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8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 12:40

In Le Monde

Le Monde.fr

Manifestation lycéenne à Paris, jeudi 18 décembre 2008.

 
Occupations, assemblées générales, blocages d'établissements, manifestations dans toute la France et rassemblement à Paris : c'est tout le rituel du mouvement lycéen qui reprend, jeudi 8 janvier, après la pause des vacances d'hiver et presque comme si le ministre de l'éducation, Xavier Darcos, n'avait pas annoncé, le 15 décembre, le report de la réforme des lycées.

L'Union nationale des lycéens (UNL) et la Fédération indépendante et démocratique des lycéens (FIDL) considèrent ce report comme "un piège" et revendiquent l'abandon de toutes les suppressions de postes dans l'éducation, ce qui reviendrait à un revirement total dans l'action gouvernementale.

Dans ces conditions, même si le ministre prévoit une grande concertation, le dialogue est rompu et l'heure est à une nouvelle épreuve de force. Ce 8 janvier sera à cet égard le premier test.

Les organisations lycéennes, qui ne comptent que quelques milliers d'adhérents mais exercent une influence non négligeable, vont tenter de démontrer que la "mobilisation" reste à l'ordre du jour comme elles l'avaient annoncé avant les vacances. Le ministère de l'éducation, à l'inverse, veut faire comprendre que son recul de décembre n'était nullement un renoncement à réformer, et qu'il n'entend pas céder aux ultimatums lancés par des lycéens.

"Aucune réforme n'est compatible avec les suppressions de postes", a déclaré, le 7 janvier, l'UNL, posant leur "arrêt définitif" comme "condition préalable à toute négociation". Selon cette organisation, "la réforme retirée par Xavier Darcos n'était que le cache-misère des suppressions de postes. Le cache oublié, il reste toujours la misère, et les lycéens ne peuvent accepter de voir ainsi détruire tout espoir d'un meilleur lycée".


La FIDL pose le même préalable à l'ouverture de discussions. "Tant que le ministre ne reviendra pas sur ces suppressions, les lycéens se mobiliseront", souligne-t-elle, assurant que le mouvement peut être "plus fort qu'en décembre".

La suite...



Source AFP

 

Une vingtaine de lycées parisiens, généraux et technologiques, et professionnels, sur 104 au total, étaient "perturbés" jeudi matin par des "barrages filtrants", a indiqué à l'AFP le rectorat de Paris. "Dans la majorité des cas, les élèves ont pu entrer en cours", a-t-on ajouté.


Dans un communiqué, l'organisation lycéenne Fidl signalait de son côté 27 lycées "perturbés", par des "blocages, assemblées générales".

Elle a recensé par ailleurs 70 assemblées générales en région parisienne et 200 en province. "Il s'agit d'une bonne première journée de mise en bouche pour la suite de la mobilisation", a-t-elle estimé.


L'UNL et la Fidl appellent ce jeudi à une journée de mobilisation (assemblées générales, actions d'informations, rassemblements voire manifestations) notamment pour demander à Xavier Darcos de revenir sur les suppressions de postes prévues en 2009 dans l'Education, après le report en décembre de la réforme du lycée.

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