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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 15:56
In Le MondeL'école privée La Providence à Caen. | AFP/MYCHELE DANIAU
 
C03-18Les écoles privées sous contrat appliqueront pour la plupart la réforme des rythmes scolaires d'ici à la rentrée 2014. Juridiquement parlant, elles n'y sont pas tenues, puisque le décret du 24 janvier sur l'organisation du temps scolaire ne mentionne que les écoles primaires publiques. Un statut à part lié à la loi de 1959, qui définit leur "caractère propre" et rend les directeurs des écoles privées libres de l'organisation du temps scolaire dans leurs établissements.
L'enseignement catholique, qui représente 90 % des écoles privées sous-contrat et 12,6 % des écoliers, ne s'est cependant toujours pas prononcé officiellement sur la question. "Nous sommes à la recherche d'un accord avec le ministère, explique Eric de Labarre, secrétaire général de l'enseignement catholique. Nous souhaitons qu'il exprime officiellement sa volonté que le privé entre dans la réforme, sous la forme d'un protocole ou d'une déclaration commune."
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"NOUS SOUHAITONS AVOIR ACCÈS AUX MÊMES MOYENS"
Vincent Peillon, le ministre de l'éducation nationale, a déjà assuré aux écoles privées qu'elles auraient accès au fonds d'amorçage versé aux établissements qui appliquent la réforme dès la rentrée 2013. Insuffisant, selon M. de Labarre : "Nous voulons aussi qu'il garantisse le traitement à parité des élèves du privé et du public. Dans l'état actuel des choses, les collectivités territoriales financeront des activités péri-éducatives dans les écoles publiques, mais ne seront pas tenues de le faire pour le privé. Nous souhaitons avoir accès aux mêmes moyens, au nom de l'égalité entre les enfants."
L'enjeu pour les écoles privées, comme pour les municipalités, demeure en effet le financement de cette réforme, qui génère un surcoût d'"au minimum 130 à 140 euros par élève", évalue Philippe Trillot, directeur diocésain dans le Maine-et-Loire.
Une somme qui englobe le coût de l'encadrement des enfants sur le temps périscolaire en raison du raccourcissement de la journée de classe. "On risque de reporter ce poids financier sur les familles", redoute Claude Dalverny, président du syndicat des chefs d'établissement de l'enseignement catholique du premier degré.
  
CONTRAINTS DE S'ALIGNER SUR LE CHOIX DES ÉCOLES PUBLIQUES DE LEUR COMMUNE

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