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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 09:44

in C'est Classe


L'avantage avec Luc Chatel, c'est qu'il est si discret, si vague dans ses propos, qu'avec lui tout semble résolu. Pourtant il reste encore des sujets brûlants sur la table, comme la

réforme de la formation des enseignants. A Lyon, le Snes mobilise contre l'utilisation d'étudiants comme profs remplaçants, résultat, selon lui, de cette réforme.

Manif à Marseille, fev 09 (Reuters)

A l'origine du mécontentement, la circulaire du ministère de l'Education le 20 août 2009, portant sur l'organisation des stages des étudiants préparant les métiers de l'enseignement. Elle en prévoit deux sortes. D'abord des stages d'observation et de "pratique accompagnée" qui ne posent pas de problème: ils existaient avant et sont la première approche du terrain.

 

Le second type de stages - en responsabilité - fait, lui, débat. Avant ils étaient de 6 heures par semaine pour les futurs profs du secondaire. Juste après leur réussite au concours, ils avaient en effet une année de formation en alternance, généralement en IUFM (Institut universitaire de formation des maîtres) - l'apprenti prof discutait de son stage avec ses enseignants, analysait ce qui lui posait problème, etc.

La suite...

Le 19 octobre, le syndicat, qui est pourtant favorable à la réforme, a envoyé un courrier à ses membres. Il leur demande de refuser d'assurer l'encadrement des étudiants qui seraient envoyés dans leur établissement dans le cadre de "stages en responsabilité" (en classe seuls face aux élèves). A l'heure où l'on supprime des postes, le Snes y voit une façon détournée de recourir à du personnel précaire pour boucher les trous.
24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 12:57
In L'Alsace

 

Trois collectifs alsaciens proposent « une marche pour l’école publique » du 31 octobre au 2 novembre.

 



Les suppressions de postes d’enseignants, l’obligation faite désormais aux communes de financer des écoles privées, la suppression de postes dans les Rased (réseaux d’aide spécialisée), la mise en cause de la formation professionnelle des enseignants : ce sont quelques-uns des motifs qui, pour « Sauvons l’école pour tous » (SEPT), justifient une nouvelle action, à laquelle les collectifs du Haut-Rhin, de Strasbourg et de la Vallée de la Bruche entendent donner une certaine ampleur. Ils appellent en effet « parents, enseignants, élus et citoyens » à rejoindre les cortèges qu’ils organisent pendant le week-end de la Toussaint.

Pour le Bas-Rhin, le départ se fera samedi 31, à 10 h 15, du parking de l’école de Bourg-Bruche. Le lendemain, dimanche, ce sera à 9 h 15, de la mairie de Wisches. Enfin, le 2 novembre, on partira en train, à 8 h 50, de Rothau. Le programme fait d’ailleurs alterner les parcours à pied et les transferts en train, le but étant notamment de populariser les thèmes du mouvement par des distributions de tracts.


Même chose dans le Haut-Rhin où le collectif appelle à un premier rassemblement samedi 31, à 9 h 30, devant la mairie de Mulhouse, avec demande d’audience au maire. Les Haut-Rhinois mettent l’accent sur les entrevues avec les premiers magistrats, qu’ils se proposent de rencontrer aussi à Cernay, Colmar, Kaysersberg, etc.

Convergence à Strasbourg


Le programme n’oublie pas les moments festifs, comme ce concert de rock, le premier soir à la salle des fêtes de La Broque, ou cette soirée festive à la MJC de Bollwiller, le même jour.


Les trois cortèges ont prévu de converger le 2 novembre en gare de Strasbourg, à 10 h, où ils demanderont audience au recteur dans l’après-midi.

L’essentiel pour les organisateurs est, pendant ces trois jours, de « sensibiliser les populations aux enjeux des réformes du système scolaire ».


SE RENSEIGNER le-hussard.over-blog.com Durant la marche : 06.37.68.12.54, 06.48.09.90.00 (pour le Haut-Rhin).

23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 22:14

In Café Pédagogique


Selon une étude publiée par le ministère (DEPP), deux enseignants sur trois se sentent concernés par le malaise enseignant.  Seulement 7% des enseignants pensent que le malaise enseignant n'existe pas. 67% se sentent personnellement concernés par lui. Ce nombre important illustre une véritable dégradation du métier : ils n'étaient "que" 53% à connaître ce malaise en 2005.

 

Plus que les conditions de rémunération ou celles de travail, c'est le manque de reconnaissance professionnelle qui est dénoncé par les enseignants des collèges et du lycée. Un prof sur trois (30%) envisage carrément de quitter le métier. La moitié souhaiterait rester dans l'éducation nationale, l'autre moitié un travail hors éducation.

 

Une perception négative des élèves. L'enquête, menée auprès de 1200 enseignants par Patricia Gambert et Jacques Bonneau, montre aussi une certaine dégradation de l'image que les enseignants ont de leurs élèves, et particulièrement les jeunes enseignants. "A peine plus de la moitié des enseignants estime que la plupart de leurs élèves travaillent pour passer dans la classe supérieure et réussir aux examens. Seulement 32% pensent que leurs élèves s'intéressent à leur discipline et à ses objectifs intellectuels et formateurs. On notera aussi qu'au moins la moitié des élèves demeurent passifs pour 28% des enseignants et que près de la moitié des enseignants ont des éléments perturbateurs dans leur classe" notent les auteurs.

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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 22:08

In Café Pédagogique


Selon une dépêche AFP, un groupe de travail parlementaire UMP a vivement critiqué les évaluations mises en place par X Darcos et souhaité qu'un organisme indépendant soit chargé de l'évaluation de l'Ecole. Les oreilles de Xavier Darcos ont dû siffler mardi 20 octobre. Un groupe de travail parlementaire UMP a violemment critiqué les évaluations de CE1 et CM2 qu'il avait mises en place. Il est vrai que le ministère avait dû, dans les documents budgétaires, reconnaître que ces évaluations étaient peu fiables.

 

Pour les parlementaires UMP il faut "mieux associer la communauté éducative" aux évaluations. Cette concertation "a fait assez largement défaut". La méthode doit être incontestée "ce qui n'a pas été le cas". Les parlementaires demandent une clarification des objectifs poursuivis, particulièrement en Cm2. Ils envisagent "un système indépendant chargé de l'évaluation du système éducatif en remplacement des organismes ou directions centrales en charge de cette mission".

 

Ces prises de position font écho au rejet majoritaire des évaluations de CM2 l'an dernier, les enseignants ayant souvent refusé de suivre le protocole d'évaluation. Le ministère lui-même reconnaît "un taux élevé de réponses incomplètes (et) la faible qualité des données recueillies". 

 

Mais la démarche parlementaire réagit aussi à un autre héritage de X Darcos : la censure impitoyable qu'il a exercée sur sa direction chargée des enquêtes, la DEPP. Seuls les travaux utilisables par le cabinet étaient publiées.  De ce fait, sa crédibilité comme organisme scientifique a été dégradée.

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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 21:52

In NouvelObs.com

L
e syndicat Sud a appelé à son tour, vendredi, à la grève le 24 novembre à l'Education nationale contre les suppressions de postes et les restrictions budgétaires, rejoignant ainsi la Fédération syndicale unitaire (FSU).

Dans un communiqué intitulé "Avis d'alerte rouge", Sud-Education observe que "les prévisions de budget 2010 laissent présager un état d'asphyxie pour l'Education Nationale".

L'organisation syndicale dénonce "plus de 10.000 postes supprimés (...) qui s'ajoutent aux 30.000 déjà supprimés ces deux dernières années". Pour Sud, "le gouvernement poursuit sa politique de casse généralisée des services publics en démolissant l'éducation, la poste", ou encore "le fret ferroviaire".

"En conséquence", Sud-Education "appelle l'ensemble des personnels à la grève, le mardi 24 novembre 2009", et menace de ne pas en rester là.


Jugeant "insuffisantes", les "journées de grève tous les deux mois, qui sont souvent la seule perspective donnée par les directions syndicales", Sud appelle les personnels à se réunir en assemblées générales le 24 novembre "afin d'organiser collectivement la suite du mouvement".


L'organisation syndicale estime qu'il "faut mettre en débat dès maintenant la question de la grève reconductible" dans l'Education nationale, et "la construction d'un véritable rapport de force au niveau interprofessionnel".

23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 21:28

Communiqué de presse Se-Unsa







Le Conseil constitutionnel a entériné la loi Carle qui impose de nouvelles obligations de financement en instituant le "chèque éducation" pour les élèves fréquentant des établissements privés hors de leur commune de résidence.

Cette loi Carle institue une triple peine pour les communes :

- elle encourage l’exode scolaire vers le privé, vide et concurrence l’école publique avec le risque de fermetures de classes ou d’écoles;

- elle grève les budgets locaux en concédant au seul  enseignement privé un droit de tirage sans accord préalable qui entraîne l’augmentation de l’impôt de tous et ampute les moyens de l’école publique;

- elle anéantit la gestion prévisionnelle et la programmation des investissements  qui deviendront plus aléatoires chaque année.


L’UNSA Education dénonce cette disposition qui va relancer, dans chaque commune, chaque année, les surenchères des différents réseaux communautaristes religieux, linguistiques ou autres en accroissant la ségrégation sociale, en réveillant la guerre scolaire.


L’UNSA Education demande aux collectivités locales, pour ne pas développer une concurrence préjudiciable au service public, de ne plus financer les dépenses facultatives des établissements privés : écoles préélémentaires ou sous contrat simple et tous les investissements du second degré. Ceux qui fréquentent l’Ecole laïque du vivre ensemble ouverte à toutes et tous ne peuvent supporter les charges et les choix particuliers de ceux qui revendiquent le séparatisme scolaire.


On ne peut financer la concurrence accrue et faussée, préjudiciable au devenir du service public laïque d’éducation.

23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 20:57

In Le Parisien

Argenteuil : des parents bloquent l'accès d'une école

 

Il réclament la réouverture d'une huitième classe de maternelle. Une trentaine de parents d'élèves ont bloqué l'accès d'un groupe scolaire d' (Val-d') jeudi.

«Nous avons fermé l'accès en laissant entrer les enseignants. Les parents étaient au courant de notre initiative depuis lundi», a expliqué Francis Gabouleaud, président de la coordination FCPE d'Argenteuil.

 

Depuis la rentrée, des parents d'élèves de l'école maternelle Jules-Ferry, qui accueille 204 enfants, multiplient les - manifestations, occupations de classe et blocage - pour qu'un enseignant supplémentaire soit nommé. Plusieurs enseignants avaient fait grève le 8 octobre pour la même raison.

«Nous avions obtenu l'ouverture d'une nouvelle classe il y a deux ans. L'inspection académique nous l'a supprimée cette année prétextant qu'il n'y a pas assez d'enfants. Du coup, on se retrouve avec des classes de 29 à 31 élèves», affirme Francis Gabouleaud.


«Petit papa Chatel....»

Jeudi matin, les parents d'élèves accompagnés de leurs enfants avaient préparé des lettres, destinées au ministre de l'Education nationale Luc Chatel, qu'ils ont postées dans une fausse boîte aux lettres en carton décorée d'étoiles de Noël. Puis ils ont demandé en chantant au «Petit Papa Chatel» de leur offrir «dès à présent un petit poste d'enseignant».


Selon Katia Redier, 36 ans et mère d'une élève âgée de trois ans et demi, «les classes de l'école sont très rapidement saturées de bruit en raison du sureffectif». «Cela engendre des problèmes d'attention chez les enfants et de la nervosité lorsqu'ils rentrent à la maison le soir», souligne-t-elle.

L'inspection académique porte plainte

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In L'Humanité

Les petites classes de Jules Ferry débordent

A Argenteuil, les parents d’élèves de l’école maternelle Jules Ferry se battent depuis six semaines pour obtenir la réouverture d’une classe fermée en septembre contre toute logique.


Rien ne bouge, ce jeudi matin, devant le groupe scolaire Jules Ferry à Argenteuil (Val d’Oise) recouvert d’affiches et de banderoles. Les écoles, maternelle et primaire, sont bloquées par les parents d’élèves (FCPE) qui, depuis six semaines, se battent comme de beaux diables pour la réouverture d’une huitième classe, fermée cette année par l’inspection académique contre toute logique. Pas de cantine, pas d’accueil matinal, prévient un message de la mairie. Un calme trompeur règne dans la cour. Dans la salle semi-circulaire de l’école maternelle, une petite centaine de personnes enfants et adultes mêlés mettent la dernière main aux messages, plutôt colorés, qu’ils vont adresser au « Petit Papa Chatel ».


Unique cadeau envié et réclamé : une maîtresse supplémentaire pour cette école maternelle qui compte 205 élèves et ne peut accueillir les 5 enfants de moins de trois ans qui sont « en attente » . Les deux classes de petite section étouffent avec 30 et 31 élèves. Parmi les lettres adressées au Petit Papa Chatel dont l’adresse ressemble étrangement à celle du ministre de l’Education nationale Sonia, bouclettes brunes, lui annonce que, depuis la rentrée, dans sa classe, « on joue aux sardines » mais que le jeu a suffisamment duré. Julien, père d’élève, confirme : « dans la classe, il y a trois bancs et pas de place pour un quatrième. Pour chaque activité commune, quelques gamins doivent s’asseoir par terre. Même la superficie de la classe n’est pas prévue pour accueillir autant d’enfants ».


« Donne moi un maîtresse »


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In JT M6 12-10-2009





22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 21:52

In VousNousIls


Le Conseil constitutionnel a annoncé jeudi avoir validé la loi restreignant l'obligation faite aux communes de financer la scolarité d'élèves résidant sur leur territoire mais inscrits dans des écoles privées d'autres communes.


En saisissant le Conseil constitutionnel, les députés socialistes avaient estimé que le texte, présenté comme un "compromis" par le gouvernement et la majorité, mettait "gravement en cause les principes constitutionnels de laïcité, de libre administration des collectivités territoriales et d'égalité des citoyens devant les charges publiques".


Ils entendaient obtenir la censure non seulement de cette proposition de loi, mais également des articles de la loi de 2004 sur le finacement de l'enseignement privé--initiés par le sénateur Michel Charasse (alors PS)-- qu'elle était censée venir corriger.


Le Conseil constitutionnel a rejeté ces griefs, jugeant la loi conforme à la Constitution.

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22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 20:54
In Mediapart

Les collectifs des IUFM de Grenoble et de Lyon ont tenu des Assises régionales de la formation des enseignants  pour lutter contre la réforme dite de mastérisation, en misant sur la réflexion, les échanges, les propositions.

 

Le 30 juin à Lyon, un manifeste avait été écrit, le 21 octobre, un autre le sera.

 

L'été 2009 sépare les deux journées, pont de décrets et de circulaires qui mettent en place la réforme, celle qui vise à faire disparaître les IUFM et à entamer le  processus de démantèlement de l'Education nationale en tant que Service Public.

 
La réforme de la mastérisation, notamment parce qu'elle vise à remplacer le recrutement par concours par un recrutement sur diplôme peut être considérée comme une mesure de privatisation, l'embauche des personnels n'étant plus assimilée qu'à une vacation et non à l'entrée dans une carrière de fonctionnaire. Le concours permet à son lauréat d'obtenir  un poste  fourni et imposé par l'Etat. Le diplôme met son détenteur en situation d'avoir à chercher un emploi. La circulaire n°2009-109 du 20 août 2009 parue au B.O. n°31 31 du 27 août 2009 concernant l’organisation de stages pour les étudiants en master se destinant aux métiers de l’enseignement est ni plus ni moins que l'instauration du remplacement des professeurs titulaires par des étudiants, lesquels devraient faire le travail d'un enseignant tout en préparant un concours –ce qui ne peut que nuire aux deux.

Il nous faut aujourd'hui de plus en plus sérieusement faire l'hypothèse que le gouvernement veut l'abandon par  l'Etat de l'Education nationale. On peut le voir en observant:

-que la disparition d'un Service Public risque de se faire pour contenter ceux qui bannissent les fonctionnaires, il y en a,

-que les gouvernements qui privatisent le font en affichant que c'est pour le bien de tous, usagers et salariés, en vantant les mérites de la concurrence commerciale : "Vous choisirez votre école",

-que les gouvernements qui privatisent, tout en prétendant que c'est une bonne chose, le font en se défendant de le faire : "L'Etat restera actionnaire principal de la Poste",

-que lorsque les gouvernements privatisent, ils le font en expliquant qu'ils y sont contraints, parce que la dette ne permet pas au pays d'entretenir des fonctionnaires ou parce que la situation internationale ou les directives européennes les y obligent,
 
-que les privatisations sont précédées de campagnes de dénigrement,

-que la privatisation comporte des degrés, présente des variantes et a plusieurs allures,

-que pour remettre l'Education nationale au secteur privé, le morceau est gros. Le gouvernement commence donc par la partie la plus récente, la plus tendre et la plus dénigrée : les IUFM. Dissous dans les universités, annoncés disparus, ils  sont finalement tués par la réforme de la mastérisation.

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22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 20:37
In Snudi-fo69

La ville de Lyon prépare les EPEP !

Le SNUDI-FO alerte toute la profession ! Depuis quelques semaines, la ville de Lyon réunit dans les écoles des représentants des ATSEM et des ATSEP pour évoquer la réorganisation de la semaine scolaire.

 

Le SNUDI-FO s'est procuré le document de travail préparatoire à ces réunions, que vous trouverez ci après.

 

On y lit notamment:

 

  • « Evolution du calendrier scolaire sur la base d'une semaine de 4,5 jours avec le mercredi matin travaillé »

  • « Regroupement des écoles en prévision de la création des EPEP (Etablissements Publics d'Enseignement Primaire) de 400 à 500 élèves avec mutualisation des moyens humains et matériels »

  • « 2009/2010 : concertation ; 2010/2011 : expérimentation dans quelques écoles ; septembre 2011 : généralisation »

 

Ainsi, la ville de Lyon voudrait imposer unilatéralement à tous les collègues de travailler le mercredi matin en instaurant les EPEP. Rappelons que les EPEP sont des regroupements d'école dirigés comme des entreprises privées par un conseil d'administration où les élus locaux sont majoritaires !

 

Comment comprendre que la ville de Lyon prépare la mise en place des EPEP et les suppressions de postes qui vont avec (« mutualisation des moyens humains »), alors qu'aucun texte de loi n'a été voté ni même discuté sur cette question ?

 

Le SNUDI-FO demande immédiatement audience auprès de M.Fournel, adjoint aux affaires scolaires de la ville de Lyon.

 

Nous invitons tous les collègues à participer à la réunion d'information syndicale organisée par le SNUDI-FO à Lyon le 18 novembre pour faire le point sur cette question.

 

 

Téléchargez le document de la ville de Lyon !

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