimée !!"

24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 23:26
24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 22:35
Source AFP

Darcos ne convainc pas les lycéens aux Etats généraux de la Fidl

Après avoir reporté sa réforme du lycée et laisser Richard Descoings, directeur de Sciences-Po, conduire le dossier, le ministre de l'Education Xavier Darcos a tenté samedi de "renouer" avec les lycéens de la Fidl réunis en états généraux à Paris, sans pour autant les convaincre.


"Si on m'avait il y a encore un mois que je viendrais (...), j'aurais été un peu supris, parce que c'était une période de tension. Je vois maintenant que nous pouvons repartir sur des bases nouvelles", a commenté d'emblée le ministre devant un auditoire d'environ 200 personnes.


Le 15 décembre, en accord avec le chef de l'Etat, M. Darcos a reporté d'un an la réforme du lycée qui devait commencer à s'appliquer à la rentrée 2009, notamment devant la grogne croissante dans les lycées.

Sans cravate, cherchant à paraître décontracté, M. Darcos a estimé qu'il avait "renoué" avec les lycéens réunis pour deux jours de débats à Paris par la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (Fidl).

"Vous et moi considérons que la situation actuelle (dans les lycées, ndlr) n'est pas satisfaisante", a-t-il lancé, tentant de faire cause commune avec son auditoire.


Sous forme de mea culpa, il a reconnu que "l'appropriation" par les lycéens de la réforme est "ce qui a manqué" à la première mouture qui devait être présentée en décembre. "Nous ne voulons pas renouveler cette erreur", a-t-il dit.


Avant d'ajouter: "peut-être (que) ce sera plus facile avec quelqu'un de nouveau". Richards Descoings, le directeur de Science-Po Paris, qui n'était pas présent, a en effet été chargé début janvier par Nicolas Sarkozy de mener la concertation sur le lycée.


M. Darcos a également tenté de répondre aux questions des lycéens, parfois vives et à leurs commentaires, sous forme d'interpellations: "vous supprimez des postes... Vous enlevez des pions (surveillants, ndlr). Vous favorisez l'échec scolaire Monsieur le ministre", lui a notamment lancé un élève, sous un tonnerre d'applaudissements.


"Il y a des problèmes d'effectifs, on est toujours 35 par classe. Vous êtes plus le ministre de l'économie de l'Education nationale que le ministre de l'Education nationale", a renchéri un autre, tout aussi applaudi.

"Ne pensez-vous pas que le mouvement de décembre, c'est une crise d'angoisse de la jeunesse?", a demandé un autre lycéen.


M. Darcos répète que la question des moyens est selon lui dépassée et qu'il s'agit plutôt de "rationaliser", que le taux d'encadrement, s'il est inégal, a été meilleur en 2008 qu'en 2007, ou encore qu'il ne peut résoudre à lui seul la crise internationale.


Sans vraiment convaincre, ni l'assistance, où de nombreuses mains se levaient pour poser encore des questions, ni, à la tribune, la présidente de la Fidl, Alix Nicolet, qui n'a pas hésité à lui couper la parole et lui dire en substance qu'il manquait de "volonté".


"Je me doutais bien que je ne vous convaincrais pas", mais "j'invite à ce que le dialogue continue", a déclaré M. Darcos avant de quitter la salle.

"Il n'y a pas d'avancées sur la questions des postes, des moyens, et surtout de l'encadrement, on est restés sur notre faim", a regretté Alix Nicolet devant la presse.

24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 22:18

(Source AFP)

Près de 70% des Français soutiennent ou "ont de la sympathie" pour la journée de grèves et de manifestations du 29 janvier à l'appel de l'ensemble des syndicats, selon un sondage CSA pour Le Parisien/Aujourd'hui en France à paraître dimanche.

Interrogées sur leur "attitude à l'égard de cette journée d'actions" organisée "afin d'exiger notamment des mesures pour la sauvegarde de l'emploi et la hausse du pouvoir d'achat", 46% des personnes interrogées ont dit la "soutenir" et 23% "avoir de la sympathie" pour elle, soit 69% d'opinions positives.

Le sondage compare ces 69% de "soutien/sympathie" pour la journée du 29 janvier à un taux moyen de 65% de "soutien/sympathie" observé depuis 1995 à l'égard de "l'ensemble des mouvements sociaux".

Parmi les sympathisants de gauche, 68% soutiennent la journée et 23% "ont de la sympathie" (91% si on les additionne), tandis que parmi les sympathisants de droite, ces taux sont respectivement de 22% et 19% (41% additionnés).

17% des personnes interrogées se disent indifférentes (7% parmi les sympathisants de gauche et 19% parmi ceux de droite). Et 12% d'entre elles y sont opposées ou hostiles. Parmi les sympathisants de gauche, 1% est dans cette catégorie, contre 38% parmi les sympathisants de droite. 2% des personnes interrogées "ne se prononcent pas".

Ce sondage a été réalisé par téléphone les 21 et 22 janvier 2009 auprès d'un échantillon représentatif de 1.007 personnes âgées de 18 ans et plus constitué d'après la méthode des quotas. (Source AFP)

24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 19:56
24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 17:57
Communiqué commun des organisations SNUipp FSU, SE-UNSA, SGEN-CFDT, SUD Education, SNUDI-FO, CGT Education
 
Alain Refalo très durement sanctionné : inacceptable !
 
L' Inspecteur d' Académie vient de convoquer aujourd'hui Alain Refalo pour lui signifier des sanctions. Il annonce vouloir lui retirer 2 jours de salaire par semaine pour "service partiellement non fait" (8 jours par mois soit près de 500 euros), à compter du 5 janvier. Cette sanction financière est inacceptable.
 
Alors que plus de 10 000 personnes ont signifié par pétition leur soutien à Alain Refalo et leur exigence qu'aucune sanction ne soit prise, alors que la profession, aux côtés des parents d'élèves, est profondément mobilisée pour défendre l'Ecole Publique comme l'ont encore montré la manifestation du 17 janvier et la nuit des écoles du 20 janvier, comme le montrera la grève interprofessionnelle du 29 janvier qui s'annonce massive, l'administration, plutôt que d'entendre la colère et l'engagement des personnels pour préserver l'Ecole Publique, fait le choix de la sanction.
 
Nous ne pouvons pas accepter cette situation.
aucune sanction contre notre collègue !
 
Nous appelons solennellement l' Inspecteur d'Académie à ne pas sanctionner notre collègue, à entendre la profession et les parents d'élèves.
 
Nous appelons à s'emparer massivement à nouveau de la pétition départementale et à continuer à la faire signer.
 
Nous appelons parents, enseignants, salariés, à participer à un rassemblement de soutien à Alain Refalo jeudi 29 janvier à 13h devant l'Inspection Académique (juste avant la manifestation unitaire interprofessionnelle)
 
Nous appelons les collègues à retourner à l'IA (avec double au syndicat) la motion suivante :

" Les enseignants soussignés, de l'école ..... à .....,  sont profondément choqués par la sanction financière sans précédent qui touche notre collègue Alain Refalo. L'action de notre collègue s'inscrit dans la logique des mobilisations en cours depuis des mois pour défendre l'Ecole Publique. Aujourd'hui, la seule réponse qu'apporte l'administration au malaise et à la colère de la profession, à nos exigences pour l'Ecole, se résume à la menace et aux sanctions. Nous ne pouvons l'accepter. Nous vous demandons solennellement, Monsieur l'Inspecteur d'Académie, de revenir sur votre décision de sanctionner Alain Refalo."
 
Nous appelons parents, enseignants, citoyens, à amplifier les actions et la mobilisation pour défendre l’Ecole publique en danger.
 
Les organisations syndicales envisagent, si c'est nécessaire et que les sanctions ne sont pas levées, la mise en place d'une caisse de solidarité.
 
Les organisations syndicales
SNUipp-FSU        SE-UNSA        SGEN-CFDT        SUD Education       SNUDI-FO        CGT Education
24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 16:28

In Ouest -France
Actualité Sarthe
     samedi 24 janvier 2009

 


La loi impose désormais aux mairies d'accueillir les élèves quand leurs instituteurs sont en grève. Pour les petites communes, c'est un casse-tête. Est-ce une raison pour prendre des libertés avec le respect de la vie privée ?

Un employeur qui diffuse les adresses persos de ses anciens salariés... C'est l'initiative prisepar l'inspecteur d'académie pour développer l'accueil des élèves, en cas de grève.

Choquant.

« Je n'apprécie pas du tout que mon ancien employeur diffuse mon nom et mon adresse, sans même prendre la peine de m'en avertir ! » De jeunes retraités sarthois de l'enseignement ne décolèrent pas contre l'initiative prise par l'inspecteur d'académie de la Sarthe pour « aider les petites communes à appliquer le service minimum d'accueil à l'école, comme le réclame le Président de la République ».

Le mouvement de grève de jeudi, à l'appel de presque tous les syndicats de salariés du public et du privé, sera très suivi dans l'enseignement. Du coup, Jean-Claude Rouanet a pris la décision d'envoyer une note à tous les maires des communes qui abritent une école publique. Le texte rappelle que la loi du 20 août 2008 impose l'accueil des enfants en cas de grève et que, pour cela, elle permet de recruter ponctuellement des étudiants, des assistantes maternelles, ou encore des personnels d'associations familiales...


« C'est n'importe quoi ! »

Rien d'anormal. Sauf qu'à cette note de rappel, est jointe une liste de 287 noms, ceux de « personnels enseignants retraités durant ces quatre dernières années ». À chaque fois, un nom, un prénom, suivis d'une adresse personnelle. Bernard Vétillard, maire-adjoint du Mans et ancien conseiller pédagogique, n'en revient pas quand on lui apprend qu'il figure sur la liste : « C'est n'importe quoi ! C'est très choquant qu'un ancien employeur diffuse ainsi des adresses personnelles. En plus, moi, je suis totalement contre le service minimum d'accueil. »

« Balancer une liste dans toutes les communes avec des adresses personnelles, je ne sais même pas si c'est légal », tempête un autre instit à la retraite. Pour se justifier, l'inspecteur d'académie parle de « l'intérêt des familles confrontées aux problèmes de garde ». Il invoque aussi « le manque de temps pour prévenir individuellement chaque personne » figurant sur la liste. « Peut-être que je suis allé au-delà de ce qui est souhaitable de faire », finit-il par déclarer en ajoutant que « ce procédé inhabituel a pu provoquer un certain désarroi. »


Les prévisions du nombre de grévistes, donc du nombre de personnes nécessaire pour les remplacer, devraient être connues en début de semaine. L'inspection d'académie est tenue de les communiquer aux mairies au moins 48 heures à l'avance. À partir de là, s'il n'est pas sur liste rouge, le téléphone de 329 retraités sarthois de l'enseignement risque de se mettre à chauffer. Alors qu'ils n'ont rien demandé.


Patrick ANGEVIN. Ouest-France

24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 10:45

Le 29 janvier sera une grande journée de mobilisation pour l’ensemble des salariés, du public comme du privé.

Une grande manifestation partira de la Bastille à 14h.

23 janvier 2009 5 23 /01 /janvier /2009 20:50

Communiqué à la presse le vendredi 23 janvier 2009

Maternelle Ménilmontant / élémentaire Dolet - Paris 20ème


M. Xavier Darcos devientrait-il nerveux ?

 

Malgré les mesures de rétorsions contre les premiers enseignants grévistes et « objecteurs » que M. Darcos fait exécuter par sa hiérarchie, mercredi dernier au Rectorat, 290 enseignants des écoles primaires parisiennes ont déposé une lettre de refus d’appliquer les heures de soutien. Mais M. Darcos fait la sourde oreille. Pour faire diversion il lance un nouveau contre-feu en annonçant des « médiateurs », lui dont le gouvernement a supprimé des milliers de surveillants et personnels d’accompagnement ces dernières années !

 

Parions que cette nouvelle mesure de diversion, dont la pertinence ne résiste pas à la moindre analyse, aura le même « succès » que le contre-feu médiatique déjà ouvert lors de la première grande grève des enseignants contre cette réforme au printemps 2008, lorsque le Président Sarkozy avait cru judicieux d’annoncer fièrement le Service Minimum d’Accueil, dont la suite à montré à quel point cette mesure était bâclée et inapplicable.

 

Alors que des familles et des enseignants préparent pour ce soir une « Nuit des écoles de Paris », nous apprenons que certains directeurs/directrices se voient menacé-e-s de sanctions (financières, mutations...) car à l’intérieur de leurs établissements ce sont « les parents qui ont pris le pouvoir » (dixit la hiérarchie) et que « c'est inacceptable ».

 

Ces manoeuvres d’intimidation auprès des établissements scolaires manifestant leur opposition aux mesures Darcos sont pathétiques. M. Sarkozy prend-il au pied de la lettre la célèbre formule du 20ème siècle : « Les instituteurs, soldats de la République » ? M. Darcos veut-il se comporter en général, faire passer les « mutins » en cours martiale ? Ces tentatives résonnent comme un aveu de faiblesse. Qu’imagineront-il contre les familles ?

 

En attendant de le découvrir, les parents d’élève de notre école organisent ce soir, dans le cadre de l’opération « La nuit des écoles de Paris » :

L’APÉRO–FORUM  DES  PARENTS,
AMIS, VOISINS,  ENSEIGNANTS,  DES  ÉLÈVES  DE  LA  MATERNELLE  MENILMONTANT ET DE L'ELEMENTAIRE DOLET.

À partir de 18 heures, un moment d’échange et de solidarité autour de quelques douceurs.

Refusons la « réforme Darcos » !

Contacts
Damien 06 06 43 11 36 Raphaële 06 61 59 75 30

liste des écoles occupées : http://www.cpe75.org/spip/Soiree-nuit-des-ecoles-du-23

Qui êtes vous ?
Vous êtes :
Un enseignant du premier degré
Un enseignant du second degré
Un étudiant
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Un simple citoyen
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Un enseignant à l'université
Un fonctionnaire de l'EN (non enseignant) : encadrement, Biatos...
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