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1 décembre 2008 1 01 /12 /décembre /2008 06:32

Formateurs IUFM et enseignants se mobilisent pour soutenir leur collègue convoqué par l'Inspecteur d'Académie suite au courrier de désobeissance qu'il lui avait envoyé.
Jean-Marc Hostachy maître formateur et professeur des écoles Stéphanois, a été convoqué vendredi soir à l'inspection d'académie, parce qu'«en conscience», il «refuse d'obéir» aux réformes imposées par le gouvernement.

La lettre de Jean Marc

 

Pour lire l'article suite au rassemblement de soutien:

30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 18:37

Le mercredi 3 décembre sera voté le volet éducation de la loi de finances 2009 au Sénat, présenté par notre ministre.

Venez vous faire entendre par les Sénateurs !

De 9h00 à 13h00 rassemblement devant le Sénat

(à l’angle des rues Vaugirard et Tournon)

 « La lutte contre l’échec scolaire doit être le premier objectif de l’école primaire, c’est pourquoi il faut repenser les moyens d’y parvenir. » Luc Chatel, porte-parole du gouvernement

 

Lutter contre l’échec scolaire ?

Avec :

-       3 semaines en moins d’école par an pour tous les élèves, 

-       un rythme scolaire plus soutenu pour tous les élèves avec des programmes encore plus chargés,

-       un allongement de la journée des enfants dits les « plus en difficulté » (aide personnalisée ou soutien),

-       un allongement du temps scolaire sur une année pour ces mêmes élèves (stages de remise à niveau),

-       des programmes « mécanistes »,

-       des enseignants de moins en moins formés,

-       la suppression annoncée de la scolarisation des moins de trois ans en maternelle

-       3000 suppressions d’enseignants spécialisés de RASED,

-       3000 suppressions de postes d’enseignants pour 29 000 élèves supplémentaires

Mission impossible !

 

Faire réussir tous les élèves c'est conduire :

 

ü    une véritable politique de prévention avec :

-       une scolarisation à l’école maternelle pour tous les élèves dans des conditions acceptables

-       un nombre suffisant d’enseignants spécialisés qui puissent intervenir dès la moyenne section

ü    une véritable politique d’aide dans les classes au quotidien avec :

-       des classes moins chargées pour permettre à chaque enseignant de sa classe d’aider au plus près ses élèves

-       des enseignants supplémentaires pour permettre à chaque enseignant d’avoir des moments privilégiés avec tous ses élèves

ü    une véritable politique d’aide aux enfants les plus en difficulté avec :

-       des Auxiliaires de Vie Scolaire mieux formés et mieux payés pour aider les élèves à besoin spécifique en partenariat avec les enseignants

-       des enseignants spécialisés (maîtres de RASED) formés, en nombre suffisant pour aider les enfants selon leurs besoins spécifiques

-       du temps pour que les équipes (enseignants des classes, maîtres des RASED, psychologue scolaire) puissent se rencontrer, échanger et mettre en place les dispositifs les mieux adaptés à chaque élève

-       du temps pour que les enseignants puissent rencontrer les parents et tous les autres partenaires de l’école

Ensemble, parents, enseignants, exigeons un budget à la hauteur des ambitions pour nos enfants et nos élèves !

Ensemble, parents, enseignants, exprimons nos exigences pour une École Publique ambitieuse de la réussite pour tous

Nous appelons tous les participants à préparer une adresse personnelle à notre ministre. Nous pourrons en faire lecture  et  les collectionner dans un livre d'or que nous ferons parvenir à notre Ministre.

  SNUIPP 92 -  AREN 92 - AME 92

Les SNUipp 75, 77, 78, 91, 93 et 95 appellent également à participer à ce rassemblement.

 

29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 10:32

 

Cazals Bastien Montpellier, le 25 novembre 2008,

Montpellier

 

 

à Monsieur le Président de la République

Palais de l'Elysée

55, rue du faubourg Saint-Honoré

75008 Paris

 

Monsieur le Président de la République,

Si je prends la liberté de vous écrire cette lettre, c'est qu'aujourd'hui, en tant qu'enseignant et directeur d'école comme en tant que citoyen, je suis en colère, proche de la révolte. Je ne peux plus me taire. Je me dois de réagir.

 

Permettez-moi, tout d'abord, d'insister sur l'expression de mon profond attachement et de mon immense respect pour cette République française dans laquelle j'ai eu la chance de venir au monde. Je suis attaché à ce pays car je considère qu'à certaines périodes de sa longue histoire, il s'y est dit, écrit et fait de si belles choses. Outre l'immense patrimoine culturel qu'elle a constitué, la France – tout particulièrement de sa révolution de 1789 au programme du Conseil National de la Résistance, en passant par la République et sa loi de 1905 sur la laïcité – a su porter si haut et avancer si loin les valeurs universelles consacrées dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen qu'elle a fini par faire le choix ambitieux d'une république laïque et démocratique où tous les citoyens vivent ensemble, en bénéficiant de la liberté, de l'égalité et de la solidarité ! Tellement admirable que j'ai choisi de servir cette République, ma République. J'en serais presque fier... sauf que je ne suis pour rien dans tout cela, j'en hérite. Et un tel héritage se partage ou se défend !

C'est ainsi que j'arrive à l'objet de ma lettre. En ce début de XXI ème siècle, que reste-t-il de l'état républicain à la fois puissant et protecteur, comme de ses grandes missions d'intérêt public ? Plus grand chose : les idéologies en vogue étouffent la flamme républicaine tandis que les réformes en cours dépècent les derniers lambeaux des services publics. D'autres pourraient citer la justice, la santé ou la solidarité, je vous parlerai de ce que je connais, de ce que j'ai choisi : l'école primaire publique....

 

 

La lettre...

 

Le site

28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 18:50
Suite à la réunion du jeudi 27/11/08 sur Jouy le moutier décidée lors de la dernière journée de grève (jeudi 20/11/08 en AG de grévistes), il a été décidé de proposer une lettre aux enseignants souhaitant suivre le mouvement d'actions déjà engagé dans plusieurs départements.
A l'appel du SNUipp 95 et de la FCPE 95 la suspension de l'aide personnalisée a été discutée dans la majorité des écoles de l'Hautil, 4 groupes scolaires entiers sont déjà près à suspendre à l'unanimité, la plupart des autres groupes sont majoritairement en accord avec ce mouvement et attendaient de savoir la position des autres collègues.
28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 18:14

In Lexpress

 

Jeudi, le Salon européen de l'éducation s'est ouvert dans un charivari de crécelles et de slogans anti-Darcos. Les manifestants ont protesté contre les mesures de Xavier Darcos.

Ce jeudi, l'entrée du Salon de l'éducation avait cette agitation semblable à une cour d'école. A grands renforts de cymbales, de tambourins et de slogans, les manifestants avaient décidé de transformer l'ouverture du Salon de l'éducation, qui se tient de jeudi à dimanche, en une tribune "anti Darcos".

Dès 09h00, la foule de manifestants, composée essentiellement d'enseignants et de parents d'élèves s'était rassemblé à la porte de Versailles se mêlant aux premiers visiteurs en distribuant des tracts.

 

 

Enseignants et parents d'élèves manifestent devant le salon de l'éducation le 27 novembre 2008.

 

 

"Darcos démission !"

 

Vers 9h45, la protestation s'est amplifiée et quelques manifestants, les bouches bandées ont tenté de bloquer l'entrée du Salon. Mesure plus symbolique qu'efficace, qui fut aussitôt empêchée par une escorte de CRS.

 

Aux cris de "Non au service minimum", "non à la casse de l'école publique" répondaient les pancartes brandies par les syndicalistes du SNUipp-FSU (principal syndicat du primaire), de Sud-éducation, et de la FCPR venue les soutenir. Tous entendaient protester contre les mesures éducatives du gouvernement à savoir le service minimum, la réforme du lycée, la réforme des maternelles, et "la suppression" des Rased.

 

La cible des manifestants, Xavier Darcos, figurait aux abonnés absents. Le ministre de l'Education nationale, initialement attendu ce jeudi pour l'inauguration, avait annoncé mercredi qu'il devait se rendre à Bruxelles pour un entretien avec le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso.Une manière d'éviter d'être pris pour cible ? Toujours est-il que sa présence est prévue au Salon vendredi.

 

 

La suite...

28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 07:38

 

 

Cette Cette semaine,à Athis-Mons, entre 250 et 300 parents d'élèves représentants "le collectif des parents inquiets pour l'avenir de leurs enfants" ont mené une action de protestation aux réformes  "Darcos",en occupant toutes les écoles primaires de la ville d'Athis-Mons (91).

Cette action faisait partie de celles qui ont décidées à l'issue d'une réunion publique de Parents d'élèves qui s'est tenue à la salle Michelet d'Athis-Mons, le Jeudi 20 novembre.

Des parents du collectif se sont également rendus, Mardi soir, pour soutenir les enseignants,devant l'inspection académique, à Evry (91), avant la tenue de la Réunion du Comité départemental de l'Education Nationale.Une délégation constitué d'enseignants et de parents (dont un parent de notre collectif) a été reçu pendant plus d'1 hpar le directeur adjoint de l'Inspecteur Académique, et nos inquiétudes ont été évoquées avec lui,sans pour autant avoir obtenues de réponses précises à nos questionnements.

D'AUTRES ACTIONS SONT PREVUES pour informer et alerter les parents d'élèves

- tractage aux abords des écoles, des gares, sur les marchés et le Centre commercial

-un cahier "les réussites du Rased avec nos enfants" : avec le recueil de témoignages de parents qui ont eu l'expérience des RASED, de ceux qui pourraient en avoir besoin et AUSSI enfin de ceux qui sont attachés à ce droit d'une "chance et égalités pour tous" , ceux qui disent non à la l'idée de laisser des enfants sur le carreaux ou bien à les regrouper dans des classes d'adaptation....

ET PARMI LES PROCHAINS RASSEMBLEMENTS, NOUS SERONS PRESENTS : - le mercredi 3 décembre,de 9H à 13H, devant le Senat où sera discuté le budget de l'éducation nationale, et notamment les propositions de suppression de postes d'enseignants spécialisés du RASED.

 

 

27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 12:45

"Suspension des “aides personnalisées”
Vous trouverez ci-dessous et en pièce-jointe l’appel intersyndical à la suspension des “aides personnalisées”, à l’appel des syndicats parisiens SNUipp-FSU, Sud Education, CGT Educ’action et CNT-Ste

Merci de le communiquer à l’équipe enseignante.

Merci également de nous communiquer votre décision et/ou la position de votre école concernant la suspension des “aides personnalisées”.


Toutes ces informations seront mutualisées entre les syndicats signataires. Les données reçues seront anonymées ; seul le nombre de collègues et d’écoles sera publié.

 

Le ministre supprime les Rased ...

 ... Nous suspendons l'aide personnalisée

 
A l'heure où le ministre de l'Education affiche une priorité de lutte contre l'échec scolaire, l'annonce de la suppression de 3000 postes E et G permettant la prise en charge de 150.000 élèves dans le cadre d'aides spécialisées apparaît comme une incohérence majeure et une véritable provocation. C'est la disparition du dispositif tout entier qui est en jeu d'ici trois ans. A Paris, cela se traduira dès la rentrée 2009 par la disparition d’une centaine de postes au sein des Rased. Cette saignée dans les Rased fait partie de la contre réforme plus globale orchestrée par Darcos. De la réforme de l'université à travers la LRU à la mise en péril de l'école maternelle en passant par l'appauvrissement de la formation au lycée, c'est toujours la même logique : détruire le service public d'éducation de qualité en supprimant des postes et en prônant des dispositifs néfastes pour les élèves. 
  
Dans le premier degré, le ministre instrumentalise la mise en place de l'aide personnalisée pour justifier ces suppressions de moyens. Or, la prise en charge ponctuelle d’un élève par son enseignant en petit groupe n’a rien à voir avec la prise en charge des élèves en grande difficulté par les enseignants spécialisés et formés du RASED. Le travail mené au sein des écoles avec les réseaux d’aide permet les regards croisés sur les élèves, suscite liens et échanges entre les membres des équipes, les enfants, les familles et amène les équipes pédagogiques à pouvoir prévenir la plupart des difficultés et à y remédier par la prise en compte de leurs dimensions psychologiques, culturelles et sociales. En effet, il n’existe pas une difficulté scolaire, mais des difficultés scolaires qui nécessitent des dispositifs multiples et adaptés, les réseaux d’aide en faisant nécessairement partie.
 
Face aux suppressions des postes des Rased et forts du soutien des parents (plus d’une centaine de conseils d’école se sont prononcés contre l’aide personnalisée), les syndicats parisiens SNUipp-FSU, Sud Education, CGT Educ’action et CNT-Ste appellent les collègues à généraliser dès maintenant la suspension de l’aide personnalisée.


Ils proposent que les collègues fassent remonter à l’intersyndicale les décisions de conseils des maîtres, de conseils de cycle, les décisions individuelles de s'inscrire dans cette suspension. L’information de l'ensemble des collègues de l'état de la mobilisation sera régulière. Notre volonté est de poser un acte fort et collectif qui montre la détermination dans le refus des réformes ministérielles destructrices du service public d’éducation.
L’intersyndicale incite à multiplier les rencontres avec les parents pour leur expliquer le but de cette démarche et obtenir leur soutien. Dans cette période d'attaques contre l’école publique, il est indispensable de débattre avec les parents et de mener le plus largement possible les actions en commun.

 Durant le temps de l'aide personnalisée, l’intersyndicale propose de travailler avec tous les élèves par petits groupes et/ou d'utiliser ce temps dans le cadre de l'aide aux enfants en difficulté pour rencontrer les parents, faire les synthèses avec le RASED, réunir les équipes éducatives, bénéficier de formation, organiser la concertation et la réflexion dans les équipes pédagogiques pour mettre en oeuvre les stratégies et les outils nécessaires à l’aide aux élèves en difficulté…
Quelle que soit la modalité retenue par les écoles, l’essentiel est de rendre publique la suspension de l’aide personnalisée. 

 


NB :
Cet appel a été proposé à tous les syndicats parisiens.

27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 06:29


L'école est en danger.


Pour manifester notre inquiétude et notre désaccord avec de nombreuses réformes en cours, nous avons décidé de nous rendre tous les jours à l'école vêtus d'un gilet jaune.
Nous invitons tous les parents de Venerque à en faire autant et à diffuser l'information le plus largement possible afin d'étendre le mouvement.

Occupation de l'école jeudi 27 novembre

Pour soutenir les enseignants du primaire, les parents d'élèves de Venerque, ont décidé une occupation symbolique de l'école primaire jeudi 27 novembre de 9 h à 10 h.


N'hésitez pas à venir nous rejoindre avec un gilet jaune..

25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 12:59

La section parisienne du SNUipp-FSU, principal syndicat en primaire, a appelé lundi les enseignants des écoles parisiennes à "faire grève" jeudi afin "d'organiser un comité d'accueil à Xavier Darcos" qui doit inaugurer ce jour-là le Salon de l'Education porte de Versailles.

"Après le succès de la journée de grève du 20 novembre, tant à Paris que nationalement, le SNUipp Paris propose de poursuivre cette mobilisation", écrit le syndicat dans un communiqué.

"Il appelle les enseignants des écoles parisiennes à faire grève pour organiser un comité d'accueil digne de ce nom à Xavier Darcos qui vient inaugurer le Salon de l'éducation comme si de rien n'était, après avoir répondu par le mépris à la journée du 20", ajoute le communiqué.

"Les enseignants seront présents lors de cette inauguration pour rappeler au ministre leur refus des suppressions de postes, de la disparition programmée des Rased" (enseignants spécialisés dans la grande difficulté scolaire) ou encore "des menaces qui pèsent sur la maternelle, du SMA" (service minimum d'accueil).

La journée de mobilisation jeudi contre les suppressions de postes et les mesures éducatives du gouvernement a été "réussie" selon les syndicats, avec une grève massivement suivie dans le primaire et des manifestations dans toute la France.

Les syndicats du primaire demandent l'ouverture de véritables négociations au ministre Xavier Darcos.

 

(source AFP)

 

Appel à la grève également à Toulon vendredi pour accueillir également en fanfare Xavier Darcos qui viendra parader comme si de rien n'était...

24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 19:04

Un collectif réunissant notamment les principaux syndicats de l'Education, des lycéens, des parents d'élèves a appelé lundi à une journée de manifestations partout en France le mercredi 10 décembre, sans appel à la grève, contre les mesures éducatives du gouvernement, ont annoncé des syndicats.

 

"Le collectif est d'accord sur le principe d'un appel à des rassemblements et des manifestations dans les principales villes de France le mercredi 10 décembre", a déclaré à l'AFP Luc Bérille, secrétaire général du SE-Unsa.

Le choix d'un mercredi est "destiné à rassembler des enseignants mais aussi les lycéens, parents d'élèves, étudiants, militants associatifs, citoyens", a-t-il ajouté, en précisant que les actions auraient souvent lieu l'après-midi (professeurs du secondaire, les collégiens et lycéens pouvant ayant cours le mercredi matin).

"Il n'y a pas d'appel à la grève ce jour-là", a ajouté Gérard Aschieri, secrétaire général de la FSU.

"L'idée est de dire: +l'éducation est notre avenir. Le gouvernement ne veut pas l'entendre. Le 10 décembre, faisons masse pour dire et redire que l'Education est notre avenir et qu'elle ne se fera pas sans moyens, pas sans dialogue, pas sans associations, etc.", a expliqué M. Bérille.

"Nous voulons une autre politique de l'Education", a souligné M. Aschieri.

 

Le collectif, qui réunit les principaux syndicats de l'Education -FSU, l'Unsa-Education, le Sgen-CFDT- les lycéens de l'UNL, les étudiants de l'Unef, les parents d'élèves de la FCPE notamment, s'était retrouvé lundi pour décider des suites de la grève de jeudi dernier et de la manifestation du 19 octobre, deux mobilisations réussies aux yeux des syndicats.

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