Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

 

 

 

 

 

 

 

 

 



Envoyez vos mails à

 

sauvons.lecole@laposte.net

  

Recherche

Pour voir tous les articles...

Vous ne voyez sur cette page
qu'un article.

Pour voir TOUS les articles
c'est
ici !

ou revenir à la page d'accueil

3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 12:58
23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 20:57

In Le Parisien

Argenteuil : des parents bloquent l'accès d'une école

 

Il réclament la réouverture d'une huitième classe de maternelle. Une trentaine de parents d'élèves ont bloqué l'accès d'un groupe scolaire d' (Val-d') jeudi.

«Nous avons fermé l'accès en laissant entrer les enseignants. Les parents étaient au courant de notre initiative depuis lundi», a expliqué Francis Gabouleaud, président de la coordination FCPE d'Argenteuil.

 

Depuis la rentrée, des parents d'élèves de l'école maternelle Jules-Ferry, qui accueille 204 enfants, multiplient les - manifestations, occupations de classe et blocage - pour qu'un enseignant supplémentaire soit nommé. Plusieurs enseignants avaient fait grève le 8 octobre pour la même raison.

«Nous avions obtenu l'ouverture d'une nouvelle classe il y a deux ans. L'inspection académique nous l'a supprimée cette année prétextant qu'il n'y a pas assez d'enfants. Du coup, on se retrouve avec des classes de 29 à 31 élèves», affirme Francis Gabouleaud.


«Petit papa Chatel....»

Jeudi matin, les parents d'élèves accompagnés de leurs enfants avaient préparé des lettres, destinées au ministre de l'Education nationale Luc Chatel, qu'ils ont postées dans une fausse boîte aux lettres en carton décorée d'étoiles de Noël. Puis ils ont demandé en chantant au «Petit Papa Chatel» de leur offrir «dès à présent un petit poste d'enseignant».


Selon Katia Redier, 36 ans et mère d'une élève âgée de trois ans et demi, «les classes de l'école sont très rapidement saturées de bruit en raison du sureffectif». «Cela engendre des problèmes d'attention chez les enfants et de la nervosité lorsqu'ils rentrent à la maison le soir», souligne-t-elle.

L'inspection académique porte plainte

La suite...



In L'Humanité

Les petites classes de Jules Ferry débordent

A Argenteuil, les parents d’élèves de l’école maternelle Jules Ferry se battent depuis six semaines pour obtenir la réouverture d’une classe fermée en septembre contre toute logique.


Rien ne bouge, ce jeudi matin, devant le groupe scolaire Jules Ferry à Argenteuil (Val d’Oise) recouvert d’affiches et de banderoles. Les écoles, maternelle et primaire, sont bloquées par les parents d’élèves (FCPE) qui, depuis six semaines, se battent comme de beaux diables pour la réouverture d’une huitième classe, fermée cette année par l’inspection académique contre toute logique. Pas de cantine, pas d’accueil matinal, prévient un message de la mairie. Un calme trompeur règne dans la cour. Dans la salle semi-circulaire de l’école maternelle, une petite centaine de personnes enfants et adultes mêlés mettent la dernière main aux messages, plutôt colorés, qu’ils vont adresser au « Petit Papa Chatel ».


Unique cadeau envié et réclamé : une maîtresse supplémentaire pour cette école maternelle qui compte 205 élèves et ne peut accueillir les 5 enfants de moins de trois ans qui sont « en attente » . Les deux classes de petite section étouffent avec 30 et 31 élèves. Parmi les lettres adressées au Petit Papa Chatel dont l’adresse ressemble étrangement à celle du ministre de l’Education nationale Sonia, bouclettes brunes, lui annonce que, depuis la rentrée, dans sa classe, « on joue aux sardines » mais que le jeu a suffisamment duré. Julien, père d’élève, confirme : « dans la classe, il y a trois bancs et pas de place pour un quatrième. Pour chaque activité commune, quelques gamins doivent s’asseoir par terre. Même la superficie de la classe n’est pas prévue pour accueillir autant d’enfants ».


« Donne moi un maîtresse »


La suite...



In JT M6 12-10-2009





1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 12:59

In C'est Classe

Les Français font des enfants. Et en plus ils veulent les mettre à la maternelle ! C'est manifestement un problème pour l'Education nationale qui, devant supprimer des postes, va les chercher en maternelle  la scolarité obligatoire ne commençant qu'à six ans. Mais à Montlignon, comme à Bouffémont, les parents se rebiffent. Tandis qu'un collectif  "Pas de bébés à la consigne" lance une campagne nationale contre le désengagement de l'Etat à l'égard des tout-petits.


Manif de parents de maternelle à Montlignon (95), (2), sept 09


A quelques kilomètres de Bouffémont, le village de Montlignon (2500 habitants), également dans le Val d'Oise, est plein d'enfants. Beaucoup de jeunes familles sont venues s'y installer: les enfants sont au calme, et les logements sont plus abordables qu'à Paris où les parents vont généralement travailler, à trente minutes de là, sans les embouteillages.


Le problème, c'est justement cette natalité. L'école a été créée il y a six ans. En maternelle, elle comptait quatre classes pour 95 élèves l'an dernier. Mais en juin dernier, l'inspection a annoncé la fermeture d'une classe, les enfants devant être moins nombreux à la rentrée 2009.

 


Mais parfois les prévisions mentent. Les enfants de maternelle se sont retrouvés 93 début septembre, dont quatre ne parlant pratiquement pas le français. Ce qui fait une moyenne de 31 dans chacune des trois classes. La nature ne faisant pas toujours bien les choses, il y a proportionnellement plus de petits. Il a fallu donc faire des classes de double niveau, dont une mêlant des grands et des petits.


Une précision: à Montlignon comme à Bouffémont, on ne prend pas les petits de deux ans à la maternelle. Seulement les deux ans trois quart qui auront trois ans au premier semestre.

"Si on prend le raisonnement purement comptable de l'administration, nous sommes à deux élèves au dessus du seuil pour ouvrir une nouvelle classe, explique une mère, mais on nous a fait savoir que ce n'était pas envisageable, par manque de moyens".


Les parents se sont très vite mobilisés: une pétition signée par 98% d'entre eux pour réclamer une quatrième classe, un bombardements de mails, de fax, de coups de téléphone à l'Inspection académique, avec le soutien du maire UMP... Mais c'est niet.

La suite...

30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 16:31

In VousNousIls

Un collectif baptisé "pas de bébés à la consigne!", regroupant une trentaine de syndicats et associations familiales et professionnelles a à nouveau mis en garde mercredi à Paris contre "les dangers" pesant selon lui sur l'accueil des tout petits en crèches et maternelles.

Ce collectif a notamment redit son opposition, lors d'un point de presse, aux "jardins d'éveil" pour les 2/3 ans, "avec des capacités d'accueil élargies et des niveaux de formation des personnels moins élevés" que dans les structures existantes en maternelles.


Le collectif déplore aussi la modification envisagée d'un décret sur l'accueil de la petite enfance.

Selon lui, avec cette modification, les titulaires d'un BEP ou CAP petite enfance seraient désormais considérés comme du personnel qualifié au même titre que les éducateurs de jeunes enfants ou les auxiliaires de puériculture, qui ont reçu des formations plus longues.


Ils seraient donc comptabilisés dans le taux légal de 50% de personnel qualifié minimum dans les crèches, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.

"Nous allons vers une dégradation des dispositifs existants au détriment des attentes des familles et des besoins fondamentaux des enfants", précise une déclaration commune du collectif.

"Il s'agit d'une déqualification, d'une marchandisation avec une volonté idéologique, comme pour l'aide à la personne, de réduire les coûts des services publics" selon Jean-Laurent Clochard, de la Confédération syndicale des familles, membre du collectif.


Pour les deux-trois ans, "68.000 places d'accueil ont disparu depuis neuf ans du fait des suppression massives de postes d'enseignants", a affirmé Gilles Moindrot (FSU).


"Pas de bébés à la consigne!",
créé en mars 2009, demande notamment le respect d'un taux d'encadrement d'au moins un adulte pour cinq enfants qui ne marchent pas et pour huit enfants qui marchent.

30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 13:54
In Ecole Demain



Pour alléger les effectifs, certains directeurs de maternelle du Puy de Dôme ont, en cette rentrée, été sommés d’appliquer une modification du règlement intérieur type départemental  qui leur avait échappé :

« Cette admission [en maternelle] est prononcée si les conditions d’accueil le permettent (effectifs, locaux adaptés, personnel petite enfance), au profit
des enfants âgés de 3 ans révolus au jour de la rentrée scolaire.


Toutefois, les enfants qui atteindront cet âge dans les semaines suivant la rentrée et au plus tard au 31 décembre de l’année en cause pourront être admis, toujours dans la limite des places disponibles. »


En clair :
votre enfant pourra être refusé, même s’il a trois ans révolus en septembre,
- dans le cas où les effectifs sont trop importants : l’inspection n’est plus tenue d’attribuer un poste supplémentaire ;
- dans le cas où les locaux seraient devenus insuffisants : les mairies ne sont plus tenues d’y pourvoir ;
- dans le cas où les personnels municipaux ne seraient pas assez nombreux : plus d’obligation des mairies non plus dans ce domaine ;

De plus, la formulation induit une restriction plus forte encore pour les enfants nés d’octobre à décembre 2006. On ne dit plus : « Leur admission est prononcée » (sous condition). Mais ils pourront être admis... Ce qui réduit sensiblement leurs chances.


Libre au maire de les inscrire tout de même, mais on ne pourra plus interpeller l’inspection pour obtenir une ouverture de poste d’enseignant s’ils se retrouvent à 33 par classe.


A noter que dans le règlement-type de 2004, cette réserve concernait uniquement les enfants entrant en très petite section, et ayant 2 ans l’année de leur inscription. Un
rapport du sénat s’interrogeait alors :

La scolarisation des 2 ans : une variable d’ajustement ou une aide à la gestion de la carte scolaire ?

 L’école à 2 ans en zone sensible : peut-être.

Aujourd’hui, pour les enfants de 2 ans dans les réseaux "ambition réussite", qui remplacent les anciennes ZEP, mais dont le nombre a été amplement réduit par rapport aux zones d’éducation prioritaires, le nouveau règlement spécifie :


« En ce qui concerne les réseaux ambition réussite et de réussite scolaire, les enfants ayant atteint l’âge de 2 ans peuvent être scolarisés, à la demande des familles, dans les mêmes conditions.

Or il est prouvé que ce sont les enfants des quartiers populaires qui bénéficient le plus d’une scolarisation précoce... (2)

Ailleurs, la scolarisation est envisageable dans la limite des places disponibles. »


Pour les autres, il faudra trouver une école privée complaisante, ou attendre l’ouverture d’un jardin d’enfants, payant...

Le Conseil départemental de l’éducation nationale a interpellé le préfet sur cette régression. Cette lettre est téléchargeable sur le site syndical du SNUIPP 63 

L'article intégral

25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 12:35
In C'est Classe

 


 

 

Blocage de l'école de Bouffemont, sept 09

A priori la rentrée s'est bien passée, surtout avec 13500 postes en moins... Mais pas à Bouffémont, petite commune du Val d'Oise où les parents occupent la maternelle des Hauts Champs depuis dix jours. Et sont décidés à continuer jusqu'à ce qu'ils obtiennent une cinquième classe.

 
Dès la rentrée, ça s'est mal passé. Comme dans tous les cas "tangents" - où il faudrait peut-être ouvrir ou fermer une classe, le nombre d'enfants inscrits étant proche du seuil -, l'inspecteur de circonscription est venu compter en personne les élèves. Il y a quatre classes. Le "repère" est fixé à trente par classe. Ils sont 123 aux Hauts Champs, soit trois classes à 31, une à 30.

 
Les parents sont persuadés qu'ils auront une cinquième classe. Ils ont reçu un courrier officiel, leur indiquant qu'en fonction du comptage de la rentrée, on pourrait ouvrir une nouvelle classe. Une cinquième enseignante est d'ailleurs présente lors de la pré-rentrée. La mairie a acheté du mobilier, fait des travaux pour une salle supplémentaire.

 


La suite...

21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 07:15
Communiqué FCPE

La FCPE, pour sa part, demande aux collectivités locales et à l’Etat que tous les enfants puissent être accueillis à l’Ecole maternelle, dès 2 ans, dès lors que leurs parents en font la demande.

 

Après le rapport Tabarot, le rapport Papon Martin, le lancement des jardins d’éveil par la secrétaire d’Etat à la famille, les déclarations de l’ancien ministre de l’Education nationale sur la maternelle, c’est au tour d’une députée UMP de Moselle de vouloir empêcher la scolarisation des enfants de moins de 3 ans à la maternelle.

La FCPE, pour sa part, demande aux collectivités locales et à l’Etat que tous les enfants puissent être accueillis à l’Ecole maternelle, dès 2 ans, dès lors que leurs parents en font la demande.

La proposition de loi de la députée prévoit de donner au maire toute latitude pour refuser l’inscription d’un enfant de deux ans à l’Ecole s’il « estime que les critères d’accueil ne sont pas adaptés à cet âge».

Sur quels critères pourra-t-il donc étayer sa décision ?

La FCPE rappelle d’ailleurs que la qualité de l’accueil dépend autant de la structure que de l’implication et de la qualification des adultes !
La FCPE rejette cette proposition de loi modifiant le code de l’éducation, qui, à terme, entraînerait la suppression de la scolarisation des enfants de moins de trois ans à l’école maternelle publique.

Alors que le gouvernement a fait de la lutte contre l’échec scolaire la priorité de sa politique éducative, cette proposition ressemble plus à un positionnement idéologique qu’à une amélioration des conditions de vie et des apprentissages des élèves et des jeunes enfants.

La FCPE rappelle que l’école dès deux ans est un des moyens pour atteindre cet objectif.
17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 07:43

In Café Pédagogique



Les bonnes fées rodent toujours autour de l'école maternelle. Après la vigoureuse résistance qui a endigué le danger des jardins d'éveil, elles se rappellent à elle. Ainsi la député UMP Marie-Jo Zimmermann,  membre de la commission des affaires culturelles et de l'éducation, a déposé une proposition de loi qui limite les conditions d'accueil des enfants de moins de trois ans en maternelle. " Les enfants qui ont atteint l’âge de deux ans au jour de la rentrée scolaire peuvent être admis dans les écoles et les classes maternelles dans la limite des places disponibles et si le maire estime que les conditions d’un accueil de qualité adapté à cet âge sont effectivement remplies". C'est pour le bien des enfants qu'on veut leur éviter l'école…

La proposition de loi

3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 21:41

In 19/20 France3 3/09/2009

3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 17:54

In La Dépèche.fr

Le premier "jardin d'éveil", nouveau type de structure d'accueil entre la crèche et l'école maternelle pour les enfants de 2 à 3 ans, a ouvert jeudi à Caussade (Tarn-et-Garonne) en présence de la secrétaire d'Etat chargée de la famille, Nadine Morano.

"Le jardin des Pitchouns", qui compte 24 places, est le premier de ces établissements, qui devront offrir 8.000 places de garde pour les enfants de 2 à 3 ans à l'horizon 2012, pour un financement global de 25 millions d'euros.

"Nous avons besoin pour accompagner les tout petits d'un encadrement beaucoup plus resserré qu'à 3 ans", a souligné Mme Morano, en se félicitant de ces petites structures d'accueil, avec au moins 3 adultes responsables pour 12 à 24 enfants.

Le maire de Caussade, François Bonhomme, s'est réjoui de l'ouverture du "jardin" qui "offre aux parents un moyen supplémentaire dans l'éventail des centres d'accueil, avec un projet pédagogique étoffé, et qui permet de répondre aux besoins de tous", a-t-il dit.

Le jardin, qui sera ouvert 200 jours par an de 08H00 à 18H00, coûtera de 45 à 425 euros par mois (repas compris) pour un enfant hébergé à plein temps, a indiqué de son côté la directrice, Fabienne Bernès.

Une mère de famille, Blandine Lartigue, a précisé de son côté qu'elle y avait inscrit son fils Matthieu: elle rétribuait l'an dernier une assistante maternelle 550 euros par mois, et allait payer seulement 144 euros pour le faire garder au "Jardin des pitchouns".

La secrétaire d'Etat, qui avait auparavant visité un autre jardin d'éveil encore en chantier à Négrepelisse (Tarn-et-Garonne), a par ailleurs souligné que ces jardins "permettaient à chacun (...) de faire son choix en matière de mode de garde".

Qui êtes vous ?
Vous êtes :
Un enseignant du premier degré
Un enseignant du second degré
Un étudiant
Un lycéen
Un parent d"élève
Un simple citoyen
Un chercheur
Un enseignant à l'université
Un fonctionnaire de l'EN (non enseignant) : encadrement, Biatos...
Un élu

Résultats

Visiteurs


 

Actuellement   
visiteur(s) sur le blog