Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

 

 

 

 

 

 

 

 

 



Envoyez vos mails à

 

sauvons.lecole@laposte.net

  

Recherche

Pour voir tous les articles...

Vous ne voyez sur cette page
qu'un article.

Pour voir TOUS les articles
c'est
ici !

ou revenir à la page d'accueil

21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 13:13

In LaDepeche.fr

Ils occupent ce soir plusieurs groupes scolaires du département. Pour cette nouvelle « nuit de l'école », ils s'y invitent à dîner.


Que va devenir l'école de nos enfants ? La réforme proposée par Xavier Darcos ne passe pas auprès de nombreux parents. Les manifestations de samedi en ville ont montré la mobilisation des familles aux côtés des lycéens et des enseignants. Ce soir, des parents, solidaires des enseignants, investissent certaines écoles maternelles et primaires du département pour manifester leur inquiétude face au projet gouvernemental. Les revendications restent les mêmes : non à la suppression des postes de Rased, à la diminution des postes d'enseignants, aux réformes de l'âge d'entrée en maternelle…


Pour cette nouvelle « nuit des écoles » (plusieurs ont eu lieu depuis 2008) pilotée par la FCPE31, les parents ne prévoient pas de camper sur place mais seulement de dîner dans les locaux. Une forme de veillée qui sera pour les uns l'occasion de s'informer et pour les autres, un moyen de mobiliser les troupes en vue d'autres manifestations comme la grande journée d'action interprofessionnelle du 29 janvier. L'inspecteur d'académie adjoint, qui affirmait hier soir ne pas être informé de ce mouvement, désapprouve vivement cette occupation « illégale », à laquelle l'autre syndicat de parents d'élèves, la PEEP, n'adhère pas.


Des tracts circulent depuis jeudi dans certains établissements pour appeler les parents à cette soirée de débats. « Apportez vos sandwichs » dit la FCPE de l'école maternelle Sajus de Ramonville qui invite les parents à se regrouper à partir de 18 h 30. « La réunion comportera deux parties entrecoupées d'un pique-nique dans l'école ».


Le quartier de Lardenne est particulièrement mobilisé. Les sept groupes scolaires seront occupés par des parents à partir de 19 heures. Dans le quartier Saint-Cyprien, les parents et les équipes enseignantes de cinq écoles primaires et maternelles ont préféré se retrouver tous à l'école Étienne-Billières à partir de 19 heures. C'est la première fois cette école est occupée et ici « tous les citoyens qui voudront manifester leur soutien » sont invités à se joindre à cette veillée. Les parents de l'école élémentaire Jules-Julien doivent apporter « tarte salée, sucrée, quiche, pizza, boisson et autres pour un repas en commun ». Ceux de Gargas partageront la galette. Quant à l'école Reille-Monge, elle propose de mettre en commun « spécialités culinaires et idées sur l'école ».


Un parent des Pradettes : « On apporte son repas et on parle »

Une banderole fixée sur le portail du groupe scolaire Ferdinand-de-Lesseps annonce la « nuit des écoles ». Cet établissement du quartier des Pradettes accueille environ 300 enfants sur les deux écoles maternelle et primaire. Les parents, syndiqués ou pas, ont déjà eu l'occasion de monter au créneau pour s'opposer à l'expulsion de familles de sans-papiers. Père d'un enfant de maternelle, Luc Camilli, de la FCPE, est devenu un de leurs porte-parole. « Nous communiquons depuis la semaine dernière auprès des parents pour les inviter à occuper l'école le temps d'un dîner pris en commun dans le réfectoire. Chacun apporte son repas, et on peut ainsi se donner du temps pour parler, réfléchir ensemble. Ce n'est pas une action politique, c'est un mouvement qui vient de la base et de l'expérience dans les écoles ».


La suppression des Rased (Réseaux d'aides spécialisés pour les enfants en difficulté) inquiète tout particulièrement les parents de cette école, exemple de mixité sociale. Plusieurs enfants qui arrivent de pays étrangers y sont scolarisés actuellement. Les parents sont très attachés au système de soutien pour les enfants en échec scolaire que Xavier Darcos souhaite réformer. « Le soutien scolaire prévu par la réforme consiste en deux heures de cours de rattrapage collectif encadré par les enseignants. Alors qu'avec les Rased l'enfant bénéficie d'une demi-journée de travail avec des enseignants spécialisés. Il ne s'agit pas seulement de rattraper un retard mais de travailler en profondeur sur l'intégration à l'école » analyse ce parent.


Autre point d'achoppement avec la réforme gouvernementale : l'âge d'entrée en maternelle. « Les enfants de 2-3 ans pourront être accueillis au cas par cas, mais ils ne seront pas comptabilisés dans l'effectif. Les écoles ne pourront plus se permettre de les intégrer au risque de surcharger leurs classes. Les familles devront avoir recours aux crèches, ce qui va poser des problèmes notamment dans les quartiers difficiles ».

La réforme concernant la formation des maîtres, avec la suppression des IUFM dès la rentrée prochaine n'est pas bien comprise par les parents. « On est dans un flou total » conclut Luc Camilli.


La mairie autorise l'accès

Soutien aux parents. La mairie de Toulouse, propriétaire des bâtiments des écoles maternelles et primaires de Toulouse a décidé de ne pas s'opposer à l'occupation des locaux par les parents d'élèves. « Nous les autorisons à entrer dans les écoles. Nous avons affaire à des gens responsables. Il n'y a pas de raison d'avoir des soucis par rapport à cette manifestation pacifique. Ce n'est pas la première fois que des parents se mobilisent à l'intérieur des écoles et cela s'est bien passé » répond la mairie.



« Illégal » pour l'inspection académique

« Atteinte à la neutralité ». « C'est une action illégale et c'est une atteinte à la neutralité du service public d'autant plus choquante qu'elle a lieu dans des écoles », dit Eric Tournier, inspecteur d'académie adjoint de la Haute-Garonne. « Nous reconnaissons tout à fait le droit de s'exprimer aux parents, mais ailleurs que dans les établissements scolaires qui sont des lieux où l'on n'exprime pas ses positions politiques ou religieuses. Les parents d'élèves peuvent s'exprimer par des moyens que la loi leur reconnaît. Cette action va à l'encontre de l'intérêt général ».


La PEEP ne s'associe pas

« Trop de manifs ». « Nous restons vigilants sur le devenir de l'école mais on ne s'oppose pas sans arrêt », déclare Marie-line Brugidou, vice-présidente de la PEEP. Le syndicat de parents d'élèves de l'éducation publique ne s'associe pas à l'action de ce mardi. « Nous avons toute l'année des discussions avec les enseignants, l'encadrement, le ministère. Occuper l'école n'est pas notre mode d'action. Trop de manifestations nuit au débat ».


21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 12:43
In Le Parisien

3ème journée d'occupation du lycée Breteuil par les profs...

Cliquer sur l'article pour le lire



La vidéo de TVFil78


21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 11:42

In La Depeche.fr

Social. Environ 3 000 personnes ont une nouvelle fois manifesté, hier, d'Arnaud-Bernard à Esquirol, pour défendre l'enseignement public.


Deux mille selon la police, plus de trois mille d'après les organisateurs, les manifestants pour la sauvegarde de l'enseignement public étaient moins nombreux, hier, dans les rues de Toulouse que lors du précédent rassemblement de décembre dernier. Toutefois leurs revendications sont intactes et leur détermination identique. Enseignants, lycéens, étudiants et parents d'élèves s'élèvent toujours contre les réformes qui visent notamment d'importantes restrictions de postes. Ils étaient rejoints, hier matin dans le cortège, par des élus, des membres associatifs et de partis politiques de gauche, venus soutenir « leur » école de la République.


« Qui sème la galère, récolte la colère, dans les lycées, dans les écoles, dans les facs » scandaient les manifestants au départ de la place Arnaud-Bernard, entre deux chansons des Fabulous Trobadors. « Nous sommes toujours très mobilisés après le rassemblement du 13 décembre qui avait réuni près de 5 000 personnes », indique Christian Belinguier, secrétaire départemental du syndical enseignant SNUipp-Fsu. « Au sein du collectif ''Sauvons l'école'' nous agissons ensemble avec des syndicats enseignants, des parents d'élèves, des étudiants, des lycéens, des associations complémentaires de l'école et des mouvements pédagogiques. Le but est de faire converger enseignants, élèves et parents sur la défense de l'école menacée. Les effectifs montent dans notre Académie et les postes diminuent. Se pose aussi le problème de la formation ».


Mardi, dans plus de 70 écoles du département, une opération « Nuit à l'école » est organisée pour informer sur les dangers des orientations ministérielles. Des veillées qui se poursuivront au début du mois de février dans les collèges et les lycées. La nuit sera longue pour permettre à l'école d'obtenir les moyens d'assurer l'égalité des chances pour tous.


Les parents d'élèves du Lauragais se mobilisent

Le mouvement de protestation contre les réformes du ministère de l'Education Nationale a été relayé hier après-midi par les parents d'élèves des écoles maternelles et primaires du Lauragais. Avec un point de ralliement stratégique choisi au centre du chef-lieu de canton, Villefranche-de- Lauragais, la place des Pasteliers mêlait son architecture en brique foraine au jaune fluo des gilets rétro réfléchissant de sécurité, couleur symbolique de ce mouvement de protestation pour la sauvegarde de l'école de la République.

pour la première fois

Après une vague soutenue d'actions menées essentiellement par les enseignants de la circonscription lauragaise, les parents d'élèves battaient à leur tour le pavé, en proposant pour cette première action collective un point d'informations et la signature d'une pétition destinée à au ministre Darcos ainsi qu'à l'inspecteur d'académie de Toulouse. Ce rassemblement qui fédérait des parents de tout le Lauragais avec la FCPE de Villefranche et Avignonet, l'association « les gamins d'abord » de Nailloux et les regroupements pédagogiques intercommunaux de Trébons, Lux, Vallègue, Rieumajou, a mobilisé pour ce coup d'essai une vingtaine de parents.


Sous les banderoles « Sauvons l'école » et les tracts « école en danger », les inquiétudes étaient marquées et figuraient en exergue : la menace de disparition des Réseaux d'aide spécialisés aux élèves en difficulté (Rased), la remise en cause pour raisons budgétaires de l'école maternelle ou encore la « réorganisation bâclée du temps scolaire au détriment de l'intérêt des enfants ».

21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 11:24



A Chirac, petit village de 1000 habitants, en Lozère, tous les parents d'élèves ont signé une pétition dans laquelle ils refusent l'aide personnalisée pour leurs enfants tant qu'un amalgame est fait entre cette aide et celle procurée par les réseaux, ainsi que tant que les postes RASEDs seront menacés.

Ci-joint la copie du tract que nous avons distribué et à la suite duquel nous avons signé une pétition envoyée à l'IEN de notre circonscription, ainsi qu'à M.Darcos au Ministère.


Tract Rased

21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 11:13



Parents et enseignants de Seine-Maritime,

nous organisons une

NUIT DES ECOLES
VENDREDI 23 JANVIER
à partir de 19h

 

 

De la maternelle au primaire venez nous rejoindre

A l’école élémentaire Michelet

(Michelet.fcpe@laposte.net)

 

 La nuit des écoles : c’est une soirée conviviale et citoyenne entre enseignants et parents ; une soirée pour informer, expliquer, débattre des réformes DARCOS et de ses dangers autour de plats que chacun aura confectionnés. N'oubliez pas vos gilets jaunes symboliques et vos duvets.

 
Une soirée pour montrer que nous restons mobilisés, tous ensemble, pour gagner la bataille des idées, pour une autre politique, une autre ambition pour l’éducation, un budget à la hauteur des besoins des élèves, des familles, de la société.

21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 07:05
A l'initiative de l'AG départementale des collectifs du Rhône réunie le 8 janvier 2009,

une AG nationale des collectifs de parents et enseignants se tiendra

l
samedi 24 janvier 2009 de 10h à 17h
à l'amphi Capelle à l'INSA sur le campus de la Doua.

Il faudrait que le maximum de départements soient représentés...


21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 06:37



A la suite de Jean Marc Hostachy l'un des premiers enseignants à avoir écrit une lettre de désobéissance avec Alain Réfalo 30 ligériens lui ont emboîté le pas.

Dans une démarche parallèle, 10 directeurs d'école s'engage ans le collectif national de résistance base élèves.
Les uns et les autres se rencontrent, de là né le blog résistance pédagogique Loire qui se donne pour vocation de fédérer toutes les actions de résistance du département.

La première réunion du collectif est programmée, 


                             Mercredi 28 janvier à 17h 
                  à la Bourse du Travail de ST ETIENNE


                                      Resistance pédagogique Loire

21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 06:30

Les parents FCPE de l'école du Parc à La Verrière (78) ont réussi à perturber notablement les évaluations qui auraient dû commencer hier dans l'unique classe de CM2 de l'école. Pour cela, les parents avaient décidé de manifester leur opposition à la tenue de ces évaluations, en occupant la classe, plus exactement en restant assis au fond de la classe, pour veiller symboliquement à ce que l'évaluation n'ait pas lieu...

Cette opération "éclair"  a déclenché illico l'intervention sur place de l'inspectrice d'Education Nationale de circonscription (La Verrière-Le Mesnil) venue en urgence le lundi après-midi, et qui a sermonné sévèrement les parents FCPE. Ceux-ci ont cependant réussi à faire entendre leurs revendications, et à obtenir, non plus l'annulation ou le report des évaluations de CM2, mais le droit des parents à refuser que leur enfant soit soumis à l'évaluation, à condition que ce soit une demande collective. Ils ont donc organisé en urgence le soir-même une réunion des familles de CM2 pour expliquer les enjeux, et proposer un texte à la signature à présenter le lendemain matin, avant le début des épreuves reportées au mardi. (voir ci-dessous)


Les parents FCPE, sous la houlette de Stéphanie HOCDÉ, présidente du conseil local de La Verrière, avaient d'abord imaginé demander individuellement leur refus de participer à l'évaluation par une simple lettre lundi matin. Mais une telle lettre n'a que peu de valeur aux yeux de l'Education Nationale, car une fois franchie la porte de l'école, et une fois en classe, l'enfant doit se conformer aux consignes de l'enseignant, et au règlement intérieur de l'école.
Du coup, l'action a été modifiée pour faire prendre en compte la revendication des parents contre la tenue de ces évaluations; il a été décidé d'assister au cours, en restant au fond de la classe.. Pour veiller à ce que l'enseignante enseigne! Sans faire d'évaluation...

Résultat remarquable: 21 parents sur 28 familles ont formulé et signé leur refus d'évaluation ce matin..  2 familles seulement avaient opté pour le maintien de l'évaluation. Au final donc, l'Ecole du Parc n'aura que très peu d'évaluations validées, ce qui ne permettra pas d'en faire une statistique. Et pendant toute cette journée de mardi, la classe a été dédoublé: un très petit groupe de "volontaires" bûchait sur les évaluations, pendant que tout le reste de la classe avait un cours normal avec une autre enseignante. Bravo les parents de La Verrière pour cet élégant tour de force!

Il faut savoir que l'école du Parc à La Verrière est en REP (Réseau d'Education Prioritaire), et les familles sont très inquiètes de l'usage qui peut être fait de ces évaluations. Elles redoutent un classement public, qui mettrait leur école à l'index, et stigmatiserait leur ville. Les parents ont donc décidé de perturber ces épreuves pour les rendre inexploitables à des fins statistiques ou autres que statistiques. Le dialogue avec l'IEN a sans doute été important pour exprimer ces inquiétudes. Les parents avaient conscience que les enfants n'étaient pas préparés à l'ensemble des items, le programme n'étant pas couvert, malgré ce qu'a affirmé péremptoirement le Ministre. En particulier, ils n'avaient pas encore approché les nombres décimaux, or de nombreux items dans l'évaluation nécessitaient la maîtrise des décimaux. Selon Stéphanie Hocdé, une quinzaine d'items sur les 40 de l'examen n'étaient pas accessibles aux enfants de cette classe, et les auraient placés en situation d'échec.. Et enfin, il y a eu communication dans les journaux télévisés pendant le week-end, qui avaient révélé les "fuites" des sujets.. du coup, l'évaluation aussi était faussée, entre familles qui avaient internet, et celles qui ne l'avaient pas... pour préparer les évaluations!

Encore bravo aux parents FCPE de La Verrière pour cette opération de protestation, et de sensibilisation réussie.

F. ANDRE
Ci-dessous la lettre-pétition écrite par les parents FCPE de La Verrière:

"Parents et élus FCPE de la classe de CM2 de l'école du Parc, nous demandons le report des évaluations de CM2 qui doivent avoir lieu cette semaine. Nous avons pris l'initiative d'empêcher le déroulement de ces évaluations.

Mais nous ne dérangeons ni la maîtresse, ni les élèves dans leur journée de classe. Notre action ne pénalise en aucun cas la scolarité future des enfants.

 

Pourquoi nous faisons cela ?

 

Nous nous interrogeons sur la pertinence de ces évaluations sous leur forme actuelle car :

  • Les enfants sont évalués dès janvier sur la totalité du programme de l'année de CM2
  • La rédaction des questions n'est pas adaptée et beaucoup d'élèves ne pourront pas les comprendre.
  • Le système de notation (juste ou faux) ne permet pas une bonne estimation du niveau de l'élève.
  • Les résultats pourraient alimenter la « base élèves », et il pourrait en découler un fichage des élèves et une sélection pour l'entrée au collège.
  • De plus, les évaluations se trouvent très facilement sur le net et de nombreux parents auront « préparés » les enfants en les faisant travailler chez eux.


Le but d'une évaluation est de permettre à l'instituteur d'évaluer sa classe et non une manière de sélectionner les élèves avant leur entrée en 6éme et de mettre les écoles en concurrence entre elles....

Elle ne doit pas sanctionner et mettre les enfants en situation d'échec.



Nous vous proposons de

nous réunir ce soir à 19h à l'école dans la classe de CM2.

Nous discuterons ensemble de la suite du mouvement et des différentes options possibles.


Après avoir vu l'Inspectrice de l'Education Nationale cette après midi, pour être dans la loi, il faut que tous les parents signent cette autorisation."



 


20 janvier 2009 2 20 /01 /janvier /2009 22:10
Deuxième nuit d'occupation pour les profs du lycée Breteuil.

"Nous étions entre 20 et 30 personnes jusqu'à 20H environ. Nous avons organisé un repas sur le pouce dans une ambiance "bonne enfant". Nous remercions les parents FCPE de leur soutien: 2 parents présents. C'est avec beaucoup de coeur que nous avons apprécié le gâteau préparé par une maman FCPE. Nous la remercions très chaleureusement.

 

Nous étions ce lundi 7 profs à dormir dans notre chaleureux lycée. Le soir et le matin de bonne heure (4H), des rondes ont été effectuées par 4 profs. Quelques insomniaques en ont profité pour travailler. Un prof ça ne se refait pas même en grève!!! En tous les cas, il y a au moins un collègue qui a très bien dormi.....

 

Une collègue est venue nous apporter un p'tit café à 8H."



Les lycéens bloquent l'entrée du bâtiment technique



Tvfil 78 et Le Parisien se sont déplacés pour rendre compte des événements

20 janvier 2009 2 20 /01 /janvier /2009 22:00

RASED et DESTRUCTION DE L’ECOLE : CE N’EST PAS FINI.

Mercredi 28 Janvier AGISSONS !

 

 

 

Parents d’élèves et citoyens des Combrailles,

 

 

Après la forte mobilisation du dernier trimestre, nous avons ressenti une inquiétude présidentielle qui a conduit le ministre Darcos à amorcer un premier recul.

Mais ne nous y trompons pas : la menace est toujours d’actualité et que les mauvaises réformes aillent plus ou moins vite, peu importe.

Ce qu’il nous faut c’est les faire échouer, c’est gagner complètement : l’école publique est la base de l’égalité des chances, la garantie de la réussite du plus grand nombre.

 

CONTRE LA SUPPRESSION DE POSTES : LA RIPOSTE DES POSTES

 

La menace directe pour l’école publique commence avec la suppression de postes à des niveaux jamais connus : - 13500 en France dont 3000 postes Rased. Et en zone rurale, nous savons combien les calculs habituels conduisent à fermer de plus en plus de services publics. La lutte continue donc et le 28 janvier est une journée nationale d’actions pour les RASED*(voir page 2) pendant laquelle nous pouvons prendre des initiatives.

 

Et puisque l’état veut récupérer des postes, le 28 janvier 2009 à 10 h 30, apportons tous de vieux postes de radio (toutes les marques sont admises !) à l’Inspection de Riom-Combrailles, rue des Boules à Riom, en demandant à l’Inspectrice de les transmette à sa hiérarchie.

 

Même si nous ne sommes pas des centaines, nous pouvons nous faire entendre de manière forte et symbolique. Car cette action vise à être relayée par les médias et un communiqué leur sera envoyé.

Alors, êtes-vous prêts : tous à l’Inspection Mercredi 28 janvier à 10 h 30 !

 

 

 

POUR LA REUSSITE DE L’ACTION,

MERCI DE CONFIRMER TRES VITE PAR REPONSE MAIL VOTRE VENUE

à christian@cylem.com
Un mail de confirmation sera envoyé à tous demain soir


*RASED

Journée nationale d'actions le 21 janvier

> La fermeture prévue de 3000 postes Rased (Réseaux d'Aides Spécialisées aux Elèves en Difficultés) à la rentrée 2009, est un des symboles des attaques contre l'école pour la réussite de tous.

> Le formidable mouvement autour du maintien et du développement des RASED, a contraint le ministre à de premières annonces. Cependant, leur traduction sur le terrain, et le cadre budgétaire inchangé, imposent de poursuivre la mobilisation, pour le maintien des 3000 postes en RASED, pour une école qui prenne véritablement en compte, de manière cohérente, la diversité des difficultés des élèves.

> Les organisations syndicales, associations et fédérations professionnelles, associations de parents d'élèves, appellent à une nouvelle journée nationale d'actions dans les départements et à Paris le 21 janvier, pour la remise des motions de conseils d'école, expressions publiques..., aux Inspecteurs d'Académie et au Ministère de l'Éducation Nationale.

> Elles tiendront à cette occasion une conférence de presse.


Organisations syndicales de l'éducation nationale :

SNUipp-FSU, SE-UNSA, SGEN-CFDT, SNUDI-FO, SUD-Education, FERC-CGT

Fédérations et associations professionnelles :

FNAME – FNAREN – AFPEN

Associations de parents d'élèves, du handicap et de la difficulté scolaire :

FCPE - APAJH - AGSAS - AIRE - AAPDYS France Europe

Qui êtes vous ?
Vous êtes :
Un enseignant du premier degré
Un enseignant du second degré
Un étudiant
Un lycéen
Un parent d"élève
Un simple citoyen
Un chercheur
Un enseignant à l'université
Un fonctionnaire de l'EN (non enseignant) : encadrement, Biatos...
Un élu

Résultats

Visiteurs


 

Actuellement   
visiteur(s) sur le blog