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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 16:17

In Café Pédagogique

 

Par Jean-Louis Auduc

 

Dans cette tribune, Jean-Louis Auudc analyse les raisons pour lesquelles, à ses yeux, le décret du 17 février aui autorise l'alternance après la 5ème est une mauvaise décision. Elle méprise à la fois les parents, les entreprises et les enseignants. Surtout elle insulte l'avenir des enfants.

 

Le décret publié au Journal Officiel du 17 février rétablissant une possibilité de palier d’orientation en fin de 5eme est non seulement un retour en arrière de plus de vingt ans concernant l’organisation de notre système éducatif, mais il marque un mépris profond pour les élèves, leurs familles, les enseignants, le monde du travail et la population.

 

En mettant fin en 1994 à la possibilité d’une orientation en fin de 5eme par la création d’un cycle central (4e/3e) au collège, François Bayrou s’inscrivait dans une logique d’accroissement des qualifications de tous les jeunes, condition nécessaire au développement économique de notre pays.   Au moment où tous les indicateurs économiques montrent que c’est dans l’emploi qualifié que réside le potentiel de croissance d’un pays, vouloir stopper la formation générale des jeunes en fin de 5eme tourne le dos à l’avenir en prétendant que c’est avec les qualifications des années 50 qu’on peut se préparer à affronter le XXIe siècle.

 

Ce décret manifeste donc un profond mépris pour tout ce qui se construit aujourd’hui de l’école à l’entreprise.

 

Mépris pour la population notamment âgée à qui l’on fait croire que l’apprentissage d’aujourd’hui doit ressembler à celui d’hier et d’avant d’hier sans lui expliquer que les gestes professionnels de tous les métiers se modifient, se complexifient et que s’adapter aux mutations des gestes professionnels  qui ne manqueront pas d’intervenir dans les années qui viennent nécessitera une bonne formation générale de base que la fin de la scolarité en 5eme ne garantit pas.

 

Certes, le nombre d’apprentis a considérablement progressé de 2000 à 2010 en passant de moins de 350 000 apprentis à plus de 425 000. Mais, ce qui s’est surtout profondément modifié, c’est la structure de l’apprentissage qui d’un dispositif destiné aux élèves les moins qualifiés s’est peu à peu transformé en formation destinée aux élèves ayant déjà un niveau de formation conséquent. Les formations débouchant sur des CAP, BEP concernaient 72% des apprentis en 2000, 59% en 2006 ; elles ne concernent plus que 49% des apprentis en 2010 et baissent encore en 2011 et 2012. Les apprentis préparant un baccalauréat ou son équivalent étaient 18% en 2000, ils sont 26% en 2010. Ceux qui préparent un diplôme de l’enseignement supérieur dépassent en 2010 le nombre de 100 000 apprentis et représentent 25% des apprentis.

 

Mépris pour le monde du travail à qui l’on veut faire croire que c’est avec des élèves en difficulté scolaire en fin de 5eme qu’on peut être en phase avec les défis économiques de demain. C’est à l’école que revient la tâche de mettre en situation de réussite ces garçons ( puisque toutes le statistiques le montrent, ce sont des garçons qui sont en difficulté  au collège, notamment pour des difficultés dans la maîtrise de la langue) et non au monde de l’entreprise d’assumer une tâche de formation générale.

 

Sur cette question, les faits des dernières années ont pourtant tranché. En 2006, Gilles de Robien et Dominique de Villepin, à grands renforts de communication, créent l’apprentissage junior pour les élèves à partir de 15 ans. Ils espèrent, disent-ils, 100 000  propositions de stages d’apprentissage….En 2007, Nicolas Sarkozy stoppe l’apprentissage junior dans le silence général. Il y avait moins de 700 ( !) propositions de stages de la part des entreprises ! C’est l’IUMM (Union des Industries Métallurgiques et Minières), qui en mai 2011  a annoncé sa volonté de poursuivre et développer sa politique de recrutement d’apprentis au niveau Bac+2 et bac+3 en indiquant : « L’entreprise n’a pas à rattraper les insuffisances du système éducatif ». Il faut également se rappeler qu’au début des années 2000, il y a eu une manifestation d’une centaine d’artisans murant l’inspection académique de Colmar afin de « protester contre l’insuffisance du niveau scolaire des élèves envoyés en apprentissage ».  

 

Mépris pour les élèves et leurs familles à qui on ne propose aucune solution autre que de quitter les classes normales du collège pour les élèves en difficulté. Alors qu’on supprime les Réseaux d’aide aux élèves en difficulté (RASED), diverses possibilités de soutien et de remédiation dans les établissements scolaires, le ministère indique ainsi que l’école n’a plus pour fonction première de permettre la réussite de tous. La solution n’est pas dans l’externalisation à l’entreprise de la lutte contre l’échec scolaire. Il est dans un combat sans relâche pour une meilleure maîtrise de la langue par les jeunes et par un diagnostic sérieux des causes de l’échec chez certains. Rappelons qu’ « en France, 26% des garçons (plus d’un garçon sur quatre !) n’atteignaient pas, en 2009, le niveau de compétence 2 en lecture, considéré comme un minimum à atteindre pour réussir son parcours personnel….. » (Rapport CESE de septembre 2011) alors que moins d’une fille sur 10 est dans ce cas . Ces chiffres doivent nous interroger sérieusement sur la mise en œuvre d’une meilleure pédagogie personnalisée.

 

Le choix fait par le ministère est tout autre. Il est de faire sortir ses élèves pour les confier, éventuellement, à l’apprentissage. Le risque est réel, et toutes les statistiques le montrent,  compte tenu des enjeux économiques pour les entreprises et des compétences requises pour les postes possibles, que le jeune se retrouve  à 16 ans sans aucun contrat, sans aucun diplôme avec des perspectives de chômage bien plus fortes que s’ils étaient restés sous statut scolaire.

 

Mépris pour les enseignants,

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 16:12

In Snuipp

 

La circulaire Fonction publique sur la journée de carence en cas d’arrêt de maladie devrait être publiée dans les quinze jours à venir. Le SNUipp est intervenu pour dénoncer cette mesure injuste en insistant sur la situation particulière des enseignants des écoles.

 

«  Le premier jour d’un congé de maladie constitue le délai de carence pendant lequel aucune rémunération n’est versée par l’employeur » indique la circulaire qui devrait être publiée dans les prochains jours au Journal Officiel et que dénoncent la quasi totalité des organisations syndicales de fonctionnaires. La mesure devrait s’appliquer tout prochainement, les premiers retraits de salaires pouvant être effectués sur la paye de mars avec effet rétroactif au 1er janvier. Sont concernés l’ensemble des fonctionnaires stagiaires et titulaires, mais aussi les agents publics non titulaires. Les types de congés visés et le mode de calcul de la retenue sur salaire font l’objet d’une première note technique du SNUipp consultable ci-dessous, dans l’attente du texte définitif.

Les enseignants spécialement pénalisés

« Cette disposition va pénaliser durement les agents de la Fonction publique » constatent les syndicats dans un communiqué du 15 février dernier, et tout particulièrement les enseignants des écoles, comme l’a rappelé le SNUipp-FSU lors de la présentation du projet de circulaire aux partenaires sociaux. Car de fait, l’exercice quotidien du métier les expose tout particulièrement aux risques de contagion, notamment dans les périodes d’épidémies saisonnières. De plus, dans une profession largement féminisée, les arrêts de travail liés à la grossesse avant le début du congé de maternité seront également plus pénalisants qu’ailleurs. Enfin, « si le gouvernement entend réduire les congés de maladie, nos organisations considèrent qu’il lui faudrait plutôt agir sur les conditions de travail et le renforcement de la médecine de prévention dans le cadre, notamment, de la médecine du travail. » rappelle le communiqué.

Nouvelle atteinte au pouvoir d’achat

Le SNUipp et la FSU sont intervenus pour que les indemnités liées à des fonctions particulières (ISSR, direction d’école...) n’entrent pas dans le calcul de la retenue, mais c’est bien une nouvelle baisse des salaires qui s’annonce, comme si les enseignants étaient en quelque sorte « coupables d’être malades ». Cette amputation du pouvoir d’achat viendra s’ajouter à celles dues au gel des rémunérations et à l’augmentation des cotisations pour les pensions. Les organisations syndicales restent vent debout contre cette mesure aussi injuste qu’inefficace et continuent à demander au gouvernement d’y renoncer.

Lire :
- le communiqué commun

Lire aussi :

PDF - 76.8 ko
Note technique
20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 15:58

Alors qu'Allègre (ex-ministre de l'EN sous Jospin)  rejoint Sarkozy, Dominique Antoine (l'ex-conseiller Education de Sarkozy) votera Hollande aux prochaines élections...

 

 

In Le Monde

 

J'ai travaillé deux ans dans l'équipe de Nicolas Sarkozy à l'Elysée. C'était un honneur. Ce furent deux années d'espérances déçues. "20 % de nos jeunes quittent l'école sans qualification, je ne peux m'y résoudre", avait écrit le candidat en 2007. Le technicien que j'étais faisait confiance à l'énergie de cet homme politique hors norme, à son discours républicain, à sa volonté de rupture. "Que tous les enfants sortent de l'école avec le bagage nécessaire pour réussir leur vie d'adulte", disait encore le programme.

Dans le domaine éducatif, que retiendra-t-on de ce quinquennat ? 80 000 suppressions d'emplois, la fin de l'année initiale de formation des maîtres, la semaine de quatre jours à l'école primaire. Même si l'on place, dans l'autre plateau, les évaluations généralisées des compétences des élèves, le bilan est maigre.Je m'en suis longtemps voulu de n'avoir pas su me faire entendre du président. Avec le recul, je pense que c'était mission impossible.

 

Car dans le premier cercle des conseillers présidentiels - dont je n'étais pas -, la mêlée des conservateurs, des libéraux et des budgétaires formait un rideau infranchissable. Les conservateurs manifestaient une haute ambition : ils voulaient rétablir l'autorité des savoirs et des professeurs. Prisonniers d'une imagerie surannée et d'une obsession mémorielle, ils se référaient malheureusement à une éducation nationale de cocagne où les maîtres se seraient réjouis de recevoir une lettre de leur président, ou bien de lire à leurs élèves, à la demande du président, la lettre d'un jeune résistant, ou encore de jumeler chaque enfant des écoles avec le fantôme d'un enfant juif gazé dans les camps.

 

Les libéraux, en quête d'efficience managériale, voulaient appliquer la logique du marché en offrant aux parents le libre choix de leur établissement. Enfin les budgétaires, pour complaire à la finance internationale, voulaient soutirer des dizaines de milliers d'emplois à un ministère jugé par principe dispendieux.

La vérité est que tous méconnaissaient la réalité concrète du métier de professeur, les conditions d'exercice dans les quartiers sensibles, les impasses de l'orientation pour les élèves peu doués ou défavorisés socialement. Au fond, ils idéalisaient l'éducation nationale mais ne l'aimaient pas, car elle votait mal et leur faisait peur. Et ils convenaient, à la suite du chef de l'Etat lui-même, que les priorités étaient ailleurs, dans l'économique et le social, dans l'international, la défense, la sécurité intérieure.

 

Immobilisme contraint

 

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 09:04

In Mammouth Déchaîné

 

 

 Nord-éclair -Peut-on faire part de ses états d'âme à son député sans crainte de sanction ? 

 

Une prof de Gondecourt a envoyé une lettre au député Huyghe mettant en cause le président de la République. Elle conteste au tribunal administratif la sanction infligée par le rectorat.


De la « délation ». C'est la première chose à laquelle a songé Karin quand elle a compris que sa lettre, destinée en février 2011 à Sébastien Huyghe « personnellement, en tant que citoyenne à son député », a atterri sur le bureau de son employeur. C'est-à-dire la rectrice de l'académie de Lille. Un courrier dénonçant les « violences faites au quotidien aux profs » et « que j'avais écrit dans un moment d'exaspération », explique la professeure agrégée d'allemand au lycée Marguerite de Flandre de Gondecourt.
Sur deux pages, elle déplore les suppressions de postes, les heures supp' « quasi obligatoires », « toute cette ambiance délétère », dans un style - il faut le dire - très enlevé, virulent voire violent. Exemples : « Votre savoir-faire de petit perroquet sarkozyste », « une destruction programmée et systématique de la fonction publique », « la m....sarkozyenne », « j'en ai assez de perdre une journée de salaire (...) pour entendre dire après coup par un trou du c.. gouvernemental quelconque que la rue ne gagnera pas ». Soit. L'affaire aurait pu s'arrêter là - « quoi que la lettre n'aurait pas dû être envoyée au rectorat », souligne Karin. Au pire la prof s'attendait-elle à un blâme.

« Un professeur efficace »
Sauf que. Convocation fissa chez le directeur des ressources humaines du rectorat. Il l'informe que l'entretien portera sur « votre situation professionnelle ». Karin dit n'avoir « rien à me reprocher » sur son travail. Ses rapports d'inspection confirment : « Un professeur confirmé », qui « dispense un enseignement efficace, bien servi par ses qualités de germaniste » . On lui annonce en fait ce 18 mars qu'il va y avoir une « procédure de discipline ». À cause dudit courrier.
D'après le rectorat, Karin serait sortie de son droit de réserve en « critiquant la politique gouvernementale de manière très agressive » et en « mettant en cause le président de la République, le ministre de l'Éducation nationale et le recteur en des termes particulièrement grossiers et offensants ». « En tant que fonctionnaire, on ne peut pas dénigrer sa propre institution », insiste Marc Gosselin, directeur de cabinet du rectorat. Pour lui, « peu importe la manière dont le courrier est arrivé chez nous ».

Sur le droit de réserve des fonctionnaire, qui n’existe pas vraiment, on a déjà fait le point là.

Et toujours plus...

19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 19:41

 

 

hollanderFrançois Hollande est décidément un virtuose des coups tordus. On sait qu’il a proposé d’inscrire la laïcité dans la Constitution. Surprenant, puisqu’elle est déjà inscrite dans notre Constitution, dont l’article premier commence par : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. » En réalité, sous couvert d’inscrire dans notre constitution une laïcité qui l’est déjà, c’est son exact contraire qu’il se propose de faire, à savoir constitutionnaliser le régime concordataire de l’Alsace-Moselle. Voir l’analyse de Jean-Luc Mélenchon sur ce sujet, dans son billet du 18 février 2012.

 

Le vote Hollande passe pour un vote utile auprès de tous les fatigués et/ou excédés de Sarkozy, dont je suis, bien sûr. Je ne vois pas en quoi il serait utile de voter pour un homme qui fera pour l’essentiel la même politique que le gnome actuellement en place. Même s’il est plus poli que son prédécesseur : se faire arnaquer avec « élégance » m’est encore plus insupportable que me faire arnaquer par le Fouquet’s Club.

 

À gauche toute !

19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 18:36

19-02-2012-18-30-34.jpg

19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 18:16

C03-23

Lodève

L’école maternelle Prémerlet perd une classe à la rentrée

Limoges

800 personnes défilent contre les suppressions de poste

Saint-Yrieix

Les parents d’élèves FCPE multiplient les actions

Pau

Carte scolaire : une journée pour rien, ou presque

Ruffec

Aigre dans la ronde pour sauver sa classe

Aisne

Mardi, « écoles mortes »

Vervins

Ceccaldi-Brimbeuf : les parents bloquent l'école

Vervins : les parents occupent l'école Brimbeuf-Ceccaldi

Le Hérie-la-Viéville /

 Regroupement Où installer les élèves?

Laon

Lycée Julie-Daubié : une demi-section sauvée si la Région suit

Chauny

Menaces de suppressions de postes L'aide spécialisée aux enfants est en difficulté

Classes surchargées au collège

Barisis-aux-Bois

défendre… ce qui peut encore être sauvé

Soissons

Des moyens à la baisse malgré le dispositif ECLAIR Gérard-Philipe : l'orage gronde

Juniville

À Juniville aussi Contre une école au rabais

Ossès

école, tous mobilisés

Issoudun

Jean-Jaurès : second jour d'occupation

Châteauroux

Carte scolaire : les syndicats boycottent la réunion

Fondettes

Les élèves de BTS réclament un prof

Loches-Montrésor

Collège de Montrésor : la députée sans les élus

Château-Renault

Les parents bloquent la sortie du collège de Château-Renault

Causse-et-Diège.

Quine et mobilisation

Ondes.

Lycée : recruter des élèves à tout prix

Penne-d'Agenais

Occupation de la maternelle de Penne-d'Agenais

Seine-Maritime

76 fermetures de classes dans les cartons de l'Académie de Rouen

Dieppe

Les professeurs mécontents

Eure

Ecoliers cherchent maîtres

Gisors

Les parents d'élèves prévoient de bloquer l'école Paul-Eluard en début de semaine.

Rouen 

Saint-Julien défend son école

Mont-de-Marsan

Carte à rejouer ?

Etsaut

 

Ecole occupée ce matin

AUXERRE

Les élèves en difficultés moins encadrés

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE

Contre la fermeture d'une classe

MEILLANT

La fronde s'organise contre une suppression de poste

CORCELLES-LES-ARTS

La forte mobilisation des élus, des parents d’élèves et des habitants contre la fermeture d’une classe dans le plus vieux RPI du département a payé.

MEURSAULT

La classe serait fermée : les parents très en colère

Cergy

Baisse de moyens confirmée à la rentrée

 

Les écoles de la Goutte-d’Or sont sauvées

 

Nord- Pas-de-calais

Etaples

Plus de 130 manifestants pour préserver les classes du collège Jean-Jaurès

Fruges :

Environ 200 personnes pour manifester contre une fermeture de

Vallée de la Lys

A Halluin, Linselles et Roncq, mobilisation pour défendre les collèges

Les parents d'élèves en colère

Heures en moins : panique dans les collèges publics

Lille:

200 personnes mobilisées contre les suppressions de poste dans l'éducation

Bruay-La Buissière :

Deux manifestations se préparent au collège Rostand et à l'école Pasteur

La FCPE du Bruaysis sort les banderoles au collège Rostand et à l'école Pasteur

PONT-SUR-SAMBRE

Des parents d'élèves réoccupent l'école Louise-Roland et battront le pavé mercredi

Douai

La mobilisation ailleurs dans le Douaisis

Les enfants de la maternelle Pierre-Mendès-France à Cuincy devront se serrer dans trois classes

Aubigny :

Une classe sacrifiée

D'escrebieux en Pévèle

L'école Maurice-Lenne mobilisée, jeudi, contre la suppression d'une classe

BRAY-DUNES

Le conseil municipal dépose une motion contre les fermetures de classe

WORMHOUT

Lycée de l'Yser : les lycéens ont donné de la voix, hier matin

Les actions de parents d'élèves se multiplient

MILLAM

L'école devrait conserver toutes ses classes à la rentrée

Lens

Les profs du bassin contre les suppressions de postes

Liévin

Sept postes supprimés au lycée Henri-Darras : les enseignants débrayent et invitent les élèves

 

 

Montigny-en-Gohelle

Nouveau blocus à l'école Frank-Casanova où les parents d'élèves ne désarment pas

Tous contre la fermeture

Saint Pol sur Ternoise

Concert de klaxons avant le conseil d'école

GONDECOURT

Les parents de Charles-Perrault toujours mobilisés contre la fermeture de classe

Tourcoing

Quelles classes seront fermées ? Report de la décision au 24 février

Valenciennes

Trois classes sauvées de la fermeture à Artres, Mortagne et Vieux-Condé ?

MARLY

Les parents d'élèves de Marie-Curie ne sont pas prêts à ranger les banderoles

SAINT-AMAND-LES-EAUX

Fermeture de classe a l'ecole Pauwels : les parents reçus par l'inspectrice

Villeneuve d'Ascq

L'école Toulouse-Lautrec devrait conserver sa classe à la rentrée

19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 11:51

 
Le faussaire, menteur et calomniateur Claude Allègre soutient Sarkozy
 

AllegreAu compte des non-surprises de la campagne électorale en cours voici le soutien affiché de Claude Allègre à Nicolas Sarkozy, exprimé dans une interview au Journal du Dimanche.

 

D'autres observateurs relèveront les éléments les plus politiques de ce soutien, comme la curieuse exigence de voir François Bayrou appelé à gouverner, si l'on se souvient des attaques vigoureuses de Claude Allègre contre ce dernier lorsqu'il était ministre de l'Education nationale, accusé de ne rien faire et de co-gouverner avec les syndicats.

 

Je resterai donc sur un terrain plus étroit, celui des qualités morales de Claude Allègre, appliquées à ce qui fut son métier : la recherche scientifique. Titulaire de nombreuses récompenses, auteur de travaux importants en cosmochimie et en géochimie isotopique, Claude Allègre, depuis plus de dix ans s'est également exprimé de manière publique et très vigoureuse sur le travail de ses collègues climatologues, travail auquel il n'a jamais participé (je parle donc de ce qu'il a dit et écrit sur les sciences du climat, pas de ses contributions aux débats politiques liés au problème du changement climatique qui sont en général d'intérêt fort limité).

 

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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 10:35

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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 09:46

Hollande "rassure" à tout va après le discours du Bourget. :  les "financiers", les alsaciens... Nous voilà rassurés !

 

In L'Alsace

 

Régime concordataire Hollande veut rassurer les représentants des cultes

 

hollanderLe candidat à l’élection présidentielle François Hollande (PS) a écrit hier aux représentants des cultes reconnus d’Alsace-Moselle qui l’avaient interpellé ( L’Alsace du 23 janvier) sur le maintien du Concordat et des lois organiques, malgré sa volonté d´inscrire la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État dans la Constitution. S’il tient à inscrire les principes fondamentaux de la loi de 1905 sur la laïcité dans la Constitution, François Hollande affirme conserver la spécificité du régime d´Alsace-Moselle, en rajoutant au nouvel alinéa la disposition « sous réserve des règles particulières applicables en Alsace-Moselle ». « Bien loin de porter atteinte aux règles qui régissent, de façon particulière, les relations entre l’État et les cultes concordataires en Alsace-Moselle, elles seront au contraire confortées dans leur spécificité, en se voyant reconnues au niveau constitutionnel », souligne le candidat socialiste qui espère ainsi « rassurer » les représentants des cultes reconnus.

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