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22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 21:52

A écouter :

dewplayer:http://www.sauvons-lecole.fr/aubry.mp3&
22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 21:20

Sauvons l'Ecole signataire de L'appel des appels

In Appel des appels




Alors que nos métiers respectifs, qu’il s’agisse de la santé, du soin, du travail social, de l’éducation, de la recherche, de la justice, de l’information et de la culture, subissent une attaque sans précédent de la part du gouvernement - alors que des appels de réaction et de protestations sont lancés par dizaines dans le pays - le temps est venu, nous semble-t-il, de coordonner ces différents mouvements et d’en tirer tout le sens politique.


Si cette initiative rencontre votre adhésion, nous vous proposons :

- de signer cet appel
- de le faire signer en le relayant dans tous les cercles et réseaux auxquels vous avez accès.

Mais aussi et afin "d’étendre le domaine de la lutte :

-  de participer à la réunion de coordination du 31 janvier, qui aura lieu, de 10 h à 18 h, au "104 rue d’Aubervilliers", à Paris, au cours de laquelle le pays réel se fera entendre à travers les témoignages des professionnels en lutte et devrait faire émerger des propositions d’actions transversales pour l’avenir.


- 

- Soutenir l’appel

- Voir les autres signataires


Esquisse du programme de la journée de l’Appel des appels du 31 Janvier au 104 rue d’Aubervilliers Paris


- 10h-10h15 : Accueil et Introduction par Robert Cantarella.

- 10h15-10h30 : Présentation et Historique de l’Appel des appels par Roland Gori

- 10h30-13h : Cahier à charges du malaise contemporain :

- Qu’est ce qui ne va pas dans la culture ?

   Qu’est-ce qui ne va pas dans l’information ?

- Qu’est ce qui ne va pas dans la justice ?

- Qu’est-ce qui ne va pas dans la prévention et le travail médico-social ?

- Qu’est ce qui ne .va pas dans l’éducation ?

- Qu’est ce qui ne .va pas dans la recherche et à l’université ?

- Qu’est ce qui ne .va pas à l’hôpital et dans le soin « somatique » ?

- Qu’est ce qui ne .va pas dans le soin psychique et la santé mentale ?


13h-14h30 : Pause déjeuner et réunion du groupe d’archivage et de décryptage.

14h30-16h : Témoignages spontanés

16h15-17h15 : Retours du groupe d’archivage et débat

17h15-18h : Conclusion

Appel des appels

« Nous, professionnels du soin, du travail social, de l’éducation, de la justice, de l’information et de la culture, attirons l’attention des Pouvoirs Publics et de l’opinion sur les conséquences sociales désastreuses des Réformes hâtivement mises en place ces derniers temps.

A l’Université, à l’École, dans les services de soins et de travail social, dans les milieux de la justice, de l’information et de la culture, la souffrance sociale ne cesse de s’accroître. Elle compromet nos métiers et nos missions.

Au nom d’une idéologie de "l’homme économique", le Pouvoir défait et recompose nos métiers et nos missions en exposant toujours plus les professionnels et les usagers aux lois "naturelles" du Marché. Cette idéologie s’est révélée catastrophique dans le milieu même des affaires dont elle est issue.

Nous, professionnels du soin, du travail social, de l’éducation, de la justice, de l’information et de la culture, refusons qu’une telle idéologie mette maintenant en "faillite" le soin, le travail social, l’éducation, la justice, l’information et la culture.

S’inscrire à la journée du 31 janvier par courriel (Entrée libre)

Nous appelons à une Coordination Nationale de tous ceux qui refusent cette fatalité à se retrouver le 31 janvier 2009 à Paris. »


 


Des professionnels de nombreux secteurs lancent un appel contre les réformes actuelles


Des "professionnels du soin, du travail social, de l'éducation, de la justice, de l'information et de la culture" ont lancé un appel, publié vendredi par le quotidien Libération, "contre les conséquences sociales désastreuses des réformes" dans ces secteurs.


Les promoteurs de ce texte intitulé "l'appel des appels", et qui, selon eux a déjà recueilli 20.000 signatures, annoncent la création d'une "coordination nationale" qui se réunira le 31 janvier à Paris.


Parmi les signataires figurent le secrétaire général du Syndicat de la magistrature Mathieu Bonduelle, l'enseignant sanctionné pour "désobéissance pédagogique" Alain Refalo, le metteur en scène Robert Cantarella, le psychiatre Elie Winter, l'universitaire Isabelle This Saint-Jean et la journaliste Elisabeth Weissmann.


Selon Libération, un professeur de psychopathologie à l'université d'Aix-Marseille, Roland Gori, est à l'origine de cette initiative.

L'appel attire "l'attention des pouvoirs publics et de l'opinion sur les conséquences sociales désastreuses des réformes hâtivement mises en place ces derniers temps. A l'université, à l'école, dans les services de soins et de travail social, dans les milieux de la justice, de l'information et de la culture, la souffrance sociale ne cesse de s'accroître. Elle compromet nos métiers et nos missions".


"Au nom d'une idéologie de +l'homme économique+, le pouvoir défait et recompose nos métiers et nos missions en exposant toujours plus les professionnels et les usagers aux lois +naturelles+ du marché. Cette idéologie s'est révélée catastrophique dans le milieu même des affaires dont elle est issue".

Les signataires refusent "qu'une telle idéologie mette maintenant en +faillite+ le soin, le travail social, l'éducation, la justice, l'information et la culture" et appellent "à une coordination nationale de tous ceux qui refusent cette fatalité"

22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 19:52

Source AFP

Des parents d'élèves de l'école des Bourseaux à Saint-Ouen-l'Aumône (Val-d'Oise) se sont rendus en classe pour empêcher mercredi et jeudi le déroulement des tests d'évaluation prévus par l'Education nationale pour les CM2, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.


Depuis lundi et jusqu'à vendredi, tous les élèves de CM2 doivent passer des évaluations nationales en français et mathématiques, considérées comme "essentielles" dans la réforme de l'école primaire par le ministère de l'Education, mais qui rencontrent l'opposition des syndicats.


A Saint-Ouen-l'Aumône, les parents des 44 élèves de CM2 ont décidé "à l'unanimité", selon les parents joints par l'AFP, d'empêcher ces tests de se dérouler. Mercredi matin, jeudi matin puis jeudi après-midi ils se sont donc rendus en classe avec les élèves pour confisquer les carnets d'évaluations distribués par les instituteurs.

"Nous laissons les instituteurs faire leur travail et distribuer les livrets d'évaluation puis nous demandons aux élèves de ne pas les ouvrir et de nous les remettre. Ensuite nous quittons la classe pour laisser l'instituteur faire cours", a expliqué à l'AFP Nathalie Giany, une parent d'élève.


D'après cette mère de famille, les parents d'élève, réunis dans un collectif, considèrent que ces tests "portent en partie sur un programme qui n'a pas été étudié, qu'ils sont trop difficiles, que les élèves n'ont pas assez de temps pour répondre et que la notation est trop binaire".

Joint par l'AFP, un collaborateur de l'inspecteur d'académie a estimé que cette action était "regrettable". "Ces évaluations sont là pour aider les élèves en leur donnant l'enseignement le mieux adapté", a-t-il ajouté en précisant qu'un inspecteur de circonscription avait rencontré les parents d'élèves à deux reprises, mercredi et jeudi.

22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 19:03


"Notre inspecteur nous a réunis hier pour nous informer de la situation des rased pour l'an prochain et de la possible décision de l'IA de TOULOUSE  de fermer tous les postes RASED de l'académie, PSY SCOL y compris afin de réorganiser l'ensemble des secteurs et des circos avec le nouveau personnel (IEN compris car création de trois postes IEN sur l'académie: un à la commission technique des maternelles , un autre sur l'ASH et un en plus). En sorte que toute personne de réseau devrait participer au mouvement dont les règles seraient susceptibles de changer. (postes à rofils, flèchés etc...) Les syndicats doivent être informés la semaine prochaine. (non négociable nous a-t-il précisé)
Du point de vue de la gestion de la misère cela se conçoit...
Du point de vue des postes supprimés, cela évite aux IEN de choisir qui ils désignent comme victimes (car à cela ils ne s'y résignent pas...)

Du point de vue des réclamations, il ne poura pas y en avoir car du fait de la participation au mouvement, les personnes n'auront que des postes qu'ils auraient demandés: en effet, le mouvement se faisant à l'aveugle cette année (pas de 1er tour avec inscription d'intention de changement), il est recommandé de demander (si ce ne sera d'ailleurs "obligatoire" )un grand nombre de postes.

Il nous a montré aussi les pressions auxquels ils sont soumis (audits...) et en particulier l'enquête qui leur est exigée quant à la passation des éval CM2 ( des dizaines de tableaux à remplir). Il nous a parlé de la "peur" qui règne chez eux, climat délétère de menaces... Ils sont aussi dans l'obligation de fournir des postes vacants dans les écoles en difficultés, s'il n'y en a pas ils doivent fermer des postes de titulaires.
Les écoles prioritaires sont déjà décidées en vertu des évaluations sixièmes effectuées cette année dans les collèges ainsi que le nombre de "sédentarisations".

Enfin il nous a confirmé que les 3000 postes étaient d'ores et déjà fermés (loi de finance) et que donc la sédentarisation correspond pour moitié à un retour dans les classes ordinaires flèchées dans les écoles prioritaires avec une obligation d'être en sus maître ressource!! et pour les autres en maître surnuméraire dans les mêmes écoles à titre provisoire... Ces personnels les uns et les autres ne feraient plus partie des dispositifs rased."

Il était désolé et trés triste... Nous aussi!
"

M.R.
22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 18:40

Source AFP




Une coordination nationale des universités a été créée jeudi à Paris, lors d'une assemblée générale d'enseignants-chercheurs désireux d'obtenir le retrait du décret modifiant leur statut, et critiquant aussi la réforme de la formation des enseignants et les suppressions de postes.

Selon les organisateurs, étaient présents des membres de 42 des 85 universités françaises, des représentants de plusieurs sociétés savantes, d'associations comme Qualité de la science française (QSF), Sauvons la Recherche (SLR) ou Sauvons l'Université (SLU) et des chercheurs précaires.

"L'objectif minimal très clair est le retrait du projet modifiant le décret sur le statut des enseignants-chercheurs", a résumé l'économiste Bernard Paulré de Paris-I, université où s'est déroulée l'assemblée générale, dans un amphithéâtre de 200 places plein.

"Pour la première fois depuis longtemps, un mouvement d'ampleur des enseignants-chercheurs semble possible" en dehors d'un mouvement des étudiants, a lancé le porte-parole de SLU Jean-Louis Fournel, recueillant les plus vifs applaudissements de la matinée.

"Le décret est la goutte d'eau qui fait déborder le vase car il touche au coeur de nos professions", a déclaré le juriste Olivier Beaud au nom de l'association Défense de l'université.

Les opposants au décret ont manifesté leurs inquiétudes sur plusieurs points, dont les risques que leur soient imposées davantage d'heures d'enseignement et les possibilités d'arbitraire de la part des présidents d'universités.

Ils veulent en outre que le Conseil national des universités (CNU) conserve son rôle actuel dans la gestion des carrières des universitaires et jugent de façon générale que leur statut risque de perdre son caractère national.

Le décret préparé par la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Valérie Pécresse va concrétiser le transfert de la gestion des ressources humaines et des carrières aux universités.

Il prévoit de leur donner le pouvoir de "moduler" le temps de service des personnels entre enseignement, recherche et tâches administratives. Il prévoit aussi de retirer au CNU son pouvoir actuel sur 50% des promotions, mais le CNU évaluera tous les quatre ans les enseignants-chercheurs.

22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 18:32
22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 18:08

AG NATIONALE

des collectifs de parents et d'enseignants
Lyon samedi 24 janvier

10h00 (accueil : 9h00)  - 18h00

INSA, Campus de la Doua, amphi Capelle

 

 

Inscriptions et contributions :

(recensement des mobilisations et revendications)

agnationale@yahoo.fr

 

 

 

Hébergement à Lyon (vendredi et/ou samedi soir) :

isabelle.campanella@free.fr

 

 

 

Proposition Ordre du jour :

1/ recensement des mobilisations et recueil des revendications

2/ perspectives du mouvement

3/ coordination de la prochaine AG Nationale

 

 

collectif de sites : http://www.netvibes.com/collectifnationaleducation#Nouvelles_!


Le document en .pdf

22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 17:58

In La Depeche.fr


«
SOS détresse à l'école. Darcos démission. Touche pas à la maternelle» : ces slogans ont été prônés fièrement dans les rues de Saint-Lys mardi soir lors de la nuit des écoles. Dès 19h, des familles d'écoliers de la maternelle et des instituteurs- qui ont revêtu le gilet jaune, signe de la protestation contre les réformes Darcos, sont allés chercher les collègues et écoliers mobilisés aux écoles primaires du Gazailla et de l'Ayguebelle.


Tout ce cortège a convergé vers la halle où les élus et des habitants sympathisants de cette grogne les attendaient. La mairie avait même mis des lampions à la disposition des manifestants.

Le mouvement va se durcir

Il fait très froid mais l'envie d'en découdre «pour sauver l'école» réchauffe tout le monde. Pas moins de 300 personnes de Saint-Lys mais aussi de Fonsorbes, Fontenilles et villages aux alentours.

 «Ce soir, je me sens moins seule», a confié une institutrice. Des bambins de 4 ans ouvrent le défilé. La maman de l'un d'eux explique : «Dans les maternelles, les enseignants apprennent aux petits à tenir leur stylo et à être sociable. Si demain, on ferme les maternelles, combien d'enfants daltoniens, dysorthographiques, dyslexiques ne seront plus repérés? Beaucoup de parents qui ont des enfants en maternelle n'ont pas encore compris les enjeux de notre combat. A cet âge, en tout cas au Petit Prince, ils ont la chance d'aller à la piscine, d'aller à la bibliothèque, de faire des activités culturelles que nous parents on n'a pas le temps de leur faire faire!»


Jacques Tène, le maire, défile avec Josiane Lassalle, adjointe chargée des Affaires scolaires. D'ailleurs sur le mur de la mairie, une banderole résume leur position : «Oui à l'école publique et laïque».

Le combat va se durcir lors de la grève du 29 janvier. Ecoles mortes en perspective. «Parents enfants, venez à Toulouse manifester!» scande un enseignant.

22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 17:51

In Café Pédagogique



Fini Darcos ? C'est ce que laisse entendre Luc Cédelle dans un article du Monde, évoquant "sa lassitude envers l'univers de l'éducation nationale, ses traditions de contestation et les formidables résistances auxquelles se heurte, selon lui, quiconque entreprend de le réformer". Toute la presse écrite souligne d'ailleurs ses difficultés avec les enseignants, particulièrement du primaire, les mouvements de "résistance" et de "désobéisseurs".

 

Cet effet "fin de règne" est amplifié par un entretien avec Claude Lelièvre, dans le même journal qui fait un bilan de l'action mnistérielle. "Dans le primaire, qui se mobilise toujours davantage que le secondaire, un point de non-retour a été franchi" estime l'historien de l'éducation. "Le ministre de l'éducation nationale a multiplié les erreurs, en remettant, avec des mots malheureux, la question de la maternelle sur la place publique, mais aussi en touchant le point sensible de l'identité professionnelle des instituteurs".

 

Pourtant X Darcos doit présenter le 22 janvier son "programme d'action pour 2009". Selon des indiscrétions, il devrait intervenir sur trois sujets. D'abord la revalorisation des nouveaux enseignants (ceux qui auront le master) et peut-être dans une certaine mesure des autres. Il lancerait également un plan de lutte contre l'absentéisme dans les quartiers populaires :  5 000 agents en emplois aidés devraient être recrutés pour "faire l'interface entre l'école et les parents". Enfin il pourrait présenter un service d'orientation accessible par téléphone ou internet.

 

Si tel était le cas on noterait d'abord la modestie de ces actions par rapport à la frénésie réformatrice de ces derniers mois. On ne voit rien ensuite qui puisse renouer le contact entre le ministre et les enseignants et particulièrement ceux du primaire. Alors même que c'est le prix de son maintien.

22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 17:36

Qui êtes vous ?
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Un enseignant du premier degré
Un enseignant du second degré
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Un fonctionnaire de l'EN (non enseignant) : encadrement, Biatos...
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