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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 17:59

In L'Express

 

hollanderLe candidat, qui a su séduire les profs du public, a une bonne cote dans l'enseignement catholique. Et pour cause: il prend garde de ménager ses susceptibilités. 

 

Souvenez-vous de François Mitterrand et de l'école libre. Souvenez-vous de ce blocage." Cet avertissement de Nicolas Sarkozy à Laurent Fabius sur le plateau de l'émission de France 2 Des paroles et des actes, le 6 mars, n'a pas échappé au secrétaire général de l'enseignement catholique, Eric de Labarre: "Personne n'a intérêt à rallumer la guerre scolaire, nous avons aujourd'hui une forte capacité de mobilisation."  

 

Un possible retour de la gauche au pouvoir ne l'inquiète pas. Et pour cause. François Hollande, qui a fait une partie de sa scolarité chez les Frères des écoles chrétiennes, n'a rien d'un bouffeur de curé. "Il a une vision beaucoup moins caricaturale de l'enseignement privé que d'autres, gauche et droite confondues. C'est un élu local, il sait ce que nous représentons dans les zones rurales." 

 

Sur le sujet sensible des relations entre l'Etat et l'enseignement catholique, François Hollande balise le terrain et joue la carte du dialogue. Le candidat socialiste a reçu une délégation d'évêques le 7 mars. Le même jour, une rencontre était organisée entre Vincent Peillon, son responsable éducation, et les représentants de l'enseignement catholique. 

 

Pour l'école catholique, "mieux vaut un socialiste humaniste qu'un UMP ultralibéral" 

 

C'est un vieil ami, l'avocat chrétien Jean-Pierre Mignard, qui a joué les intermédiaires. "Je les vois comme je vois tout le monde, avec bienveillance et intérêt", rapporte Peillon. Il assure que les socialistes ne toucheront pas à la règle du 80/20 qui encadre la répartition des moyens budgétaires entre public et privé. Et si l'école libre veut s'associer aux réflexions sur l'évolution du système, "pas de problème".  

 

Prudent, l'enseignement catholique soigne ses relais au sein du Parti socialiste. Henri Nallet, par exemple, ministre de François Mitterrand et vice-président de la Fondation Jean-Jaurès, est un proche de Fernand Girard, fin lobbyiste de l'enseignement catholique. "Finalement, pour nous, mieux vaut un socialiste humaniste qu'un UMP ultralibéral", s'amuse Girard.  

 

La loi Carle ne sera pas remise en question

 

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